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Kourtney Kardashian révèle ses problèmes à concevoir avec Travis Barker

Kourtney Kardashian révèle ses problèmes à concevoir avec Travis Barker et la difficulté de ses traitements de FIV.

Alors que la première saison de The Kardashians bat son plein, on en apprend davantage sur ce qui se passe avec Kourtney Kardashian, qui lève le voile sur des traitements de fertilité fort difficiles ayant mené à des moments d’anxiété chronique et à un gain de poids.

Un gain de poids qui a d’ailleurs ironiquement mené la toile à s’emballer en croyant à une grossesse, une fausse impression qui n’aura fait qu’aggraver l’état mental de Kardashian.

«Tout le monde sur les réseaux sociaux était genre: Kourtney est enceinte, elle est enceinte, Kourtney a pris tellement de poids. Je me disais que c’est pas mal impoli de commenter sur les gens quand tu n’as aucune idée de ce qu’ils traversent», lance la star de 43 ans, visiblement déçue.

Kourtney est déjà la maman de Mason, Reign et Penelope, nés de son union précédente avec Scott Disick.

Kourtney Kardashian et Travis Barker révélaient récemment s’être offert une cérémonie de mariage lors d’un passage à Las Vegas, et souhaiter remettre ça dans le cadre d’un mariage officiel dans un avenir rapproché.

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Et si vous pouviez connaître vos chances de réussite pour la fertilité in vitro?

SheKnows rapporte qu’il est maintenant possible, pour un couple qui entreprend des démarches pour des traitements de fertilité, de connaître le pourcentage du taux de réussite.

La Dre Yao conseille également aux couples qui savent déjà qu’ils devront se tourner vers la fécondation in vitro de ne pas attendre trop tard. Entre autres, ne pas essayer d’avoir des enfants pendant des années avant de consulter, puisque les chances diminuent en vieillissant.

Les traitements de FIV sont très coûteux et représentent un stress énorme pour les couples qui entreprennent ces démarches. La compagnie Univfy Inc a développé le PreIVF, une technologie qui peut évaluer vos chances de réussite, en incorporant aussi des données comme votre âge et votre état de santé.

De plus, une avancée technologique permet à de nombreuses cliniques de fertilité de surveiller jusqu’à 12 embryons à la fois au moyen de l’EmbryoScope. Celui-ci prend jusqu’à 5000 photos des 5 premiers jours de développement de l’embryon, et ce, afin de choisir les plus viables.

Renseignez-vous, puisque cette méthode, selon le Dr John Rapisarda du Fertility Center en Illinois, permet d’augmenter de 20 à 25 % le taux de réussite de grossesse.

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Grossesse et sida : une possibilité

Concevoir alors qu’on est séropositive? Oui, c’est possible. De nos jours, avec les avancées médicales, les traitements et la procréation médicalement assistée, les chances d’infecter le futur bébé sont infimes.

Une étude de l’INSERM en 2012 a démontré que le taux de transmission maman-bébé était très bas et diminuait encore plus lorsque la mère était prise en charge avant de devenir enceinte.

Si c’est l’homme qui est atteint, il faut que les docteurs isolent une fraction de son sperme qui ne présente pas le virus. Ensuite, ils feront une fécondation in vitro (FIV) ou une insémination intra-utérine.

Si c’est la femme qui est atteinte, une auto-insémination dans l’intimité est tout à fait possible. En début de grossesse, un test pour confirmer la présence du virus sera proposé. Ensuite, la prise en charge sera entreprise. Le but sera de trouver une charge virale indétectable quand le moment sera venu d’accoucher.

Si la femme est traitée à temps et qu’elle a bien suivi les procédures, les risques de transmission passent de 20 % à environ 1 à 2 % seulement. L’accouchement naturel devient aussi possible plutôt que d’opter pour une césarienne.

À l’âge de 2 mois, un test de dépistage sanguin sera mené sur le bébé afin de déterminer la quantité du virus retrouvée dans son sang. Les chances sont donc très bonnes que bébé soit en pleine santé!

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L’avocat donne un coup de pouce à la FIV

Si vous avez opté pour une fécondation in vitro (FIV), mettez toutes les chances de votre côté en consommant des avocats. Une nouvelle étude présentée à la conférence de la Société européenne de reproduction humaine et d’embryologie, à Istanbul, indique que les aliments méditerranéens comme l’avocat peuvent améliorer la fertilité.

Manger des avocats avec une salade assaisonnée d’huile d’olive est une excellente combinaison pour aider les femmes qui essaient d’avoir un bébé par FIV, indiquent les chercheurs.

Les aliments consommés habituellement dans le cadre d’un régime méditerranéen peuvent donc tripler les chances de succès pour les femmes subissant une FIV.

L’étude a révélé que les graisses mono-insaturées que l’on retrouve dans l’huile d’olive, l’huile de tournesol, les noix et les graines étaient excellentes pour les futures mères.

Les experts américains estiment que ces gras mono-insaturés, qui sont déjà connus pour protéger le coeur, pourraient améliorer la fertilité en diminuant l’inflammation dans le corps.

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Des aliments trop gras réduisent les chances de fécondation in vitro

Si vous avez recours à la fécondation in vitro (FIV), réduisez non seulement votre consommation de café et de tabac, mais aussi votre consommation de graisses.
 
Selon les résultats présentés lors du congrès de la Société européenne de reproduction humaine et d’embryologie, la consommation de graisses est inversement proportionnelle au nombre d’ovocytes matures qui sont prélevés lors d’une FIV.
 
Avoir moins d’ovocytes veut également dire moins d’embryons à choisir pour le transfert.
De plus, la consommation de graisse polyinsaturée est, elle, inversement proportionnelle à la qualité des jeunes embryons. Donc, il faut éviter le plus possible ces deux types de gras.
 
Déjà, les gras trans étaient liés à une infertilité ovulaire et à des risques de fausses couches, alors que les graisses saturées réduisaient la concentration du sperme chez les hommes.
 
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FIV et café ne font pas bon ménage

Des scientifiques danois indiquent que cinq tasses ou plus de café quotidiennement réduisent jusqu’à 50 % les chances que la FIV fonctionne. Une bonne raison de ne pas abuser de café, si vous avez opté pour cette méthode de conception.

Les résultats de la recherche, menée dans une clinique spécialisée en FIV auprès de 3959 femmes, ont été présentés au 28e congrès de l’European Society of Human Reproduction and Embryology.

Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs de la Fertility Clinic de l’Aarhus University au Danemark ont suivi un grand nombre de FIV et ICSI (micro-injections). Les résultats ne laissent pas de place au doute : cinq tasses ou plus de café par jour réduisent le taux de grossesse de 50 % et font aussi baisser les naissances de 40 %.

Auparavant, d’autres études avaient déjà montré que le cocktail caféine-fertilité n’était pas le meilleur pour avoir un enfant. Cependant, la Cochrane Review n’a pas encore assez de preuves pour recommander d’éviter la caféine.

Par ailleurs, une autre étude a démontré que la durée de la grossesse augmente chez les femmes qui boivent plus de six tasses de café ou de thé par jour.

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FIV : cinq millions de bébés sont nés depuis 1978

Depuis le premier bébé éprouvette en 1978, Louise Brown, la procréation par fécondation in vitro n’a cessé de séduire les couples infertiles au fil des années.

Les chiffres le prouvent : près de 350 000 bébés sont conçus chaque année grâce à cette méthode dans le monde, selon les données de la Société européenne de reproduction humaine et d’embryologie (ESHRE) divulguées lors d’une conférence à Istanbul, en début de semaine.

Cinq millions de bébés sont donc nés depuis 1978. Ce chiffre se base sur les données des fécondations in vitro enregistrées dans le monde jusqu’en 2008, et ensuite sur des estimations jusqu’en 2012.

« Les techniques se sont grandement améliorées au fil des années avec une hausse des taux de grossesses. Les bébés qui sont nés sont en aussi bonne santé que ceux de parents infertiles qui ont conçu spontanément », a notamment indiqué le Dr David Adamson, président du Comité international pour la surveillance de la PMA (procréation médicalement assistée).

Une autre bonne nouvelle pour les futurs parents : le taux de succès d’un traitement s’est stabilisé à 32 % de taux de grossesse par embryon transféré.

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Les femmes se font de fausses illusions au sujet de la fertilité

Dans la revue Fertility and Sterility, le 5 avril, des chercheurs de la Yale School of Medicine déplorent qu’il y ait trop de femmes qui prennent pour acquis que grâce aux technologies d’assistance médicale à la procréation (AMP), il sera facile de tomber enceintes, même si elles retardent la maternité.

Selon les données de la Société pour les techniques de procréation assistée (Society for Assisted Reproductive Technologies), le nombre de fécondations in vitro (FIV) effectuées pour les femmes âgées de 41 ans et plus a grimpé de 41 % entre 2003 et 2009. Cependant, le taux de grossesses réussies n’a pas augmenté, demeurant fixe à 9 % en 2009.
 
« Elles doivent être éduquées de façon plus agressive, car ces femmes se font une réelle fausse idée sur la fertilité. Elles se disent en forme et en santé et croient qu’elles pourront être comme toutes ces vedettes qui tombent enceintes rapidement dans la quarantaine. Si jamais la grossesse fonctionne, il faut qu’elles sachent les risques qu’elles courent d’avoir une fausse couche, un bébé avec des malformations congénitales ou un accouchement compliqué », mentionne le Dr Pasquale Patrizio, professeur au Département d’obstétrique et de gynécologie à la Yale School of Medicine et directeur du Centre de fertilité de Yale.
 
En revanche, le spécialiste rappelle que les médecins ont également un rôle et un devoir à accomplir envers leurs patientes. Ils doivent les informer davantage et plus tôt sur les conséquences de retarder la maternité et leur proposer toutes les options possibles.
 
Selon les experts, la meilleure alternative pour ces femmes demeure la congélation de l’ovocyte ou encore le don d’ovules.
 
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Tout savoir sur la FIV si vous êtes un homme

Test Tubes And Testosterone: A Man’s Journey Into Infertility And IVF, de Michael Saunders, raconte l’histoire d’un homme qui s’est battu pour avoir des enfants avec sa compagne. 

Ce livre explique aux hommes les différents traitements pour lutter contre l’infertilité. Dans un style léger, l’auteur donne une multitude de conseils et répond à la plupart des questions que se posent les hommes concernant la FIV.
 
Michael Saunders a eu recours à l’injection intra-cytoplasmique de spermatozoïdes, une technique de FIV, car son sperme n’était pas assez bon. « L’infertilité masculine est causée soit par la mauvaise qualité du sperme ou le faible nombre de spermatozoïdes en cours de production dans les testicules », explique l’auteur.
 
Un mauvais style de vie, des niveaux élevés de stress, le tabagisme, une mauvaise alimentation, restent les principales causes de l’infertilité.
 
Michael Saunders a fait des ajustements dans son mode de vie : « j’ai notamment arrêté de boire, réduit la cigarette, augmenté ma consommation de vitamines et de minéraux, en particulier le zinc (…) au fil des mois, mon sperme était meilleur ».
 
Le couple a réussi à avoir des jumeaux nommés Mathilde et George, qui ont désormais 18 mois. « La vie est belle et un peu mouvementée », a indiqué le papa, dont le seul regret est d’avoir attendu si longtemps avant de parler à d’autres hommes.
 
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FIV : Augmentation des grossesses avec un nouveau traitement

Voici une bonne nouvelle pour les femmes qui ont des difficultés à procréer. Une nouvelle façon de traiter les embryons pendant la FIV améliore significativement les chances de grossesse.

Selon l’étude, publiée dans le journal en ligne Public Library of Science ONE, les embryons délicats n’ont plus à être retirés de l’incubateur pour vérifier leur progrès. Cette méthode pouvait être nocive.

Au lieu de cela, le système développé par les chercheurs de Newcastle permet aux procédures d’être menées dans un environnement clos et contrôlé.

La recherche, menée sur trois années, a d’ailleurs montré une augmentation de 27 % au minimum dans les taux de grossesse clinique.

Les patientes avaient 45 % de chances de tomber enceinte, comparativement à 35 % pour le taux de réussite dans l’ancien système.

Alison Murdoch, chef de service clinique, a déclaré : « La culture de bons embryons est la clé de succès des FIV, et tout le monde, même ceux qui ont une faible perspective de succès, mérite d’avoir la meilleure chance possible. Plus de 850 bébés sont nés avec cette nouvelle technologie ».