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Allégations de racisme contre un coach de la LNH

Akim Aliu, un Nigérien qui a joué cette sept ans au sein de la Ligue nationale (avec les Flames de Calgary) entre 2011 et 2013, a livré un message ciblant l’entraîneur-chef actuel des Flames de Calgary, Bill Peters. Selon le discours de Aliu, Peters a utilisé un langage inapproprié à son égard. Peters a carrément été accusé de racisme envers l’athlète âgé aujourd’hui de 30 ans.

Revenons en 2009-2010, alors qu’à cette époque, Aliu évoluait chez les IceHogs de Rockford, qui était piloté par un certain monsieur Peters. Évidemment, c’est pendant cette année que cette situation dégradante s’est produite, sans apparaître dans les médias puisque Aliu a fermé son clapet à ce moment-là. Peters adressait la parole à Aliu en le traitant de N****r, juste parce qu’il n’aimait pas la musique qu’écoutait le jeune homme. Il aurait même exigé qu’on le sorte de son vestiaire…

«Pas surprenant ce qu’on entend au sujet de Mike Babcock. La pomme ne tombe pas loin de l’arbre. Son protégé [à Calgary] m’a souvent adressé la parole avec le mot commençant par N dans le vestiaire, à ma première campagne, parce qu’il n’aimait pas ma musique.»

Comment est-ce encore possible ces commentaires préhistoriques envers un être humain? Ça s’est déroulé en 2009-10, et non en 1942… Mais Peters, c’est un bougon de nature, du moins, ce qu’on attend de lui. Ça ne doit pas être pour rien si Johnny Gaudreau et les Flames de Calgary ne jouent pas à la hauteur de leur potentiel.

Aliu s’est promené en Amérique et en Europe depuis cet événement, lui qui a pourtant récolté trois points (dont deux buts) lors de son bref séjour au niveau de la LNH. Pas mauvais pour un défenseur qui affectionne le jeu physique. C’est d’ailleurs pour cette raison que les Blackhawks de Chicago l’ont sélectionné au deuxième tour en 2007. Le potentiel y était, mais Aliu a fort probablement été affecté par ce type de situation pendant son trajet dans un monde parfois ancré dans un vieux moule. Cette facette a ralenti la carrière du joueur, selon ses propres dires. 

Bref, la LNH a qualifié ce chapitre de répugnant et inacceptable… et ne commentera pas avant de conclure l’investigation de ce dossier épineux.

En rafale

– Voici l’alignement qu’affrontera le Canadien de Montréal ce soir.

– Avec la perte de Rasmus Dahlin, les Sabres de Buffalo sont encore plus frustrés.

– La preuve qu’il ne faut jamais parier contre les Sharks de San Jose.

– En voici un peu plus au sujet de la relation Turris/Laviolette.

Hahaha! J’adore Barry Trotz!

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Les Flames signent un joueur qu’ils avaient racheté !

Généralement, lorsque tu rachètes le contrat de l’un de tes joueurs, c’est parce que tu ne veux plus de ce joueur en question dans ta formation.

On dirait un pléonasme d’une évidence déconcertante, mais attention. Les Flames ont posé hier un geste qui a de quoi surprendre et qui rend l’introduction de ce texte adéquate et nécessaire. Ils ont fait signer un contrat d’un an (700 000 $, un seul volet) au défenseur Michael Stone. Qu’est-ce qu’il y a de spécial dans cette signature? Les Flames avaient racheté le contrat de Stone le 1er août dernier.

Brad Treliving a donc racheté la dernière année du précédent contrat de Stone (3,5 millions $), acceptant d’avoir une pénalité de 1,167 million $ lors des saisons 2019-20 et 2020-21.

En faisant signer un nouveau contrat de 700 000 $ à Stone, il a donc retrouvé son défenseur… pour seulement 1,867 million $ cette saison (et une pénalité de 1,167 million $ en 2020-21).

Bref, il a sauvé environ 500 000 $ réels, tout en déplaçant un peu plus d’un million $ comptables dans le temps. Avec Matthew Tkachuk toujours sans contrat, chaque dollar compte à Calgary en 2019-20.

Les Flames ont environ 7 millions $ sous le plafond salarial ce matin. Certains croient que T.J. Brodie pourrait être échangé afin de faire de la place à Tkachuk, mais il s’agit là d’une simple spéculation. Il sera toutefois très intéressant de voir si un jeune défenseur se démarquera durant le camp d’entraînement, ce qui rendrait cette spéculation un peu plus sérieuse/plausible.

À noter que Stone possédait une clause de non-échange de 15 équipes avec son ancien contrat, clause qui n’existe plus dans sa nouvelle entente.

Et pour ceux et celles qui croient que ce geste est illégal, il est bon de vous rappeler que seuls les joueurs ayant été rachetés sans pénalités (après le dernier lock-out) ne pouvaient pas retourner avec leur équipe durant une période d’un an. Avec un rachat standard, cette contrainte ne s’applique pas.

Stone a 29 ans, il mesure 6’3 et il n’a disputé que 14 rencontres avec les Flames la saison dernière en raison d’une blessure.

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Le DG des Flames avoue s’être planté

Parfois, un directeur général réalise de bons coups… et de moins bons.

Brad Treliving a avoué sans aucune timidité son erreur quant à l’ajout de James Neal à sa formation.

Un pacte de cinq ans et 28.75 millions de dollars. C’est une montagne de billets, ça… Un contrat monstrueux pour un joueur en pente descendante.

Une réponse franche et directe du patron des Flames de Calgary. Des propos qui ont sans doute fait mal à l’orgueil de Neal.

Neal, c’est un « gros » total de sept petits buts (et 19 points) en 63 rencontres avec les Flames de Calgary. Lors des éliminatoires, où les Flames se sont fait montrer la porte de sortie en cinq matchs, alors qu’ils étaient les favoris, Neal n’a obtenu aucun point en quatre matchs. Mais pourquoi n’a-t-il pas joué les cinq parties? Parce que Bill Peters, l’entraîneur des Flames, l’a envoyé dans les gradins. Ouch. L’étoile Neal n’est plus aussi reluisante que jadis, disons-le.

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Flames : Elias Lindholm se moque de son ancienne équipe

Elias Lindholm jouait déjà avec des hommes (en Suède) à 17 ans.

Il n’a que 24 ans aujourd’hui, mais il a vu neiger. Surtout dans sa jeunesse et depuis qu’il est à Calgary…

Après avoir été repêché au cinquième rang overall et après avoir été échangé aux Flames après cinq saisons à Raleigh, Lindholm  connaît toute une saison à Calgary. Il a déjà 60 points en 53 rencontres… Dont 23 buts! Jeune centre droitier mesurant 6’1 capable de produire offensivement et d’être responsable dans sa zone, c’est le Saint Graal!

Hier soir, Lindholm affrontait son ancienne équipe en Caroline. Les Flames ont eu le dessus 4 à 3 sur les Canes… Et Lindholm a inscrit son 23e but de la saison en première période.

Après la rencontre, le joueur de centre des Flames a nargué la (petite) foule du PNC Center en imitant les célébrations d’après-victoire des Hurricanes (Skol). Ça lui a valu des huées.

Même le gardien David Rittich a embarqué dans le « délire » de Lindholm…

Lindholm n’a pas seulement fait son geste à une ou deux reprises. Il l’a répété une vingtaine de fois. Disons qu’il n’a pas fait preuve d’une grande maturité et qu’il ne s’est pas fait de nouveaux amis en Caroline…

Après la rencontre, Lindholm a mentionné qu’il a agi ainsi en réplique aux partisans qui l’ont hué durant le match, notamment lorsque son nom est apparu (à deux reprises) sur le jumbotron.

Un athlète ne devrait-il pas être au-dessus de ça? Ne devrait-il pas ignorer les gestes et les paroles des fans? Ça me rappelle Andrew Ference, Carey Price, etc.

La meilleure revanche de Lindholm a mon avis a été de remporter le match d’hier. Ça, et aussi de jouer pour une équipe qui aspire aux grands honneurs cette saison… Et de connaître une campagne ultra productive.

Pendant ce temps, les Hurricanes se cherchent du punch offensif. Pourquoi ont-ils échangé Lindholm? Hum…

Ce dernier est sous contrat avec les Flames jusqu’en juin 2024. Micheal Ferland, quant à lui, risque de quitter Raleigh dans quelques mois…

En rafale

– Trois joueurs du Canadien pourraient terminer la campagne au sommet des buteurs de l’équipe. [TheGazette]

– J’adore ces petites vidéos de Tom Brady et Ron Gronkowski.

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THE W.

Une publication partagée par Tom Brady (@tombrady) le 3 Févr. 2019 à 11 :23 PST

– On est déjà rendu à prendre les paris pour le prochain Super Bowl!

– Bon spot, non?

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Musique

Encore un nouveau clip pour Nicki Minaj!

Décidément, Nicki Minaj et son équipe ont compris l’importance de bombarder le web avec du nouveau matériel et l’impact des vidéoclips dans l’industrie d’aujourd’hui.

Ils poursuivent sur leur lancée avec Up In Flames, un extrait lourd et puissant, le plus récent de la réédition de l’album de Nicki Minaj, Pink Friday: Roman Reloaded – The Re-Up,explique Digital Spy.

Un extrait qui étonne par sa qualité, notamment sur le plan de la trame et des arrangements vocaux, alors que l’on croyait le dernier album de Nicki Minaj vidé de tous ses succès.

Le clip, quant à lui, dévoile Minaj tantôt en studio, tantôt installée au piano, sans tous les artifices habituels. L’artiste apparait en tenue simple, chandail à capuchon noir et maquillage léger, toujours en blonde, et cette sobriété lui va très bien.

Nicki Minaj est toujours juge sur le plateau de l’émission American Idol et travaille sur du nouveau matériel. Elle est en voie de devenir l’artiste la plus prolifique des deux dernières années.

Visionnez le clip pour Up In Flames de Nicki Minaj.