D’autant plus, elle a beaucoup de succès au-delà de nos frontières. En effet, Le temps des framboises a été présentée en grande première lors de la Berlinale, puis au festival Séries Mania en France. La fiction réalisée par Philippe Falardeau et scénarisée par Florence Longpré et Suzie Bouchard a fait couler beaucoup d’encre, ici comme à l’international.
« Toujours troublée par la tournure des événements de l’été précédent, Elisabeth fait face à de nouveaux enjeux avec le retour des travailleurs affectés aux nouvelles serres »
« Navigant entre le drame et l’humour, Le temps des framboises suit le destin d’Elisabeth, une femme courageuse et têtue qui a repris la ferme familiale après la mort soudaine de son mari. Entre le deuil, l’éducation de ses enfants, les tensions avec sa belle-famille et ses relations avec les travailleurs saisonniers, cette néophyte en pleine crise de la quarantaine embrasse une nouvelle vie qui n’est pas de tout repos.
Toujours troublée par la tournure des événements de l’été précédent, Elisabeth fait face à de nouveaux enjeux avec le retour des travailleurs affectés aux nouvelles serres. Les Conley vivront encore leur lot de déchirements, de séparations, mais aussi d’immenses bonheurs et d’innombrables apprentissages », apprenait-on dans un communiqué, au sujet de la saison deux.
La distribution de la première saison mettait en vedette Sandrine Brisson et ses fils étaient incarnés par Elijah Patrice, qui a su briller dans Alerte Amber, et par Xavier Chalifoux, un jeune sourd de naissance qui fera ses débuts comme comédien.
Micheline Lanctôt, Paul Doucet, Anne Beaudry, Ellen David, Nicole Leroux ainsi que Kathleen Stavert ont interprété les membres de la belle-famille d’Elizabeth, tandis que Edison Ruiz, Hugo Leonel Rucuch, Jorge Martinez Colorado, Johnny Cortez, Marco Ledezma, Rubén Meza Andres et Romo Salido ont joué des travailleurs saisonniers.
Rappelons que l’histoire de la première saison allait comme suit : « Le temps des framboises raconte l’histoire d’Élisabeth (Sandrine Bisson), en pleine crise de la quarantaine, qui hérite de la ferme familiale suite à la mort subite de son mari. Tenant tête à sa belle-famille, néophyte dans l’immense tâche que représente la gestion d’une ferme, elle se lance dans cette nouvelle vie avec comme seuls alliés ses fils: Junior (Élijah Patrice), éprouvant des problèmes de comportements, William (Xavier Chalifoux) son plus jeune fils qui est sourd, ainsi que les travailleurs saisonniers qui habitent la ferme. Tous ensemble, ils plongeront au cœur de dilemmes moraux, lutteront contre une belle-famille hyper contrôlante et vivront de troublantes passions! Alors qu’Élisabeth ne s’est jamais réellement souciée des travailleurs saisonniers, ils deviendront presque comme une deuxième famille. C’est dans leurs solitudes respectives, celle du deuil et de l’exil, qu’ils trouveront tous un refuge inattendu ».
Et vous, avez-vous hâte de visionner la deuxième saison de la série Le temps des framboises?
En effet, la série Audrey est revenue est rentrée fièrement au Québec du Festival Canneseries avec deux prestigieux prix : le Grand prix Dior et le Prix Spécial d’interprétation. Mentionnons que c’est la première série québécoise en compétition officielle en série longue au festival Canneseries.
« On est extrêmement touchés de faire rayonner le Québec à Cannes, c’est le cas de le dire: on n’en revient pas! Je suis trop fière des comédiens, c’est fou gagner un prix de groupe! », a mentionné Florence Longpré via un communiqué.
« On est extrêmement touchés de faire rayonner le Québec à Cannes »
« Je suis complètement ému et tellement honoré de pouvoir vivre ça avec deux de mes meilleurs amis! C’est particulier pour moi parce que je viens de Sorel-Tracy, donc de voir ma ville natale sur grand écran me rend particulièrement fier. Ça me fait réaliser tout le chemin parcouru depuis le début de ma carrière », a ajouté Guillaume Lambert.
« Audrey est revenue c’était une expérience unique du début à la fin. C’est une série audacieuse, très singulière, et surtout elle touche tout le monde. Et maintenant grâce à Canneseries on sait qu’elle touche des gens de partout. Et ça, c’est la plus belle récompense », a lancé le réalisateur Guillaume Lonergan.
« C’est émouvant, pour la productrice Marie-Ève Pelletier et moi, de voir la planète réagir avec autant d’amour à une création de chez nous », a conclu Nicola Merola, président de Pixcom.
La série, qui est disponible sur le Club illico, met en vedette Florence Longpré dans le rôle de Audrey, mais aussi de Josée Deschênes, Denis Bouchard, Dominic St-Laurent, Élliot Miville-Deschênes, Zeneb Blanchet, Martin-David Peters, Joanie Guérin ainsi que la talentueuse Charlie Lemay-Thivierge.
L’histoire de la comédie dramatique de 10 épisodes suit Audrey, une jeune « femme de 34 ans qui se réveille miraculeusement d’un long coma 16 ans après avoir été retrouvée inconsciente sur une route de campagne. Entre-temps, bien des choses ont changé autour d’Audrey, la société tout comme les membres de sa garde rapprochée, tombés eux aussi dans une sorte de « dormance » depuis des années. En plus des défis de sa réadaptation physique, la trentenaire doit encaisser le choc psychologique de se retrouver soudain dans une époque qu’elle ne comprend pas. Audrey doit réapprendre à vivre à tous les niveaux, avec le vécu d’une adolescente dans un corps d’une femme de 35 ans ».
Rappelons que le scénario est original et percutant. L’histoire d’Audrey est touchante et remplie de douceur et pourtant, elle ne laisse personne indifférent.
« En plus de coécrire le scénario, Florence Longpré est criante de vérité dans le personnage d’Audrey, tout comme Ellyciane Paradis qui interprète ce rôle à l’adolescence. Elle est entourée de Josée Deschênes et Denis Bouchard, deux grands comédiens adorés du public, dans le rôle de ses parents, de Dominic St-Laurent et Élliot Miville-Deschênes (le frère d’Audrey à différentes époques), Zeneb Blanchet (sa demi-sœur, née de l’union de sa mère avec son nouveau conjoint, campé par Martin-David Peters) et de Joanie Guérin et Charlie Lemay-Thivierge (la meilleure amie d’Audrey au fil des ans) ».
La série tant attendue de Philippe Falardeau et de Florence Longpré, Le temps des framboises, a été présentée en première mondiale en clôture de la Berlinale Series de la 72e édition du Festival International du Film de Berlin.
Afin de faire patienter les Québécois et les Québécoises, c’est le 16 février que le Club illico a dévoilé les premières images du nouveau projet.
Une bande-annonce qui vous laissera en haleine!
En effet, c’est le 14 avril prochain sur la plateforme du diffuseur que vous pourrez visionner les 10 épisodes produits par Trio Orange, en collaboration avec Québecor Contenu.
Pour ce qui est de l’impressionnante distribution du Temps des framboises on peut compter sur les talents de Sandrine Brisson, qui a d’ailleurs décroché son premier rôle principal à la télé avec Le temps des framboises en incarnant Elizabeth. Ses fils seront incarnés par Elijah Patrice, qui a su briller dans Alerte Amber, et par Xavier Chalifoux, un jeune sourd de naissance qui fera ses débuts comme comédien.
Micheline Lanctôt, Paul Doucet, Anne Beaudry, Ellen David, Nicole Leroux ainsi que Kathleen Stavert interpréteront les membres de la belle-famille d’Elizabeth, tandis que Edison Ruiz, Hugo Leonel Rucuch, Jorge Martinez Colorado, Johnny Cortez, Marco Ledezma, Rubén Meza Andres et Romo Salido joueront des travailleurs saisonniers.
« Le temps des framboises raconte l’histoire d’Élisabeth (Sandrine Bisson), en pleine crise de la quarantaine, qui hérite de la ferme familiale suite à la mort subite de son mari. Tenant tête à sa belle-famille, néophyte dans l’immense tâche que représente la gestion d’une ferme, elle se lance dans cette nouvelle vie avec comme seuls alliés ses fils: Junior (Élijah Patrice), éprouvant des problèmes de comportements, William (Xavier Chalifoux) son plus jeune fils qui est sourd, ainsi que les travailleurs saisonniers qui habitent la ferme. Tous ensemble, ils plongeront au cœur de dilemmes moraux, lutteront contre une belle-famille hyper contrôlante et vivront de troublantes passions! Alors qu’Élisabeth ne s’est jamais réellement souciée des travailleurs saisonniers, ils deviendront presque comme une deuxième famille. C’est dans leurs solitudes respectives, celle du deuil et de l’exil, qu’ils trouveront tous un refuge inattendu », pouvait-on lire dans un communiqué.
Le reste de la distribution sera composé de Guy Richer, Marilou Forgues, Michel Mpambara, Frédéric Desager, Luis Oliva, Clémence Dufresne Deslière ainsi que Richard Jutras.
Une belle rencontre de cultures sera dépeinte et, pour rendre le tout encore plus crédible, la série flirtera avec le français, l’anglais, l’espagnol ainsi que le langage des signes.
Le temps des framboises nous transportera dans le nouveau monde d’Elizabeth qui fera face au deuil, mais aussi à une déchirante histoire d’amour impossible, profondément émouvante. La série portera un regard actuel sur le monde rural en exposant en toute honnêteté le profil des travailleurs agricoles étrangers ainsi que la détresse psychologique des agriculteurs.
Bon, assez jasé! Pour visionner la bande-annonce, glissez ci-dessous.
Le film Aline, librement inspiré de la vie de Céline Dion, sera ce soir à l’honneur. Valérie Lemercier et Sylvain Marcel répondront aux questions de Guy A. Lepage à Tout le monde en parle.
Il s’agit d’un sixième long métrage pour la réalisatrice Valérie Lemercier qui, avec panache, s’est mise dans la peau de Céline Dion. La comédienne retrace le parcours d’Aline, de son enfance à aujourd’hui.
Voici la bande-annonce :
Tout au long du film, le public aura le plaisir d’écouter les merveilleuses chansons de Céline Dion interprétées par Victoria Sio, la doublure de Valérie Lemercier. C’est le comédien Sylvain Marcel qui incarne René Angélil, rebaptisé Guy-Claude.
L’émission accueillera aussi Vincent Richer, directeur adjoint du SPVM et Mohamed Noredine Mimoun, coordonnateur pour le Forum Jeunesse de Saint-Michel pour parler de la violence armée à Montréal. Florence Longpré et Guillaume Lambert seront également présents pour la nouvelle série Audrey est revenue.
Enfin, on retrouvera sur le plateau le ministre de l’Environnement et du Changement climatique Steven Guilbeault, l’ancien joueur de hockey Stéphane Richer, ainsi qu’André Robitaille et Loryanne Côté pour le documentaire La vie devant moi.
Tout le monde en parle, c’est ce dimanche à 20 h sur les ondes d’ICI Télé.
La 36e édition du Gala Artis se tenait dimanche soir en direct des Studios MELS. Si les looks des nommés nous ont éblouis, on ne peut pas en dire autant de la cérémonie elle-même, qui avait lieu sur une scène qui semblait trop grosse pour les circonstances. Disons qu’on était loin de l’ambiance plus intimiste qu’avait adoptée le Gala les Olivier ou de l’ingéniosité de la mise en scène des derniers Gémeaux. Tout de même, la soirée nous a offert quelques moments à souligner et de très bons sketchs.
Le numéro d’ouverture avec un drôle de choix musical
Le bal a été lancé avec un numéro d’ouverture qui n’était pas spécialement prenant, malgré le talent des interprètes. Mélissa Bédard, Corneille et Damien Robitaille ont uni leur voix dans un medley de grands hits anglophones, principalement des années 70 et 80. Un drôle de choix pour célébrer la télé québécoise de la dernière année, qui a été représentée seulement par une poignée de nommés qui dansaient sur scène, plus ou moins à l’aise. Laurence Nerbonne est heureusement venue sauver le show en interprétant une de ses pièces originales.
L’introduction par les animateurs
Tout de suite après la mise en bouche musicale, les deux animateurs de la soirée, Guy Jodoin et Charles Lafortune, ont fait un numéro de stand-up dont les jokes sont souvent tombées à plat. Rire du nom de Noovo ou de l’échec du retour de Caméra Café a bien marché, mais beaucoup de blagues n’ont pas provoqué de rires dans la salle, et ça n’était visiblement pas seulement parce qu’elle ne contenait que la soixantaine de nommés. Parmi les gags qui n’ont pas eu l’effet escompté, on compte notamment celui qui référait très (trop) subtilement à l’absence de Maripier Morin, qui avait été nommée malgré les allégations de harcèlement sexuel, de voie de fait simple et de propos racistes dont elle fait l’objet depuis maintenant neuf mois. « Non, Charles, finalement, c’est 62 nommés », a lancé Guy Jodoin.
Le discours de Martin Matte
« Guylaine, #JeSuisJustine », a blagué Martin Matte, un des grands gagnants de la soirée, en montant sur scène pour récupérer son premier prix, faisant évidemment référence à une situation fort embêtante dans laquelle la comédienne s’est récemment retrouvée bien malgré elle. Tout son discours était délicieux, de sa craque à Christian Bégin à son gag sanitaire sur son réalisateur, Robin Aubert. L’as des Beaux malaises a été plus drôle en faisant des remerciements que les deux animateurs dans leur numéro d’introduction! Il a d’ailleurs fait un deuxième discours à la fin de la soirée et en a profité pour saluer notamment les travailleurs essentiels, mais aussi les jeunes qui se retrouvent isolés dans une période où ils devraient être davantage avec leurs amis que leurs parents.
La présentation de Christian Bégin
Christian Bégin, qui était nommé pour la première fois au gala, présentait le prix pour Animation d’émissions de services, remis sans surprise à Gino Chouinard, et s’est lancé dans une longue tirade sur comment les animateurs d’émission de cuisine sont ceux qui ont le plus rendu service dans la dernière année. Son rôle de gars irrité qui était gêné de sortir sa colère a très bien fonctionné, mais aurait été encore plus réussi en étant un tantinet raccourci.
Sarah-Jeanne Labrosse et Julie Le Breton
Seulement deux des 16 artistes récompensés ont abordé les grands bouleversements que connaît présentement le milieu artistique avec la question du retour de personnalités publiques dont les comportements abusifs ont été dénoncés. La première, Sarah-Jeanne Labrosse, est montée sur scène pour accepter son prix de Rôle féminin dans une série dramatique saisonnière et avait un stress particulier qu’elle a elle-même avoué. En plus de ses remerciements, elle a glissé un mot sur les derniers événements : « Je l’aime mon milieu, et j’ai envie de l’aimer encore longtemps ». Récompensée au titre de Personnalité féminine de l’année, Julie Le Breton a quant à elle déclaré : « J’ai eu la chance de travailler dans des endroits où j’étais en sécurité, sur des plateaux où les gens étaient bienveillants à mon égard, où on était respectueux et respectueuses les uns envers les autres de la sensibilité et de la force de chacun et de chacune. […] Je crois pertinemment qu’on peut avoir un milieu à cette image, dans la bienveillance, dans l’amour et dans le respect de chacun ». Des messages nécessaires et non moins courageux.
Des choix étonnants
Ce n’est pas la première fois que le Gala Artis surprend le public par les choix de vainqueurs, mais deux catégories ont particulièrement étonné les téléspectateurs et téléspectatrices, voire les gagnants eux-mêmes. Marc Messier était surpris de gagner pour son rôle très secondaire — « périphérique », dans ses mots — dans La faille, assumant qu’il devait être là pour son « passé ». Jean-René Dufort, qui a gagné dans la catégorie Animation d’émissions de variétés ou de divertissement, a souligné le travail exceptionnel de France Beaudoin avec En direct de l’univers dans la dernière année, alors que bien des gens s’attendaient à la voir gagner. Il faut dire quand même que notre Infoman national a lui aussi fait un boulot remarquable en pandémie et qu’il méritait cette deuxième victoire.
Le segment d’Ariel Charest
Ariel Charest, qu’on connaît pour le compte Instagram Elle fait du lipsync, a repris des extraits des nommés de la catégorie Animation d’émissions de sport. Ses déguisements, son jeu et son lipsync légendaire composaient un parfait trio, et la comédienne a offert un des meilleurs numéros du gala. Par ailleurs, le gagnant, Dave Morissette, a été très touchant dans son discours, se livrant sur le récent décès de « son plus grand allié », son père.
Il y a eu 10 féminicides depuis le début de 2021 au Québec. La violence conjugale a été abordée dans la télévision québécoise au cours de la dernière année avec Les Beaux malaises 2.0, mais surtout avec M’entends-tu? et le documentaire Face aux monstres. Florence Longpré et Ingrid Falaise sont ainsi allées sur scène pour offrir un numéro en duo, livrant un texte puissant. On aurait aimé que ça dure plus longtemps.
Le sketch pour présenter les émissions d’affaires publiques
Des comédiens et comédiennes de différentes séries policières se sont regroupés dans un sketch pour raconter une histoire de pseudo complot sans queue ni tête impliquant tous les animateurs d’affaires publiques. Le gagnant, Mario Dumont, en a profité pour faire une mise en garde contre la désinformation qui sévit plus que jamais.
L’hommage aux animateurs et animatrices de bulletins de nouvelles
En couvrant la pandémie depuis plus d’un an, ils et elles ont fait un travail exceptionnel qui méritait le long segment qui leur a été accordé, composé entre autres d’un duo d’Alexandra Stréliski, qui livrait une merveilleuse prestation au piano, et de David Goudreault, qui faisait un autre de ses slams. Pierre Bruneau, le gagnant, a d’ailleurs lui-même été touchant en faisant son discours et en ayant une pensée particulière pour les plus de 10 000 personnes qui sont mortes de la COVID-19 au Québec, loin de leurs proches.
La présence surprise du capitaine Charles Patenaude
L’ingénieure en aérospatiale Farah Alibay présentait, depuis Los Angeles, le prix de Personnalité féminine de l’année et a elle-même été introduite par nul autre que le capitaine Charles Patenaude, alias Guy Jodoin, parce qu’elle était fan de Dans une galaxie près de chez vous étant plus jeune et qu’elle est maintenant rendue à la NASA. Quel modèle, cette femme! Le penchant masculin du prix a été présenté par François Legault, ajoutant à l’honneur pour celle qui est au coeur de la mission Mars, là où « la main de l’homme n’a jamais mis le pied ».
Celle qui a co-écrit la série avec son ami de longue date Guillaume Lambert, la comédienne Florence Longpré a hérité du rôle principal dans la nouvelle comédie dramatique de dix épisodes, Audrey est revenue, qui sera présenté dès l’automne sur le Club illico. Les tournages s’amorcent le 12 avril prochain à Sorel-Tracy, la ville natale de Guillaume, et le tout sera réalisé par celui qui est derrière la populaire émission M’entends-tu?, GuillaumeLonergan.
La prémisse d’Audrey est revenue tourne autour d’Audrey Beaudry qui se réveille d’un long coma qui a duré 16 ans. Cette dernière devra mettre les bouchées doubles sur sa réhabilitation, tant physiquement que mentalement. De plus, Audrey se réveille dans un monde qui a complètement changé pendant ces 16 dernières années et quand celle-ci retourne chez elle, à Sorel-Tracy, elle se rend compte que plus rien n’est pareil, que sa famille n’est plus la même, la mode a changé, la technologie domine maintenant le monde… Audrey devra affronter tous les obstacles concernant sa réhabilitation, alors que cette dernière a encore une mentalité d’adolescente, mais est maintenant dans la trentaine.
Ceux qui font partie de la belle distribution diversifiée (enfin!) et qui partageront l’écran avec la protagoniste et co scénariste sont Ariel Ifergan, Zeneb Blanchet, Josée Deschênes, Denis Bouchard, Charlie Lemay-Thivierge, Dominic St-Laurent, Benoît Drouin-Germain, Joanie Guérin et Martin-David Peters.
« Audrey est revenue est une série lumineuse sur le sujet du réveil, celui d’Audrey bien sûr, mais celui aussi de tout son entourage, qui reprend enfin goût à la vie après un grave traumatisme survenu il y a plusieurs années. Alternant entre le drame et la comédie, c’est l’histoire d’une jeune fille plus tout à fait jeune qui retrouve la mémoire, qui reprend contacte avec l’essence d’elle-même et qui se reconstruit peu à peu. », ajoute les auteurs Florence Longpré et Guillaume Lambert, par voie de communiquer.
Le Club illico est reconnue pour ses séries de feu, qui peu à peu font compétitions directement dans la cour des grands diffuseurs, tels que Netflix et plusieurs autres.
Audrey est revenue sera disponible dès cet automne sur le Club illico.
En coulisses
Psst: Rappelons que le Club illico a récemment partagé la bande-annonce de sa nouvelle série thriller (qui vous fera grandement penser à Fortier) Portait Robot. La série sera disponible dès le 15 avril prochain, c’est à ne pas manquer!
C’est dur de dire au revoir à une série aussi puissante, nécessaire, lumineuse et constamment excellente que M’entends-tu?, mais il va falloir se faire à l’idée. La troisième et dernière saison sera en effet relayée sur les ondes de Télé-Québec à compter de la semaine prochaine. Plus que 10 épisodes et ensuite basta, on ne verra plus notre trio d’Hochelaga. Ça donne envie de verser quelques larmes, larmes qu’ont à peine retenues les trois actrices principales en conférence de presse quand elles n’étaient pas en train de pouffer de rire. Ce mélange d’émotions, c’est le même que celui qui nous habitait en écoutant les deux premiers épisodes de ce dernier tour de piste.
D’abord, la question qui brûle les lèvres : Carolanne est-elle de retour? On se souvient que le personnage interprété avec sensibilité par Ève Landrya été victime de violence conjugale la saison dernière et que son futur avait été laissé en suspens avec la finale, durant laquelle elle était transportée en ambulance. Mauvaise nouvelle : on ne peut pas vous dire ce qui lui est arrivé. Bonne nouvelle : vous le saurez dès les premières minutes de la nouvelle saison. Mais, quelle que soit l’issue pour Carolanne, la violence qu’elle a subie n’est pas oubliée ni balayée sous le tapis, on vous l’assure.
« Une des choses dont je suis le plus fière dans cette série-là, c’est probablement d’avoir traité de la violence conjugale de cette manière-là, c’est-à-dire d’une manière si concrète, si réelle et si vraie. De ne pas montrer ça comme étant quelque chose qui se passe chez le voisin », a d’ailleurs dit l’interprète en rencontrant les médias, lundi. Mais soyons clairs : sa présence à la conférence de presse ne confirme pas la présence de son personnage dans la dernière saison!
L’avenir a l’air brillant du côté de Fabiola (excellente Mélissa Bédard), qui se marie à son beau (et petit!) Léon (Marc St-Martin) et qui semble désormais avoir des liens sains avec sa soeur (Leïla Donabelle Kaze) et sa nièce (Aliyah Elisme). Est-ce que ça va trop bien? On se permet de croire que non, que ce bonheur est bien réel, que l’espoir demeure et que la « longue marche vers la lumière » que la production nous a promise pour cette troisième saison commence là, dans ce petit nid d’amour douillet.
Vous l’aurez peut-être deviné à cause des noces, l’histoire a fait un bon dans le temps. On retrouve notre belle (et parfois un peu mal amanchée) gang quelques mois après l’agression contre Carolanne et c’est encore une fois par des flashbacks qu’on rattrape les moments perdus, notamment la rupture entre Ada (Florence Longpré) et Nassim (Mehdi Bousaidan). Comme quoi une relation peut être toxique sans coups.
Ada est en peine d’amour. Toujours à perdre ses jobs, à se faire donner des lifts par le livreur à vélo (allô, Nicolas Michon!) ou à rejeter l’idée de gagner en maturité émotionnelle, elle semble être celle qui a le moins grandi depuis le début de la série, même si son intervenante en gestion de la colère (Sophie Desmarais) nous dirait peut-être le contraire. Toujours est-il qu’on aimerait que cette saison soit la sienne, et ça passera peut-être par sa relation avec sa mère, Bianca (Isabelle Brouillette), ou celle avec sa cousine, Karine (Pascale Renaud-Hébert), qui sera d’ailleurs plus présente que jamais cette année.
« Ada, elle fait deux ou trois pas en avant, elle en fait un autre en arrière. […] Plus elle comprend son passé, plus elle peut intervenir dans son futur », a lancé Florence Longpré, qui coécrit M’entends-tu? avec Pascale Renaud-Hébert, aux médias en début de semaine. À force de faire du chemin, Ada pourrait bien se sortir de la tempête, en effet.
« Je pense que c’est la saison qui est la plus équilibrée. La saison un était très drôle, la saison deux était quand même plus dense, et dans la saison trois, j’ai l’impression qu’on a trouvé un certain équilibre entre drame et humour. C’est venu assez naturellement », a expliqué Pascale, tandis que Florence ressent un peu plus de tristesse dans cette ultime saison, mais c’est peut-être justement parce qu’il s’agit de la dernière.
Avec sa musique omniprésente au point de devenir elle-même un personnage, la série est souvent comique et plutôt feel good, même si les peines et les traumatismes sont toujours aussi présents. C’est d’ailleurs ce qui confère à M’entends-tu? toute sa profondeur, mais aussi l’universalité de son propos. La représentation de personnes marginalisées et souvent oubliées de la télévision ainsi que les thèmes sincèrement humains ont trouvé écho partout dans le monde grâce à Netflix.
M’entends-tu? sera diffusée les mardis à 21h à compter sur 23 mars sur les ondes de Télé-Québec. Deux épisodes en rafale seront présentés durant les deux premières semaines, puis un seul jusqu’à la finale du 11 mai, qu’on nous promet très surprenante (et, croisons les doigts, pleine d’espoir).
C’est officiel, l’attente est presque terminée. C’est le 23 mars prochain qu’on retrouvera l’attachant trio de femmes composé d’Ada (Florence Longpré), Carolanne (Ève Landry) et Fabiola (Mélissa Bédard) dans la troisième saison de M’entends-tu?. Télé-Québec a pour l’occasion dévoilé les images de ce qui nous attend, et l’éléphant dans la pièce ne pourrait être plus évident.
On parle en effet de l’absence du personnage de Carolanne qui a connu un tragique événement à la fin de la dernière saison. Tout porte à croire qu’il faudra encore patienter avant de connaître l’issue de son histoire marquée par la violence conjugale.
Malgré tout ce déchirement, l’espoir trouve quand même sa place dans la bande-annonce, alors qu’on entrevoit des moments de bonheur vécus par différents personnages de la série. La lumineuse pièce Demain il fera beau d’Étienne Coppée n’a d’ailleurs peut-être pas été choisi par hasard.
On l’espère en tout cas puisque la troisième saison de M’entends-tu? représente l’ultime volet de cette série qui nous aura touchés droit au coeur.
Alerte aux fans d’émission de décoration et de rénovation, Canal Vie présentera dès le 5 janvier prochain la nouveauté Décor en vedette où de nombreuses personnalités auront la chance de gâter leurs proches avec un projet de rénovation.
Heureux de pouvoir redonner un peu de l’amour qu’ils reçoivent quotidiennement, Mélissa Bédard, Eve Côté, Olivier Dion, Mathieu Dufour, Jay Du Temple, Marc-André Grondin, Marie-Lyne Joncas, Sarah-Jeanne Labrosse, Magalie Lépine-Blondeau, Florence Longpré, Christine Morency, Félix-Antoine Tremblay et Guylaine Tremblay ont tous accepté de se prêter au jeu.
Bien entendu, ceux-ci seront accompagnés par un professionnel, soit le talentueux designer Antoine Laurier, à qui l’on doit les somptueux décors d’Occupation Double.
Histoire de mieux le connaître, quelques vedettes ont bien voulu tracer le portrait de ce manuel qui a l’oeil pour transformer une pièce en une véritable oeuvre d’art!
Décor en vedette, dès le 5 janvier 20h.
Par ailleurs, ce n’est pas la seule nouveauté qui s’amène à Canal Vie cet hiver. Dès le 13 janvier, à 20h, on pourra également retrouver Félix-Antoine Tremblay à l’animation de la téléréalité Flirt à l’aveugle où des participantes rencontreront trois prétendants sans jamais les voir! Elles passeront la journée avec eux, elles leur parleront et verront parfois même leurs amis et leurs familles. Mais ce n’est qu’après avoir fait un choix final que les participantes pourront voir les trois candidats. Elles pourront ensuite avoir un rendez-vous avec celui qui leur plaisait le plus afin de mettre à l’épreuve cette expérience unique!
Le 1er février, à 19h30, il sera aussi possible de visionner la série documentaire La vie après la DPJ dans laquelle on suivra les différents parcours d’une quinzaine de jeunes âgés de 16 à 20 ans, alors qu’ils entrent dans le monde des adultes. L’émission plongera le public dans cette réalité peu connue, où ces jeunes doivent prendre en main leur vie dans des conditions difficiles. Heureusement, ils peuvent compter sur l’aide d’Intervenants dévoués. Reste que les embûches sont nombreuses, tout comme l’apprentissage qui doit être fait. L’autonomie, la solitude, la confiance, la recherche d’emploi et les revenus sont notamment des sujets couverts dans cette série qui s’annonce fort touchante.
Puis, le 15 mars, à 20h, on fera la rencontre de quatre familles avec des triplés dans Trois fois plus. On les suivra dans leur quotidien qui s’avérera aussi extraordinaire que surprenant!
Le 29 mars, à 19h30, on pourra enfin visionner la nouvelle émission Le grand move pilotée par Mariloup Wolfe. La comédienne et animatrice accompagnera des familles qui ont décidé de troquer la vie urbaine pour s’établir en région. Chaque épisode proposera le portrait d’une famille différente avec qui on verra les pour et les contre d’une telle décision, prise d’abord pour avoir une meilleure qualité de vie.
Le 6 avril, à 20h, la designer Émilie Cerretti nous donne rendez-vous à sa nouvelle émission Vie de chalet. Elle aidera des propriétaires de chalet en manque d’inspiration à donner un second souffle à leur foyer secondaire grâce à des projets de rénovation de grande envergure. Pour réaliser sa vision, Émilie s’entourera de Stéphane Larente, son conjoint et partenaire d’affaires, ainsi qu’une équipe de professionnels.
L’hiver sera également synonyme des retours très attendus du public, dont la cinquième saison de Vendre ou rénover au Québec avec Maïka Desnoyers et Daniel Corbin, ainsi que la deuxième saison de Ma petite vie et Trauma.
Du côté des acquisitions, la chaîne proposera les nouveautés Célibataire chercher papa, Les héros de l’urgence et SOS pieds en détresse, en plus de nouveaux épisodes pour Rénover sans se ruiner (saison 3), La vie avec des quintuplées(saison 6), 17 ans et maman: Nouvelle génération (saison 2) et 3 garçons et des sextuplés (saison 3).
Ce jeudi, Groupe Entourage annonce avec fierté la production de Maria, leur tout premier long métrage mettant en vedette nulle autre que Mariana Mazza! C’est l’humoriste elle-même qui signe le scénario de cette comédie avec Justine Philie. Après deux ans de développement, c’est maintenant l’étape des tournages qui débute dans les prochaines semaines, où l’équipe se réunira à différents endroits dans la région de Montréal.
En plus de Mariana Mazza, Maria compte aussi sur les talents de Florence Longpré et Alice Pascual dans les deux autres rôles principaux. Korine Côté, Isabel Dos Santos, Pascal Cameron et Christine Morency complète quant à eux la distribution de ce film réalisé par Alec Pronovost qui était aussi derrière la caméra pour Femme ta gueule – Le film.
On y suivra l’histoire de, vous l’aurez compris, Maria (Mazza), une jeune femme de 30 ans peu accomplie, qui, au chevet de sa mère mourante, lui promettra de remettre sur les rails sa vie. Chose peu facile quand on n’a aucune expérience de travail et un BAC en communication vieux de 7 ans. Pourtant, Maria deviendra remplaçante au secondaire et vivra ce qu’elle a fait vivre à ces pauvres personnes lorsqu’elle était plus jeune. Entre des profs blasés et des étudiants pas faciles à suivre, Maria trouvera malgré tout sa voie, en comptant sur le soutien de ses deux complices Nathalie (Longpré) et Justine (Pascual).
Maria mettra donc en lumière le quotidien des professeurs et des jeunes d’aujourd’hui dans un film touchant et drôle, qui en surprendra plus d’un!