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Les changements climatiques pourraient changer le ratio entre hommes et femmes

Les fluctuations climatiques au Japon sont monnaie courante depuis 1970. Par conséquent, le nombre de grossesses de bébés de sexe masculin a diminué.

Une étude comparative sur le taux de naissances de garçons et de filles à travers les changements climatiques a soulevé des questionnements chez les scientifiques japonais.

En plus de réaliser que durant cette période, les naissances masculines ont diminué, les chercheurs ont voulu corroborer les faits en prenant des cas beaucoup plus récents de variations climatiques importantes.

Le Dr Misao Fukuda et son équipe ont analysé les données de l’été très chaud de 2010 et de l’hiver très froid de 2011.

Live Science rapporte que sans pouvoir prouver que le climat est l’unique responsable de la diminution des garçons par rapport aux filles, il n’en demeure pas moins que 9 mois après ces deux saisons, il y avait beaucoup moins de bébés de sexe masculin.

D’autres études sur le même sujet avaient donné des résultats partagés. Il faudra donc de plus amples analyses.

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Accepteriez-vous un vaccin intra-utérin pour votre bébé?

Des scientifiques français ont découvert que le système immunitaire du bébé est fonctionnel même pendant la gestation.

C’est Top Santé qui rapporte cette percée en médecine, développée par des experts de l’INSERM, en collaboration avec l’institut Pasteur et l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris.

Dans la revue spécialisée Science Translational Medicine, on découvre que les lymphocytes T (type de globules blancs) sont en mesure de répondre à la vaccination. En effet, ceux-ci représentent une barrière physique contre les agents pathogènes.

L’objectif de la vaccination intra-utérine serait de renforcer prématurément la réponse immunitaire contre les maladies infantiles les plus fréquentes dans l’enfance et pour lesquelles les jeunes reçoivent des vaccins.

Entre autres, on parle de la tuberculose, la coqueluche, l’hépatite B et le vaccin DTP contre la diphtérie, le tétanos et la polio.

Les experts croient qu’ainsi, ils réduiraient le taux de mortalité infantile.

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Stress et grossesse, un cocktail dangereux pour l’enfant à naître

D’autre part, l’étude menée par des chercheurs de l’Université McGill au Québec, Canada, démontre que plus les futures mères sont stressées, plus les symptômes du TSA chez l’enfant sont importants.

Les scientifiques ont basé leur recherche à partir de familles ayant souffert de la crise du verglas de janvier 1998, catastrophe naturelle qui a privé certains foyers d’électricité jusqu’à 40 jours durant.

Le Projet Verglas a suivi 150 familles québécoises issues de milieux favorables et même supérieurs. Les femmes étaient toutes enceintes au moment de la tempête hivernale. Les enfants ont été examinés aux alentours de 6 ans.

Les chercheurs ont réalisé que sans pour autant recevoir le diagnostic d’autisme, les enfants nés à la suite de cet immense stress vivaient souvent les symptômes associés : difficultés sociales, notamment se faire des amis, maladresse et difficulté d’élocution.

Comme l’explique Suzanne King, auteure responsable de ce projet d’étude, cela constitue une évidence selon laquelle le stress influe directement sur le fœtus et sur la vie future de l’enfant. Pendant sa période intra-utérine, l’enfant est vulnérable à l’état de la mère.

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Retard de croissance intra-utérin mal diagnostiqué

Ce sont les chiffres rapportés par Top Santé. Le retard de croissance intra-utérin touche quand même 80 000 bébés annuellement, et ce, uniquement en France.

Malheureusement, les spécialistes ne connaissent pas les causes exactes de ces retards de croissance, et ceux-ci représentent un danger de naissance trop prématurée. Conséquemment, les bébés sont souvent handicapés.

Selon les représentants de la fondation Prem’Up, dédiée à la prématurité, « il n’y a pas de définition consensuelle du RCIU puisque d’un pays à l’autre, les variations de poids des bébés peuvent être importantes ».

Parmi les causes, on note la possibilité d’un dysfonctionnement du placenta, mais la cigarette et les drogues sont en haut de la liste. D’autre part, si la mère n’est pas en santé, les risques grimpent, par exemple au niveau de l’hypertension et d’une affection rénale.

Si la première échographie demeure l’intervention la plus efficace pour mesurer le développement du fœtus, le corps médical n’est pas suffisamment précis, puisque 4 enfants sur 5 souffrant de RCIU passent inaperçus.

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Communique avec son foetus, c’est possible

Dès la naissance, le bébé reconnaît la voix de sa mère parmi les autres. Mais cette reconnaissance vocale débute dans le ventre, autour de 28 semaines de grossesse, rapporte Top Santé.

Plus les semaines avancent, et plus l’appareil auditif du fœtus s’améliore et clarifie les sons. Au début, les conversations sont à peine audibles, puisqu’elles atteignent en moyenne 60 décibels, alors que le fœtus entend à partir de 100 décibels.

Cependant, tout son qui provient de sa propre mère, notamment la respiration, la digestion et la vibration de sa voix si elle parle ou chante, sont reconnus par le bébé.

À 32 semaines, l’audition se clarifie, mais c’est uniquement autour de 35 ou 36 semaines que le système interne de l’oreille est complètement formé.

Ne faites pas l’erreur de coller des écouteurs sur la paroi abdominale de votre ventre, puisque les sons seront trop amplifiés pour le fœtus.

Sachez que des études ont démontré que même si l’enfant à naître ne décèle pas clairement les sons et les voix, il réagit dès que c’est sa mère qui parle, alors parlez-lui le plus souvent possible, il en sera apaisé.

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L’exposition du foetus à la nicotine déclenche un changement métabolique qui engendre l’obésité

C’est Daniel Hardy, docteur de la Schulich School of Medicine & Dentistry de London, au Canada, qui en est arrivé à cette conclusion. L’absorption de nicotine par le fœtus engendre des conséquences négatives, notamment le risque de l’obésité. L’une des causes réside dans un syndrome métabolique déclenché par la nicotine, qui modifie le foie et entraine une production excédentaire de triglycérides.

Pour corroborer cette théorie, des rats ont reçu 1 mg par kg par jour de nicotine, soit l’équivalent de ce à quoi un fumeur adulte est habitué. Les scientifiques ont noté qu’à la naissance, la progéniture était plus petite que la moyenne. Mais 6 mois plus tard, alors que les rats atteignaient leur maturité, ils ont découvert un changement marquant au niveau du foie, créant un excédent de triglycérides, un facteur précurseur de l’obésité.

« Nous savions que fumer pendant la grossesse était nocif. Mais le problème, c’est qu’un cinquième des femmes enceintes au Canada continue à fumer, et 30 études ont démontré que les bébés de mères fumeuses ont 47 % plus de risques de développer un surpoids », déclare Hardy.

Mais il semble y avoir de l’espoir, selon Science World Report. La recherche, en parallèle, étudie l’effet de l’acide folique, qui pourrait être l’antidote de la surproduction de triglycérides. Les effets se sont avérés concluants sur le foie endommagé d’animaux.

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Les antidépresseurs pendant la grossesse pourraient causer des problèmes pulmonaires chez le foetus

En 2010, le Daily Mail rapportait les conséquences dangereuses de la prise d’antidépresseurs pendant la grossesse. Des chercheurs de l’Université de Montréal avaient établi un lien entre la prise de médication et un risque de fausse couche de 68 % plus élevé que chez les femmes sans médication.

En mars 2012, une étude parue dans le British Journal of Clinical Pharmacology mentionnait pourtant qu’il était mieux pour la femme enceinte dépressive de poursuivre sa médication. L’arrêt de celle-ci, selon la Dre Anick Bérard du CHU Ste-Justine de Montréal, au Canada, pouvait provoquer une dépression post-partum sévère.

Les recherches sur le sujet se poursuivent et se contredisent parfois, mais elles apportent néanmoins de nouvelles données. Récemment, un médecin de Toronto a suggéré que les femmes enceintes prenant du Zoloft ou du Prozac, notamment, pouvaient causer une déficience pulmonaire chez le fœtus.

L’hypertension pulmonaire persistante entraine à la naissance une résistance contre l’expansion des poumons. Cependant, la Dre Sophie Grigoriadis demande aux femmes enceintes de ne pas paniquer. « Le risque demeure faible. »

Grigoriadis informe via Philly.com que les femmes enceintes doivent prendre, avec leur médecin, la meilleure décision qui s’impose, selon les conséquences possibles de l’arrêt de la médication. « Cette affection doit être l’un des facteurs considérés, mais ne doit pas peser trop lourd dans la décision, puisque la dépression doit être traitée. »

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L’asthme non contrôlé pendant la grossesse est dangereux pour le foetus

Les résultats de l’étude menée notamment par Gunther Meinlschmidt ont été publiés dans l’édition de septembre de la revue Pediatrics. La recherche a été effectuée d’après la compilation de données recueillies auprès de plus de 67 000 femmes enceintes d’origine danoise ayant accouché entre 1996 et 2002.

Meinlschmidt et son équipe, en Suisse, ont mis en lumière les dangers réels non pas de l’asthme à proprement parler, mais surtout des crises d’asthme chez les femmes enceintes. Donc, la bonne nouvelle, c’est qu’un suivi serré pour éviter ces crises pendant la grossesse diminuera grandement les risques associés pour le nouveau-né.

L’autre côté de la médaille, c’est que les spécialistes ne s’attendaient pas à ce qu’un si large éventail de maladies infantiles soient reliées aux problèmes respiratoires de la mère. On pense par exemple à des désordres importants du métabolisme, à des maladies digestives, des complications des systèmes nerveux et respiratoires, et même des maladies infectieuses et des malformations.

Le Dr Alan Baptist, professeur et responsable d’un programme sur l’asthme à l’Université du Michigan, affirme qu’il n’est pas surpris des résultats. « Ces résultats sont en ligne avec ce que nous soupçonnions déjà […] Mais cette étude vient confirmer l’information. »

Baptist a même ajouté : « Aucun effet secondaire de médicament contre l’asthme n’est assez grave pour le fœtus, en comparaison avec les conséquences d’une crise d’asthme chez la femme enceinte. Mieux vaut, dans tous les cas, prendre sa médication et faire un suivi régulier, puisqu’en plus, cette maladie respiratoire s’aggrave souvent pendant la grossesse ».

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Une mauvaise alimentation pendant la grossesse apporte de lourdes conséquences chez l’enfant à naître

Déjà, dans une recherche précédente, on expliquait qu’une alimentation excessive de sucre et de gras modifiait la réponse du cerveau relativement à la « récompense ». En d’autres termes, elle prédisposait à la suralimentation et à diverses dépendances.

Or, cette nouvelle étude, menée par la neuroscientifique Nicole Avena, de l’Université de Floride, vient appuyer ces conclusions. Dès la gestation, le fœtus est sensible à l’apport en graisses et en glucides, et une surexposition le prédispose aux dépendances d’alcool et de drogues.

Ces conséquences se développeraient plus tard, à l’âge adulte, selon Santé Log, et s’ajoutent au risque très élevé de surpoids dès la naissance.

Dans le cas présent, ce sont deux groupes de rats qui ont été testés, le premier constitués de rats nés de mères nourries avec un régime alimentaire équilibré, et le second avec des rats dont les mères avaient été gavées de sucre et d’aliments gras.

La sensibilité à l’alcool et aux amphétamines des rats du second groupe était nettement plus élevée que ceux du premier groupe. Des résultats qui, malheureusement, sont très probants.

Cela encourage cependant les futures mères à prendre en compte leur alimentation dès les premiers trimestres de la grossesse.

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Faire de l’exercice pendant sa grossesse limiterait le surpoids du foetus

Une étude espagnole souligne les bienfaits de l’exercice physique régulier pendant la grossesse. Il permettrait de réduire de moitié le syndrome de macrosomie fœtale, c’est-à-dire lorsque le bébé pèse plus de 4 kg à la naissance.

Les chercheurs ont noté que faire de l’exercice trois fois par semaine pendant le deuxième et le troisième trimestres de grossesse réduisait les risques de surpoids du nouveau-né ainsi que le recours à la naissance par césarienne.

Ces résultats proviennent d’une étude menée par Rubén Barakat de l’Université polytechnique de Madrid, Alejandro Lucía, de l’Université européenne de Madrid, et Jonatan Ruiz, de l’Université de Grenade. Ils ont mis en place des programmes d’entraînement physique avec 510 femmes enceintes sédentaires, donc qui faisaient moins de 20 minutes de sport par semaine.

Les participantes ont suivi un programme d’entraînement de 55 minutes comprenant de l’aérobie, de la musculation et des étirements, trois fois par semaine, entre les semaines 10, 12, 38 et 39 de grossesse.

Les résultats ont montré que même si le sport ne réduisait pas le risque de diabète gestationnel, il limitait le risque de macrosomie (-58 %) et de naissance par césarienne (-34 %).

Les résultats de cette étude sont parus cette semaine dans le British Journal of Sports Medicine.

À noter que les femmes enceintes désireuses de se lancer dans un programme sportif doivent absolument consulter leur médecin au préalable. La Mayo Clinic américaine recommande à la plupart des futures mamans au moins 30 minutes d’exercice modéré par jour, la marche étant une très bonne manière de débuter. Autres sports recommandés : la natation, la gymnastique douce, et le vélo stationnaire.