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Les femmes cardiaques donnent naissance à plus de bébés filles

Sur 200 femmes atteintes d’une maladie cardiaque diagnostiquée, qui ont donné naissance à 216 bébés, 75 % des poupons étaient des petites filles.

Ce sont les données observées par une récente étude iranienne présentée au Congrès mondial de cardiologie organisé par la Fédération mondiale du cœur.

Cette analyse a tenté de prouver qu’il peut bel et bien y avoir une relation entre l’état de santé de la mère et le sexe des bébés qu’elle est capable de mener à terme, mentionne le site SantéLog.

Rappelons qu’en 2011, une enquête parue dans la revue Human Reproduction établissait que le ratio des sexes pouvait être influencé par le stress de la mère, et que les fœtus féminins étaient plus résistants et pouvaient ainsi mieux survivre à la nervosité.

Pour le Dr A. Alizadehasl, de l’Université de Tabriz en Iran, il y a un espoir que « son étude déclenche une enquête plus poussée sur la relation entre le sexe de l’enfant et la maladie cardiaque de la mère ».

Les participantes de l’étude du Dr A. Alizadehasl souffraient majoritairement de valvulopathie, de cardiomyopathie dilatée et de cardiopathie congénitale non corrigée.

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Les femmes cardiaques donnent naissance à plus de bébés filles

Sur 200 femmes atteintes d’une maladie cardiaque diagnostiquée, qui ont donné naissance à 216 bébés, 75 % des poupons étaient des petites filles.

Ce sont les données observées par une récente étude iranienne présentée au Congrès mondial de cardiologie organisé par la Fédération mondiale du cœur.

Cette analyse a tenté de prouver qu’il peut bel et bien y avoir une relation entre l’état de santé de la mère et le sexe des bébés qu’elle est capable de mener à terme, mentionne le site SantéLog.

Rappelons qu’en 2011, une enquête parue dans la revue Human Reproduction établissait que le ratio des sexes pouvait être influencé par le stress de la mère, et que les fœtus féminins étaient plus résistants et pouvaient ainsi mieux survivre à la nervosité.

Pour le Dr A. Alizadehasl, de l’Université de Tabriz en Iran, il y a un espoir que « son étude déclenche une enquête plus poussée sur la relation entre le sexe de l’enfant et la maladie cardiaque de la mère ».

Les participantes de l’étude du Dr A. Alizadehasl souffraient majoritairement de valvulopathie, de cardiomyopathie dilatée et de cardiopathie congénitale non corrigée.

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Grossesse : attention au téléphone mobile?

C’est ce qu’ont relevé des chercheurs de l’Université Yale dans la plus récente revue Scientific Reports. Ils ont découvert que l’exposition aux rayonnements des téléphones mobiles pendant la grossesse pouvait affecter le développement du cerveau des enfants.

Après avoir fait des expériences sur des souris gravides, les chercheurs se sont aperçus que les rongeurs, une fois nés, souffraient de problèmes de mémoire, d’hyperactivité et d’anxiété.

Pour arriver à cette conclusion, l’activité électrique du cerveau de souris adultes qui avaient été exposées à des rayonnements dans le fœtus a été mesurée. Une série de tests psychologiques et comportementaux ont également été faits.

Pour un groupe de scientifiques britanniques de l’University College de Londres, cette étude est complètement « alarmiste et injustifiable ».

Leurs contre-arguments reposent sur le fait que les souris à naître auraient reçu une dose de radiation beaucoup plus élevée que ce que l’enfant dans l’utérus peut obtenir. De plus, il semblerait que la distance entre le téléphone mobile et l’utérus n’était pas conforme à la femme et la souris en période de gestation.

Finalement, ils ont ajouté que la comparaison est impossible entre les rongeurs et les humains, parce que les souris sont nées après seulement 19 jours, avec un cerveau qui est à un stade beaucoup plus précoce de développement que celui des bébés humains.

Ils ont remarqué également que le niveau d’anxiété avait diminué chez les souris exposées aux radiations, alors qu’il est généralement plus élevé chez les enfants atteints de troubles de comportement.

Des tests auprès de fœtus humains seraient nécessaires pour extrapoler et obtenir des résultats concluants. Toutefois, ceux-ci sont interdits par des organisations qui protègent la santé de l’homme.

La dernière étude controversée portant sur le même sujet remonte à deux ans et avait été réalisée par des scientifiques de l’Université de Californie à Los Angeles.

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Les foetus avortés utilisés comme ingrédient culinaire?

Aussi spécial que cela puisse paraître, il semblerait, selon cet élu républicain, que des cellules souches embryonnaires ou de fœtus soient utilisées pour rehausser la saveur et le goût de certains aliments.

Provenant de fœtus avortés, ces cellules joueraient un rôle d’édulcorant naturel.

Outré, Ralph Shortey a partagé ses intentions et son opinion lors de diverses entrevues. Il vient de déposer un projet de loi et demande à ce que les fœtus avortés ne soient plus utilisés à cette fin.

Le peuple américain semble être méfiant et avoir une opinion mitigée quant aux affirmations du politicien, qui semble chercher des poux où il n’y en a pas depuis quelques années.

Rappelons qu’en 2008, Ralph Shortey avait réclamé que les candidats à la Maison Blanche prouvent leur citoyenneté américaine, visant ainsi directement Barack Obama, accusé de ne pas être né sur le sol américain.

Depuis un an, Shortey affirme enquêter sur l’utilisation des fœtus humains dans l’alimentation, après avoir découvert que des groupes anti-avortement avaient soi-disant appris que le géant Pepsi avait recours à ce genre de pratique peu éthique.

L’entreprise Pepsico a immédiatement démenti de fait par voix de communiqué, et la FDA n’a fait aucun commentaire.

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Quand le langage est influencé par la testostérone…

De nouvelles recherches de scientifiques australiens, publiées dans le Journal of Child Psychology and Psychiatry, révèlent que les garçons qui sont exposés à des niveaux élevés de testostérone avant la naissance sont de deux à trois fois plus susceptibles de connaître des retards dans le développement du langage par rapport aux filles.

Les chercheurs ont examiné la présence de testostérone dans le sang du cordon ombilical (liquide amniotique) lorsque vient le moment critique du développement des régions linguistiques du cerveau pendant la grossesse.

Les spécialistes estiment que 12 % des enfants rencontrent d’importants retards dans leur développement du langage, et ce sont souvent les garçons qui ont tendance à développer plus tard et à un rythme plus lent la parole.

L’équipe croit que cela peut être dû à l’exposition prénatale aux stéroïdes gonadiques comme la testostérone. Les foetus masculins sont connus pour avoir un taux de testostérone 10 fois plus élevé que les fœtus féminins.

Par contre, l’effet inverse a été découvert chez des nourrissons de sexe féminin, où de hauts niveaux de testostérone dans le sang du cordon ont été associés à une diminution du risque de retard de langage.

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Échographies : ne pas révéler le sexe du bébé pour sauver la vie de fillettes canadiennes

Ne pas révéler le sexe de l’enfant à naître avant la 30e semaine de la grossesse afin d’éviter des avortements de foetus féminins trop fréquents dans certains groupes d’immigrants asiatiques au Canada, voilà la solution que suggère un important journal médical canadien.

Quoique plus rare en Amérique du Nord, le foeticide en fonction du sexe de l’enfant touche des millions de personnes en Inde et en Chine.

Lorsque cette action est faite au Canada, celle-ci est à la demande de parents d’origine indienne, chinoise, coréenne, vietnamienne ou philippine.

Des études basées sur le recensement de 2000 aux États-Unis ont confirmé des ratios déséquilibrés en faveur des garçons dans les familles d’origine asiatique, en raison de cette réalité morbide.

Dans son éditorial, le rédacteur en chef par intérim du Journal de l’Association médicale canadienne (CMAJ), le Dr Rajendra Kale, déclare que ne pas révéler le sexe du foetus avant la 30e semaine de grossesse « est un prix modeste à payer pour sauver des milliers de filles au Canada ».

« Si le Canada est incapable de contrôler cette pratique répugnante, quel espoir peut-on avoir en Inde et en Chine? » a-t-il dit, insistant sur le fait que l’information sur le sexe du foetus est « médicalement sans importance ».

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Le foetus affecte le cerveau de la maman

Les hormones préparent en fait les femmes à la maternité, selon une étude publiée dans la revue médicale Current Directions in Psychological Science par Laura M. Glynn, une psychologue de l’Université Chapman aux États-Unis.

Mme Glynn a étudié les impacts du foetus sur le développement du cerveau de la maman et de sa future relation avec l’enfant, explique Magicmaman.

Selon elle, les mouvements du bébé stimulent le rythme cardiaque de la mère et la conductivité de la peau.

Les cellules foetales, qui passent à travers le placenta dans la circulation sanguine de la mère, sont attirées par certaines régions du cerveau, ce qui optimise le comportement maternel.

Les hormones prépareraient le cerveau de la femme à être prêt pour la maternité. Ces substances déclencheraient une envie de répondre aux besoins du bébé.

Les hormones transformeraient la femme en une mère attentionnée, efficace et sensible aux moindres bruits et gestes.

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La grossesse a-t-elle un impact sur le cerveau de la femme?

Outre la grossesse, il n’y a aucun autre moment dans la vie d’une femme où son organisme sera atteint par un aussi gros changement hormonal. Bien que l’hypothèse demeure toujours à être démontrée, les chercheurs Laura M. Glynn et Curt A. Sandman, de l’Université de la Californie Irvine, pensent que les hormones de reproduction prépareraient le cerveau de la femme à être prête pour la maternité.

Les hormones déclencheraient une envie de répondre aux besoins d’un bébé ou encore d’être moins stressée. Les hormones transformeraient la femme en une mère attentionnée, efficace et sensible aux moindres bruits et gestes.

Un peu comme la mère qui influence le fœtus par sa nutrition ou sa nervosité, il serait intéressant de penser que le fœtus fait la même chose pour la mère, selon les chercheurs.

Même si la mère l’ignore, les mouvements du fœtus augmenteraient son rythme cardiaque et sa circulation sanguine. Les cellules fœtales passent à travers le placenta dans la circulation sanguine de la mère. « C’est excitant de penser que ces cellules sont attirées par certaines régions dans le cerveau qui peuvent être impliquées dans l’optimisation du comportement maternel », affirme Mme Glynn dans la revue Current Directions in Psychological Science.

Puisque la grossesse diffère énormément d’une femme à l’autre, les spécialistes doivent continuer à faire des recherches. Une image plus complète est nécessaire pour comprendre les changements apportés au cerveau pendant la grossesse.

Ainsi, des interventions pour venir en aide aux mères plus à risque à mieux vivre avec elles-mêmes et leur bébé pourraient être développées.

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Morts foetales enfin expliquées?

Une étude parue dans le Journal of the American Medical Association nous permet d’en apprendre davantage sur le rôle du placenta dans les morts foetales in utero.

Selon des spécialistes de l’Institut américain de la santé, la moitié des morts foetales s’expliqueraient au minimum par une complication survenue au cours de la grossesse.

Pour en arriver à ces résultats, plus de 500 femmes ont été examinées par des scientifiques entre 2006 et 2008 dans cinq États américains.

Sur ce nombre, 26 % des morts foetales s’expliquaient par un dysfonctionnement du placenta, 14 à 19 % étaient provoquées par des infections ou intoxications aiguës qui touchaient la mère, et 10 % relevaient de malformations du foetus et de dysfonctionnements du cordon ombilical.

Selon la revue médicale The Lancet, 7000 décès in utero ont lieu quotidiennement sur la planète, et 98 % de ces morts surviennent dans des pays en développement.

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Attention aux écographies commerciales

De nombreux types d’écographies commerciales sont aujourd’hui proposées aux femmes enceintes. On peut facilement se procurer une vidéo de notre futur bébé, et des écographies 3D et 4D sont même possibles.

Or, on lit dans la Tribune de Genève que les futures mamans devraient redoubler de prudence quant à ces nouveaux services. Selon le Collège national des gynécologues et des obstétriciens français, ces écographies peuvent représenter un risque.

Ne constituant pas un suivi médical, puisqu’elles ne sont pas pratiquées par un médecin, une sage-femme ou tout autre professionnel de la santé, elles demeurent inutiles et entraînent une forte exposition aux ultrasons durant une demi-heure.

Cela cause un risque certain pour le fœtus, exposant son cerveau et ses yeux à des effets thermiques et mécaniques, notamment. D’autre part, l’exposition ainsi créée est concentrée sur la tête et les organes génitaux du bébé à naître.