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Surconsommation de sucre : Nouvelle posologie suggérée par l’OSM

La population en général mange trop de sucre, on le sait. Les études et analyses sur le sujet abondent depuis un bon moment déjà et pressent les consommateurs de réduire considérablement, et le plus rapidement possible, les apports en sucre de leur alimentation.

Oui, mais alors, quelle serait la « bonne quantité » de sucre à respecter? L’OSM propose de nouvelles suggestions en la matière, avec une posologie claire et précise.

Six morceaux de sucre par jour pour les adultes et trois morceaux de sucre par jour pour les enfants, voilà les doses maximales quotidiennes recommandées par l’OMS.

S’en tenir à cette posologie peut sembler plus facile à dire qu’à faire. Car si l’OMS est précise, les industries le sont beaucoup moins quand vient le temps d’afficher le nombre de « morceaux » de sucre que leurs produits contiennent.

L’OMS mentionne quelques exemples. Le ketchup comprend un morceau de sucre par cuillère à soupe, et une canette de boisson gazeuse en comprend sept.

On demande aux consommateurs de s’informer et d’être vigilants, car une majorité d’aliments retrouvés sur le marché contiennent beaucoup trop de sucre.

Boire de l’eau, éviter les produits transformés et usinés, et s’en tenir aux fruits et légumes demeure le type de comportement à adopter.

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OxyContin : décision controversée de Santé Canada

L’OxyContin, le nom commercial de l’oxycodone, est une drogue puissante et largement dangereuse, rendue célèbre par plusieurs célébrités en abusant, parfois même jusqu’à leur décès prématuré.

Aussi appelée « l’héroïne des pauvres », en raison de son accessibilité et son faible coût, cette drogue est l’un des grands ennemis des autorités américaines, qui luttent sans relâche contre la vente et l’utilisation de sa version générique, retrouvée dans les rues.

Il est donc vraiment surprenant de voir Santé Canada approuver sa commercialisation, comme le rapporte Radio-Canada, une décision controversée qui soulève l’ire de nos voisins du sud.

La version générique de l’OxyContin peut être modifiée, et ainsi consommée de multiples façons par les toxicomanes, qui mettent ainsi leur vie en danger. Les Américains ne permettent que la vente de la version « officielle » du médicament, qui s’avère utile pour contrer la douleur chez certains patients.

Alors que l’administration Obama souhaite voir Ottawa collaborer à ses efforts dans la lutte au fléau que représente la drogue, Stephen Harper fait la sourde oreille et entérine une entente avec une compagnie pharmaceutique étrangère, Ranbaxy, qui donne le feu vert à sa production et à sa vente sur le territoire canadien.

Une décision qui risque de faire couler beaucoup d’encre et qui soulève énormément d’interrogations chez les spécialistes de la santé.

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Le manque de sommeil serait-il devenu un fléau de société?

Si vous vous sentez souvent fatigué et semblez manquer de sommeil constamment, vous n’êtes vraisemblablement pas seul!

En fait, selon Top Santé, qui rapporte une étude des CDC américains sur le sujet, le manque et les troubles de sommeil seraient en voie de devenir une « épidémie », c’est-à-dire un problème collectif et récurrent.

Un terme que n’hésite pas à utiliser l’association américaine pour alerter la population contre le fléau qui n’a rien de bénin.

Manque de productivité généralisée, accidents et manque d’attention, maladies et troubles de la santé divers, voilà quelques-uns des dommages collatéraux découlant d’un manque de sommeil collectif.

Bien que l’on rappelle les heures de sommeil nécessaires au bon fonctionnement de l’être humain (9-10 heures pour les adolescents, 7-9 heures pour les adultes), on ne mentionne pas les raisons de cette soudaine épidémie en santé publique.

Trop de travail? Trop de stress? Manque de sensibilisation sur l’importance du sommeil? Pour l’instant, tout ce qu’on sait, c’est que les Nord-Américains ne font pas passer le sommeil en tête de liste de leurs priorités… et qu’ils ne dorment pas assez.

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Une solution pour contrer les infections en centre hospitalier

C’est The National Library of Medicine qui rapporte la nouvelle, mais elle s’applique autant sinon plus à notre réalité québécoise.

Une étude américaine lance une suggestion pour contrer les hausses d’infections contractées en centre hospitalier, un phénomène que l’on connait bien ici avec l’éclosion du C. difficile.

Pour les chercheurs du Hunter Holmes McGuire Veterans Affairs Medical Center, un simple bain d’antiseptique pourrait régler une bonne partie du problème. Oui, un bain.

En utilisant des antiseptiques et des serviettes spéciales, il serait possible de « désinfecter » les patients sur une base quotidienne et ainsi éviter qu’ils ne développent d’autres problèmes de santé en plus de ceux qu’ils ont déjà.

À ceux qui diront que cette pratique pourrait s’avérer coûteuse et fastidieuse, on répond qu’aux États-Unis, en moyenne, le coût d’un patient qui doit être traité pour ce genre d’infection contractée en hôpital est de 40 000 $.

À vous de juger si l’idée est bonne ou non, mais dans des régions du monde comme le Québec, où l’éclosion de ces bactéries et infections est devenue un véritable fléau, il est impératif de trouver des solutions… et vite.

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Un chien pour flairer le C. difficile!

Plusieurs centres hospitaliers dans le monde sont aux prises avec le même problème : la bactérie C. difficile.

Le Québec ne fait pas exception, bien au contraire, alors que les statistiques concernant le C. difficile sont en hausse. Nombreuses sont les histoires de gens qui affirment être entrés à l’hôpital moins mal en point qu’une fois à l’intérieur des murs, justement à cause de ce virulent problème.

Les autorités de partout sont donc pressées de trouver des solutions, et des chercheurs néerlandais en ont peut-être trouvé une. En effet, santelog.com rapporte que les chercheurs croient que le meilleur ami de l’homme, le chien, pourrait encore une fois venir à sa rescousse.

C’est que selon eux, certains chiens seraient en mesure de flairer la présence du C. difficile en milieu hospitalier, et ce, avec une grande précision.

Ces conclusions ont été publiées dans la dernière édition du MBJ Open et parlent d’un taux de réussite de détection de la bactérie par des canins qui frôlerait la perfection.

Cliff, un beagle, est la star de cette recherche, lui qui aurait réussi à démontrer parfaitement la théorie des chercheurs, en « analysant » une salle complète d’hôpital en moins de dix minutes.

D’autres études sont à venir, mais on souhaite que ce procédé puisse devenir une solution viable contre le fléau C. difficile.

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L’obésité serait due à une infection virale

Des travaux réalisés sur un groupe d’adolescents américains  portent à croire que l’hypothèse de l’obésité causée par une infection virale serait plausible.
 
Depuis quelque temps, les chercheurs tentent de comprendre le fléau qu’est l’obésité et on croit que ce serait plus complexe qu’une simple question de quantité de nourriture consommée et d’hérédité.
 
Depuis peu, les scientifiques s’intéressent à l’adénovirus AD36, dont l’implication dans l’obésité animale et adulte a été démontrée. Sur 124 jeunes de 8 à 18 ans qui ont été étudiés, 15 % étaient porteurs de l’AD36, dont la majorité (78 %) était obèse.
 
« Ce travail montre que le poids corporel est beaucoup plus complexe que ce qu’il y paraît. Ces données confortent l’idée selon laquelle une infection peut provoquer ou contribuer à l’obésité », mentionne Jeffrey B. Schwimmer de l’Université de la Californie à San Diego.
 
Les recherches sur le sujet se poursuivent.