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Depuis sept ans, des maisons de négoce de cognac se montrent généreuses en confiant quelques-unes de leurs meilleures eaux-de-vie à la vente aux enchères La Part des Anges. Le breuvage est présenté dans de très beaux flacons, que les plus riches s’arracheront pour la bonne cause. Le rendez-vous est pris le 19 septembre.

Lors de cette 8^e édition de La Part des Anges, qui aura lieu au Château de Brillac, à Foussignac en Charente, 26 flacons de prestige seront mis aux enchères. Les grandes maisons de cognac comme Rémy Martin, Prince Hubert de Polignac et Frapin dégaineront leur précieux travail.

Parmi les objets de prestige incontournables, les enchérisseurs tenteront d’obtenir la nouvelle carafe de la maison Hardy, réalisée en collaboration avec la cristallerie Lalique. Un objet d’art produit en série très limitée, dont l’estimation sera de 10 540 $.

Les niveaux d’estimation s’envoleront jusqu’à 28 100 $, avec le flacon Louis XIII le Jéroboam, de Rémy Martin, et la carafe 1900 Hennessy.

Les recettes de cette vente aux enchères seront reversées à La Croix-Rouge française et à l’Arche.

Distribués notamment dans les Sobeys et les IGA, ce sont les flacons de 120 comprimés d’acétaminophène extra-puissant de 500 mg de marque Compliments qui font l’objet de ce rappel.

Santé Canada avise la population que les bouchons de ces flacons ne détiennent pas le fameux mécanisme de sécurité qui fait en sorte que l’enfant ne peut ouvrir facilement le contenant.

Cela engendre par le fait même une erreur d’étiquetage sur le produit.

Santé Canada rappelle que si un enfant de moins de 12 ans consomme en quantité importante ce genre de comprimés et fait une surdose, cela peut provoquer des dommages irréparables au foie, causer une insuffisance hépatique et même conduire à la mort.

Mentionnons que cette semaine, un sondage de l’Université du Michigan Mott Children’s Hospital National, réalisé auprès de parents et de grands-parents d’enfants âgés de 1 à 5 ans, a révélé que 23 % des grands-parents et 5 % des parents avouent ranger des médicaments d’ordonnance, parfois même faciles à ouvrir, dans des lieux accessibles aux petits.

En ce qui concerne les médicaments en vente libre, 18 % des grands-parents et 8 % des parents ont déclaré faire la même chose.

Aux États-Unis, il y aurait un enfant admis à l’hôpital toutes les 10 minutes pour une intoxication avec des médicaments sous prescription ou en vente libre.