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Pourquoi devriez-vous consommer des bananes?

Comme le mentionne Top Santé, la banane contient beaucoup d’énergie. Si vous la consommez mûre, son indice glycémique est plus élevé. C’est l’une des raisons qui fait en sorte que les sportifs l’intègrent à leur alimentation.

D’autre part, la banane représente un atout pour votre digestion, en plus de protéger votre flore intestinale et de diminuer votre cholestérol. Puisqu’elle comble votre appétit très longtemps et qu’elle a tant de bienfaits sur la digestion, elle vous aide aussi à perdre des kilos.

Si vous n’êtes toujours pas convaincu, sachez également que les bananes favorisent le sommeil grâce au tryptophane qu’elles contiennent.

Lorsque nous étions plus jeunes, nos parents nous interdisaient souvent de consommer une banane le soir, de crainte que ce soit trop « lourd » à digérer.

Cependant, si vous en consommez 1 heure avant le coucher, vous vous endormirez apparemment plus rapidement.

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Polyphénols et flavonoïdes : Nourrissez votre flore intestinale

Des chercheurs espagnols ont dévoilé les résultats de leur récente recherche sur le sujet dans le Journal of Nutritional Biochemistry.

Repris sur www.lasante.com, on y explique entre autres comment les polyphénols jouent un rôle positif sur la flore intestinale en favorisant la production de bonnes bactéries, en plus de nuire aux mauvaises.

Sachant que notre flore intestinale lutte contre les troubles gastro-intestinaux, aide la digestion et est liée à notre système immunitaire, la consommation de flavonoïdes et polyphénols n’est pas à négliger.

De plus, ces derniers ont des propriétés anti-inflammatoires, anti-cancérigènes, anti-diabète et anti-oxydantes. C’est pourquoi il est largement recommandé d’avoir une alimentation riche en polyphénols, ce qui réduit le risque de maladies chroniques.

De nombreuses vertus sont d’ailleurs prêtées au chocolat en raison des polyphénols qu’il contient. Voilà donc une excellente raison de consommer, sans culpabilité, quelques morceaux de votre chocolat préféré. Plus il est riche en cacao, meilleur il est.

On peut aussi trouver ces fameux composés dans les légumes, le thé vert, le café, les céréales et le vin. À noter cependant qu’il y a plus de polyphénols dans les végétaux cultivés sans pesticides. D’où l’intérêt de consommer bio.

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La césarienne et l’allaitement influencent la flore intestinale des bébés

Une nouvelle étude canadienne a analysé l’ADN de 24 bébés en santé nés à terme, à partir d’échantillons fécaux prélevés à l’âge de 4 mois. Six d’entre eux étaient nés par césarienne, et 10 étaient nourris exclusivement de lait maternel.

Les bébés qui étaient nourris de lait maternisé avaient un taux beaucoup plus élevé de « mauvaises » bactéries, incluant la bactérie C. difficile. Cependant, les chercheurs ont noté que la flore intestinale est extrêmement complexe et pas encore bien comprise, puisque dans certains cas, la corrélation était positive, et dans d’autres, négative.

Les enfants nés par césarienne avaient aussi un taux de bactéries intestinales différent de celui des enfants nés par voie naturelle. Les césariennes « par choix » étaient ainsi associées à « la richesse et la diversité les moins élevées », tandis que les césariennes d’urgence étaient associées à la richesse et la diversité les « plus élevées ».

Le passage par le « canal de naissance » donne une inoculation naturelle par des bactéries présentes chez la mère. C’est pourquoi certaines bactéries n’étaient tout simplement pas présentes chez les bébés issus d’une césarienne, peu importe si la mère allaitait ou non, selon Med Page Today.

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Le lait maternel bon pour la flore intestinale des bébés

Le lait maternel pourrait contribuer à la croissance de ces importantes bactéries qui absorbent les nutriments et développent le système immunitaire.

« Seul le lait maternel semble promouvoir une colonisation saine des biofilms bénéfiques, et ces découvertes suggèrent qu’il pourrait y avoir des tentatives pour développer des substituts qui imiteraient plus fidèlement ces bénéfices pour les cas où le lait maternel ne peut être donné », explique l’auteur principal de l’étude, William Parker.

Ces résultats permettraient donc le développement de laits en poudre meilleurs pour la santé et la croissance de l’enfant.

Les scientifiques avaient déjà affirmé, dans de précédentes recherches, que le lait maternel aidait à protéger le bébé de la diarrhée, de la grippe et des infections respiratoires, en plus de réduire leurs risques de développer des allergies, le diabète de type 1 ainsi que plusieurs autres maladies.

Rappelons qu’alors que seuls près de 40 % des bébés âgés de moins de six mois sont exclusivement nourris au sein, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) rappelle que l’allaitement maternel « est l’un des moyens les plus efficaces de préserver la santé et d’assurer la survie de l’enfant ».

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La flore intestinale jouerait un rôle dans le développement du diabète

Chez certaines personnes, une alimentation riche en graisse pourrait causer des troubles du métabolisme.
 
Ceci en raison des bactéries que l’on retrouve dans la flore intestinale, rapporte la revue Gut. Le nombre et le type de bactéries pourraient favoriser l’apparition de troubles comme le diabète.
 
Les recherches menées sur des souris montrent que certaines ayant une alimentation riche en graisses sont devenues diabétiques et d’autres non. On a alors remarqué que le nombre et le type de bactéries de leur flore intestinale n’étaient pas les mêmes.
 
Les chercheurs ont pu modifier la flore en ajoutant des fibres alimentaires et des gluco-oligosaccharides à l’alimentation. Le métabolisme des souris diabétiques est donc devenu très similaire à celles qui n’avaient pas développé la maladie.
 
On croit donc qu’avec certains additifs nutritionnels qui visent la flore intestinale en agissant sur les bactéries, on pourrait freiner le développement de troubles du métabolisme et éviter plusieurs cas de diabète notamment.

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Une autre cause à l’obésité est découverte

Ce n’est pas seulement le manque d’exercice, un apport trop grand en calories ou quelques rares anomalies génétiques qui peuvent expliquer l’obésité.
 
Selon des travaux menés par Andrew Gerwirtz à l’École de médecine de l’Université Emory en Géorgie, une mauvaise régulation des bactéries intestinales peut provoquer une prise de poids.
 
« Un excès de consommation de calories n’est pas seulement le résultat d’une alimentation excessive, les bactéries intestinales contribuent à modifier l’appétit et le métabolisme », explique l’auteur de la recherche, à Top Santé.
 
Une inflammation de la flore intestinale par des bactéries favorise une prise de poids et augmente les risques de développer le diabète.
 
Il est donc important de réguler le tout avec des prébiotiques, qui servent en fait de nourriture aux probiotiques et favorisent le développement d’une flore saine. Ils freinent les bactéries, les infections et aident à garder le ventre plat.

Les prébiotiques se retrouvent notamment dans l’ail, les asperges, la chicorée, les artichauts, les poireaux et les bananes.

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L’obésité : Une question de flore intestinale

Apparemment, des microorganismes qui jouent un rôle dans la digestion des aliments pourraient provoquer une prise de poids s’il y a un mauvais fonctionnement, rapporte le journal Science.
 
De plus en plus, on démontre que l’obésité n’est pas seulement due à une trop grande consommation de calories et à l’inactivité. Il semble y avoir d’autres causes subjacentes.
 
La nouvelle étude affirme que si les mauvaises bactéries arrivent à prendre le dessus dans la flore intestinale, cela causerait une inflammation et donc un début de diabète et une augmentation de l’appétit.
 
« On a longtemps considéré que l’épidémie d’obésité dans les pays développés était causée par un mode de vie de plus en plus sédentaire et l’abondance de nourriture hautement calorique à bas coût. Les résultats de notre étude suggèrent toutefois qu’un excès de consommation de calories n’est pas seulement le résultat d’une alimentation excessive, mais que les bactéries intestinales contribuent à modifier l’appétit et le métabolisme », explique Andrew Gewirtz de la Faculté de médecine de l’Université Emory en Géorgie.
 
Les chercheurs en sont arrivés à ces conclusions après avoir privé des souris de la protéine TLRS qui aide à déceler les bactéries et faire la part des choses entre les bonnes et les mauvaises. 
 
Avec cette découverte, on aurait espoir un jour de contrecarrer ce phénomène en donnant de bonnes bactéries aux enfants avant même que les mauvaises s’installent dans l’organisme.