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Dangers des pesticides pour le foetus

On peut lire dans le journal Développement durable qu’un herbicide, l’atrazine, a été reconnu comme étant un perturbateur endocrinien.

Selon des chercheurs de l’Université de Rennes, l’exposition à cet herbicide causerait des séquelles au fœtus, telles qu’un faible poids ou encore une petite circonférence crânienne.

On avait déjà fait ces mises en garde après que des femmes enceintes aient été exposées à ce type de pesticide de 2002 à 2006. De l’eau contaminée était la cause de cette exposition.
 
Rappelons que l’atrazine a été interdite en 2003 par l’Union européenne, mais de petites quantités se retrouveraient encore dans l’eau.
 
Nous savons aujourd’hui que même une faible dose de pesticide peut avoir des conséquences sur le développement du fœtus et, par le fait même, sur la santé de l’enfant après sa naissance.

 Il faudrait donc que les pesticides pouvant avoir un effet perturbateur endocrinien soient retirés du marché.

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Les antipsychotiques dangereux pour le foetus

On apprend sur Bloomberg qu’un avis vient d’être émis quant à la prise d’antipsychotiques durant la grossesse. Ils auraient des effets néfastes sur la santé du bébé à venir lorsqu’ils sont ingérés durant le troisième trimestre. On a relevé plus de 20 médicaments du même type pouvant entraîner des séquelles une fois l’enfant né.

Les symptômes les plus courants sont des mouvements anormaux des muscles ainsi que l’absence de certains réflexes, tels que la difficulté à respirer ou à manger.
 
Aux États-Unis, la FDA (Food and Drug Administration) a fait savoir que depuis 2008, 69 cas de nouveau-nés présentant des mouvements anormaux des muscles et dont la mère avait pris des antipsychotiques durant la grossesse ont été rapportés.
 
Toutefois, les patientes qui doivent prendre des antipsychotiques ne doivent en aucun cas arrêter leur traitement sans avoir eu l’avis de leur médecin. L’arrêt abrupt de ce type de médicaments peut entraîner de graves conséquences.

Les antipsychotiques sont en grande partie utilisés pour maîtriser les symptômes de la schizophrénie et des troubles bipolaires.

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Découverte sur les rattrapages de croissance du bébé

On se questionnait depuis un moment sur ce qui pouvait causer les rattrapages de croissance. Ces derniers sont des poussées de croissance accrues qui surviennent lorsque des conditions normales sont restaurées à la suite d’une privation de nourriture ou d’oxygène chez le fœtus, le bébé ou l’enfant.

Des chercheurs de l’Université du Michigan viennent donc de découvrir quels sont les signaux moléculaires qui induisent ces rattrapages de croissance.

Il s’agit d’une découverte aux répercussions importantes, puisque les rattrapages de croissance exposent à de plus hauts risques de diabète, de maladies cardiovasculaires et d’obésité, entre autres.

Selon les résultats parus dans le journal Development, les hormones IGF (insulin-like growth factor) seraient en cause. Ces hormones peptidiques ressemblant à l’insuline fonctionnent en bloquant les récepteurs des cellules qu’elles touchent.

Lors d’expérimentations, on a donc pu remarquer que si le signal IGF est bloqué, le rattrapage de croissance est stoppé automatiquement. On a ensuite évalué le schéma biochimique spécifiquement impliqué dans ce phénomène.

Des recherches futures permettront de découvrir des méthodes d’intervention afin de réduire les risques de problèmes de santé liés au rattrapage de croissance.

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Pancréas artificiel pour futures mamans diabétiques

Selon MailOnline, un pancréas artificiel permettrait aux femmes diabétiques de mener à terme leur grossesse et de mettre au monde un enfant en pleine santé. Beaucoup d’espoir est donc offert aux futures mamans devant prendre de l’insuline.

Les dangers reliés à la grossesse sont très grands lorsqu’une femme souffre de diabète de type 1. Elle court trois fois plus de risques d’accoucher d’un bébé mort-né et l’enfant a cinq fois plus de risques de mourir durant son premier mois de vie.

De plus, les risques de malformation sont deux fois plus élevés que dans les grossesses habituelles. Les mères diabétiques sont aussi en danger, puisque le faible taux de glucose est une cause majeure de décès chez elles.

Ainsi, cette nouvelle technologie permettrait aux femmes atteintes de vivre une grossesse sans danger, tant pour elles que pour l’enfant. De la taille d’un téléphone cellulaire, le pancréas artificiel se porte à la hanche. Il contrôle le taux d’insuline de manière continue et il fournit de l’insuline.

Concrètement, il mesure le taux de glucose dans le sang et répond par la dose d’insuline nécessaire pour le maintenir à un niveau correct. Ce pancréas artificiel serait donc une voie très prometteuse. Des tests subséquents sont nécessaires pour démontrer complètement son efficacité.

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Oméga-3 et grossesse : prévenir la dépression

Une récente recherche parue dans Nature Neurscience a démontré qu’une trop faible quantité d’oméga-3 dans le cerveau influence négativement la transmission nerveuse, et ce, dès le moment où le fœtus se trouve dans le ventre de sa mère.

On a en effet pu remarquer chez des souris qu’une telle carence affaiblissait le fonctionnement des neurones reliés aux comportements anxieux et dépressifs.

Les oméga-3, des acides gras, jouent un rôle essentiel dans le développement du cerveau depuis le passage dans l’utérus jusqu’à l’adolescence.

Dans la présente expérience ayant porté sur des souris, on a pu statuer que la carence en oméga-3 influence deux parties du cerveau, soit le cortex préfrontal et le noyau accumbens. Ces parties sont responsables de la régulation émotionnelle et de la motivation, entre autres.

Rappelons finalement que les oméga-3 ne sont pas fabriqués par le corps et doivent être fournis par l’alimentation. Leur déficit est courant dans les pays industrialisés. On recommande de varier l’alimentation plutôt que de prendre des gélules.

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Avancée dans les cellules souches

Des recherches scientifiques de l’Université de la Californie à San Francisco (UCSF) qui se déroulent depuis une dizaine d’années pourraient mener à une grande découverte.

On peut lire dans le Journal of Clinical Investigation qu’à ce point, les chercheurs ont fait une percée quant aux cellules souches.

Jusqu’ici, leur transplantation était impossible pour le fœtus, car le système immunitaire de la mère en empêchait la réussite.

Or, il semble que la transplantation de cellules souches provenant de la mère elle-même serait la solution.

C’est la conclusion présente des chercheurs après de nombreuses expérimentations sur des souris.

Le procédé en tant que tel consiste en la prise de cellules en santé dans les os d’un donneur et leur transplantation dans le fœtus par injection guidée par ultra-sons.

Cette nouvelle avancée permettrait donc le diagnostic et le traitement de nombreuses maladies génétiques dès le stade fœtal.

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Une faible alimentation affecte le cerveau du foetus

Il a été remarqué, chez les femmes ayant moins mangé durant la première moitié de leur grossesse, une baisse de la connexion des cellules, de leur division et d’éléments du développement chez le fœtus.

Ce sont là les résultats d’une récente étude de l’Université du Texas ayant porté sur deux groupes de primates et récemment parue dans Proceedings of the National Academy of Sciences.

L’un desdits groupes a reçu une alimentation 30 % plus petite que le second durant la période citée.

On savait déjà que la famine pouvait atteindre le cerveau du fœtus, mais c’est la première fois que l’on démontre qu’une variation de l’alimentation peut en atténuer le développement.

Les effets en sont par la suite nombreux, comme un plus faible quotient intellectuel et un plus haut risque de troubles du comportement, par exemple.

Dans la présente étude, on a aussi remarqué une augmentation de l’incidence de l’autisme, de la schizophrénie, de la dépression et d’autres problèmes mentaux.

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Un plus gros placenta chez les femmes stressées

Après avoir suivi 75 000 femmes enceintes, des chercheurs ont démontré que le stress augmentait la taille du placenta.

L’étude en question, dirigée par la Faculté de psychologie de Bâle, en Suisse, a été publiée dernièrement dans le magazine PloS One.

Dans le cadre de celle-ci, on a pu constater que le placenta était plus gros et plus lourd à la naissance de l’enfant chez les femmes vivant le plus grand stress.

Parmi les éléments stressants relevés, on compte ceux reliés au milieu de travail et à la vie familiale.

Il semble que ce développement accru du placenta proviendrait d’un besoin de protection du bébé. Il protégerait le fœtus des effets néfastes du stress.

D’autre part, les chercheurs ont remarqué que des facteurs comme la peur et la dépression n’ont aucune incidence sur la grosseur du placenta.

On ignore encore si la taille du placenta a une influence sur la santé du bébé.

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Une charte des médicaments durant la grossesse

Il demeure aujourd’hui incertain de prendre un médicament ou un autre durant la grossesse, car on ignore souvent les risques encourus pour le bébé.

Des membres du Children’s Hospital Boston Informatics Program (CHIP) aux États-Unis ont donc élaboré une charte sur le sujet.

Pour ce faire, ces chercheurs ont détaillé 619 médicaments reconnus pour avoir un haut facteur de risque pour le fœtus. On savait aussi quelles protéines et quels gènes ceux-ci pourraient influencer.

Le CHIP a donc pu démontrer que les médicaments influant sur les gènes associés aux malformations congénitales étaient les plus dangereux.

Bien que des recherches subséquentes soient nécessaires à la mise au point de cette charte, on peut déjà en lire les détails dans le Reproductive Toxicology.

Les chercheurs soulignent finalement que les femmes enceintes ne doivent pas omettre de prendre des médicaments qui leur sont nécessaires.

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Le système immunitaire du foetus est différent

Des chercheurs de l’Université de la Californie à San Francisco ont fait des découvertes sur le système immunitaire du fœtus.

On peut lire dans Science que celui-ci provient d’une autre source que celui de l’adulte, qu’il en est donc différent. En fait, les cellules qui le composent sont autres que celles composant celui de l’adulte.

Le système immunitaire du fœtus a aussi tendance à tolérer les substances étrangères présentes dans son environnement plutôt qu’à les combattre.

L’équipe avait précédemment découvert que la grande tolérance dudit système permettait au bébé de ne pas rejeter les cellules de sa mère, voire de ses propres organes en développement.

Cette nouvelle découverte nous permettra de comprendre pourquoi autant d’enfants de mères séropositives ne sont pas infectés par le virus avant la naissance.

Finalement, on pourra mieux expliquer comment un nouveau-né répond aux vaccins et aux infections.