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L’explication des bienfaits du chocolat noir

Le chocolat, particulièrement le noir, est de plus en plus apprécié par les spécialistes en santé et au sein des études qui sont publiées en nutrition.

Notamment vanté pour ses capacités à protéger le cœur et de certaines maladies, le chocolat noir possède plusieurs qualités indéniables, s’accordent pour dire une majorité d’observateurs.

Entre autres, le chocolat noir possède une part importante de flavonoïdes, une substance naturelle qui permet la prévention de certaines maladies. D’accord, mais comment expliquer en clair ces bienfaits sur la santé?

Parce que le système digestif est incapable de le tolérer, répond le New York Times, qui rapporte de nouvelles études sur le sujet.

Des études en provenance des universités de Louisiane et Virginia Tech démontrent qu’une grande portion du cacao ingéré n’est tout bonnement pas digéré, et qu’il se disperse ensuite sous la forme de minuscules métabolites capables de s’intégrer au sang, notamment.

L’effet du cacao et de ses flavonoïdes est alors optimal, puisque non digéré de la même façon que plusieurs autres aliments par l’organisme.

Les chercheurs de Virginia Tech, qui publient ces résultats dans le The Journal of Agricultural and Food Chemistry, rappellent toutefois que le « cacao » n’est pas une « barre de chocolat », et qu’il est préférable de se le procurer dans ses formes les plus pures avant de l’intégrer à son alimentation.

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La santé du cerveau par le chocolat chaud

Une nouvelle étude de la Harvard Medical School de Boston semble démontrer que la consommation quotidienne de 2 tasses de chocolat chaud pourrait aider à prévenir les troubles de la mémoire.

Publiée dans le journal médical de l’American Academy of Neurology, la trouvaille a été faite en analysant l’effet de la boisson de cacao sur 60 personnes d’âge moyen de 73 ans.

Après 30 jours de consommation quotidienne de 2 tasses, les participants qui souffraient d’une mauvaise circulation sanguine vers le cerveau avaient bénéficié d’une amélioration de la circulation de 8,3 % ainsi que d’une hausse de leurs aptitudes liées à la mémoire.

Il a aussi été déterminé que le taux d’antioxydants et de flavonoïdes ne serait pas important sur les bienfaits. Qu’il soit haut ou bas, les bénéfices se sont montré les mêmes.

« Nous en apprenons plus sur le débit sanguin dans le cerveau et son effet sur la capacité de raisonnement », a déclaré Farzaneh A. Sorond, de la Harvard Medical School et membre de l’Académie américaine de neurologie.

« Comme les différentes zones du cerveau ont besoin de plus d’énergie pour accomplir leurs tâches, elles ont aussi besoin d’un grand flux sanguin. Le tout peut jouer un rôle important dans des maladies telles que l’Alzheimer. »

Pour sa part, Paul B. Rosenberg de la Johns Hopkins School of Medicine à Baltimore dit : « Plus de travail est nécessaire pour prouver un lien entre le cacao, les problèmes de circulation sanguine et le déclin cognitif. Mais il s’agit d’une importante première étape qui pourrait orienter les études futures. »

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Polyphénols et flavonoïdes : Nourrissez votre flore intestinale

Des chercheurs espagnols ont dévoilé les résultats de leur récente recherche sur le sujet dans le Journal of Nutritional Biochemistry.

Repris sur www.lasante.com, on y explique entre autres comment les polyphénols jouent un rôle positif sur la flore intestinale en favorisant la production de bonnes bactéries, en plus de nuire aux mauvaises.

Sachant que notre flore intestinale lutte contre les troubles gastro-intestinaux, aide la digestion et est liée à notre système immunitaire, la consommation de flavonoïdes et polyphénols n’est pas à négliger.

De plus, ces derniers ont des propriétés anti-inflammatoires, anti-cancérigènes, anti-diabète et anti-oxydantes. C’est pourquoi il est largement recommandé d’avoir une alimentation riche en polyphénols, ce qui réduit le risque de maladies chroniques.

De nombreuses vertus sont d’ailleurs prêtées au chocolat en raison des polyphénols qu’il contient. Voilà donc une excellente raison de consommer, sans culpabilité, quelques morceaux de votre chocolat préféré. Plus il est riche en cacao, meilleur il est.

On peut aussi trouver ces fameux composés dans les légumes, le thé vert, le café, les céréales et le vin. À noter cependant qu’il y a plus de polyphénols dans les végétaux cultivés sans pesticides. D’où l’intérêt de consommer bio.

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Le chocolat serait un nouveau médicament anti-âge?

Les amateurs de chocolat auront une raison de plus de se réjouir. Des chercheurs basés à Cambridge viennent de faire une percée scientifique. Ils ont réussi à transformer le chocolat en médicament anti-âge.
 
Selon le DailyMail, leur technologie permet d’augmenter l’absorption des flavonoïdes du chocolat dans le corps, ce qui favorise l’oxygénation de la peau, ralentissant ainsi le vieillissement.
 
Les chercheurs ont modifié le chocolat avec une substance nommée Coco-Lycosome, qui stimule la croissance des flavonoïdes jusqu’à vingt fois.
 
Apparemment, cette technologie pourrait déjà être mise en marché, mais les nutritionnistes accueillent cette nouvelle avec réticence. Ils demandent plus de preuves des bienfaits de cette technique avec les flavonoïdes qui, selon eux, réagissent de façon particulière.
 
De plus, le chocolat demeure parfois sucré et riche en matières grasses.
 
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Les fraises et les bleuets pour prévenir le déclin de l’esprit

Le vieillissement du cerveau pourrait être repoussé de deux ans et demi chez les femmes âgées qui mangent beaucoup de baies. Ces résultats s’appliqueraient aussi aux hommes.

Les experts croient que ces bénéfices proviennent de la grande quantité de flavonoïdes présente dans les baies, ces antioxydants trouvés dans les plantes qui peuvent protéger de plusieurs maladies.

En fait, consommer plus de flavonoïdes pourrait amenuiser les effets néfastes du stress et de l’inflammation, qui sont d’importants facteurs de la détérioration de l’esprit.

Les cellules du cerveau sont particulièrement sensibles aux radicaux libres, que les antioxydants neutralisent.

Cependant, les experts ont prévenu que les femmes observées dans l’étude avaient, en plus de manger des petits fruits, de saines habitudes de vie, qui auraient pu influencer les résultats.

De plus amples études devront donc être faites. Malgré tout, les experts suggèrent que les petits fruits devraient faire partie de votre régime équilibré.

« Des études ont prouvé dans le passé que manger des petits fruits dans le cadre d’un régime sain dans la quarantaine pouvait aider à réduire les risques de démence », déclare le directeur de la recherche au Alzheimer Research UK.

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Manger des baies réduirait le risque de contracter la maladie de Parkinson chez les hommes

C’est ce que démontre une étude publiée dans le journal Neurology. 

Les baies comme les bleuets, les fraises, les mûres et le cassis sont riches en flavonoïdes, qui sont des antioxydants.
 
Les antioxydants aident à neutraliser les radicaux libres, des substances destructives qui se trouvent dans le métabolisme et qui peuvent causer des dommages aux membranes des cellules et à l’ADN.
 
L’étude prouve aussi que les hommes qui mangent des petits fruits au moins une fois par semaine pourraient réduire du quart leurs chances de développer la maladie de Parkinson.
 
L’étude stipule également que les effets bénéfiques proviennent d’une plus grande consommation d’anthocyanes, un type de flavonoïdes contenu dans les baies.
 
« Étant donné le potentiel des petits fruits pour la santé […] il est recommandé d’en ajouter à votre régime quotidiennement », explique le docteur de l’Harvard School of Public Health, Xiang Gao.
 
Étrangement, les chercheurs n’ont pas remarqué de résultats similaires des flavonoïdes sur le corps des femmes.
 
Rappelons que la maladie de Parkinson provoque des tremblements et de la rigidité musculaire et touche toutes les régions du corps. Il n’existe à ce jour aucun remède, aucune médication ni chirurgie pouvant guérir cette maladie.
 
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Les petits fruits protègeraient contre le Parkinson

Consommer régulièrement des bleuets, des mûres, des framboises, des fraises et d’autres petits fruits contribuerait à prévenir la maladie de Parkinson.
 
C’est ce que révèle une vaste étude de l’Université Harvard effectuée auprès de 49 000 hommes et 80 000 femmes qui ont été suivis pendant 20 à 22 ans.
 
Les chercheurs ont évalué les habitudes alimentaires pour chaque personne, surtout au niveau des flavonoïdes, un puissant antioxydant qui a déjà fait ses preuves au niveau des bénéfices pour la santé. On a notamment surveillé la consommation de petits fruits, de pommes, de vin rouge, de thé et de jus d’orange, tous riches en flavonoïdes.
 
Au cours de l’étude, 782 cas de Parkinson ont été décelés. Après analyse, on note que les hommes qui avaient consommé le plus de flavonoïdes, et ce, peu importe la source alimentaire, avaient 35 % moins de risques de développer la maladie. Chez les femmes, les effets protecteurs étaient notables seulement avec les flavonoïdes contenus dans les petits fruits. Les scientifiques ne s’expliquent pas cette différence entre les deux sexes.
 
Il y a quelques années, une étude mentionnait également qu’une alimentation riche en vitamine E aidait à prévenir le Parkinson.
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Manger des baies diminue les risques de Parkinson

Une étude menée à Harvard mentionne que manger des baies réduit les risques de développer la maladie de Parkinson.
 
Ce sont les flavonoïdes qui offrent cette protection, surtout les anthocyanes, leur dérivé qui agit en protégeant les neurones.
 
49 281 hommes et 80 336 femmes ont été suivis pendant 20 à 22 ans. On a noté leur consommation de flavonoïdes et évalué un lien possible avec l’apparition de la maladie de Parkinson.
 
Les hommes qui avaient une alimentation riche en flavonoïdes avaient 40 % moins de risques de développer la maladie, mais pour les femmes, les résultats étaient moins significatifs. Toutefois, pour les anthocyanes, les risques étaient réellement diminués pour les deux sexes.
 
Les flavonoïdes se retrouvent notamment dans les bais, les pommes, le vin rouge, les oranges et le jus d’orange.