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Cancer du foie : attention au dentifrice antibactérien

Top Santé rapporte que le triclosan est un antibactérien que l’on peut aussi retrouver dans le détergent et le savon, mais aussi dans la peinture ou l’édredon.

Or, une nouvelle recherche menée par le Dr Robert Turkey et son équipe suggère que cet ingrédient est cancérigène.

« Le triclosan est dommageable pour le foie, car il interfère avec une protéine appelée récepteur constitutif androstane, qui aide à détoxifier le sang. Pour compenser cette interférence, le foie produit trop de cellules, ce qui provoque la fibrose et le cancer. »

Les rongeurs qui ont été exposés au triclosan pour une durée équivalente à 18 ans chez l’humain ont clairement démontré qu’il stimulait les tumeurs malignes au foie. Les résultats ont été publiés dans la revue Proceedings of the National Academy of Science.

Le danger réside dans le fait que « le triclosan est de plus en plus utilisé dans des produits grand public », et que son effet antibactérien ne vaut pas les risques associés.

Les spécialistes recommandent le retrait de ces produits du marché.

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Les probiotiques utiles pour les patients atteints de cirrhose

Les patients diagnostiqués avec une cirrhose pourraient bénéficier de la consommation de probiotiques, selon une étude rapportée par MedicalNewsToday.

Les probiotiques seraient en effet particulièrement efficaces en prévention de l’encéphalopathie hépatite, une complication cérébrale très sérieuse de la cirrhose.

Cette conclusion est proposée par un groupe de chercheurs basé à New Delhi, en Inde, qui publie les résultats d’un essai clinique impliquant deux groupes de sujets volontaires. Le premier groupe a reçu des probiotiques, et le second, un placebo.

Les chercheurs ont alors observé une baisse substantielle des risques d’encéphalopathie hépatite chez les patients du premier groupe, similaire à celle observable avec le traitement offert actuellement, le lactulose. Cependant, les probiotiques semblent être mieux tolérés par les patients.

« Cette rigoureuse nouvelle recherche permet de constater que les probiotiques permettent la prévention de l’encéphalopathie hépatite. Ces résultats offrent une alternative sécuritaire, mieux tolérée et possiblement moins coûteuse aux traitements actuels », confirme le Dr David W Victor III, qui contribue aux efforts de ces travaux.

Les résultats de cette recherche ont été publiés par le journal médical Clinical Gastroenterology and Hepatology.

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La chirurgie bariatrique pourrait être aussi bénéfique pour le foie

La fameuse chirurgie bariatrique, qui fait beaucoup parler d’elle depuis quelques années, se retrouve en vedette dans une nouvelle étude qui vante ses mérites pour la santé du foie également.

L’étude en question, rapportée par Top Santé, provient de l’Université de Floride du Sud et s’attarde aux dossiers de 152 patients considérés comme obèses, avant et après la sérieuse opération.

Les deuxièmes tests effectués 29 mois après la chirurgie bariatrique chez ces patients démontrent que le foie bénéficie grandement de la procédure. Notamment, on remarque une baisse de l’inflammation du foie, parfois jusqu’à 75 %. Les dépôts graisseux qui se retrouvent sur le foie seraient également diminués de 70 % chez plusieurs de ces patients.

« Nous sommes au cœur d’une épidémie d’obésité qui peut conduire en plus à une épidémie de maladies non alcooliques du foie. Si la chirurgie bariatrique est un outil pour la lutte contre l’obésité, elle pourrait également aider à traiter la maladie hépatique généralisée », déclare le Dr Murr, auteur de l’étude.

Les conclusions de l’équipe floridienne ont été dévoilées lors de la Digestive Disease Week.

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Le café serait bénéfique en prévention de la cirrhose

Le café pourrait-il s’avérer un allié en prévention de la cirrhose? Voilà la question à laquelle ont tenté de répondre des chercheurs chinois dans une nouvelle étude, rapporte The National Library of Medicine.

Les chercheurs de l’Université de Singapour concluent vraisemblablement que oui, si l’on se fie aux résultats proposés par l’étude, qui se penchait sur pas moins de 63 000 citoyens âgés de 45 à 74 ans.

L’étude trouvait ses racines en 1993, alors que l’on a demandé aux participants de répondre à des questions concernant leurs habitudes alimentaires et leur historique médical. Suivis sur une période d’en moyenne 15 ans, les sujets ont notamment permis de démontrer l’impact positif du café en prévention de la cirrhose.

On estime que deux tasses de café par jour permettraient une réduction de 66 % des risques de décès par cirrhose causée par l’hépatite non virale, selon les chercheurs chinois en tête de ces travaux.

La cirrhose causée par l’hépatite B ne semble pas répondre de la même façon que celle découlant de la souche non virale cependant.

L’étude ne permet malheureusement pas de prouver une cause à effet de façon officielle, mais s’avère concluante.

Les résultats ont été publiés dans le magazine médical Hepatology.

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L’exposition du foetus à la nicotine déclenche un changement métabolique qui engendre l’obésité

C’est Daniel Hardy, docteur de la Schulich School of Medicine & Dentistry de London, au Canada, qui en est arrivé à cette conclusion. L’absorption de nicotine par le fœtus engendre des conséquences négatives, notamment le risque de l’obésité. L’une des causes réside dans un syndrome métabolique déclenché par la nicotine, qui modifie le foie et entraine une production excédentaire de triglycérides.

Pour corroborer cette théorie, des rats ont reçu 1 mg par kg par jour de nicotine, soit l’équivalent de ce à quoi un fumeur adulte est habitué. Les scientifiques ont noté qu’à la naissance, la progéniture était plus petite que la moyenne. Mais 6 mois plus tard, alors que les rats atteignaient leur maturité, ils ont découvert un changement marquant au niveau du foie, créant un excédent de triglycérides, un facteur précurseur de l’obésité.

« Nous savions que fumer pendant la grossesse était nocif. Mais le problème, c’est qu’un cinquième des femmes enceintes au Canada continue à fumer, et 30 études ont démontré que les bébés de mères fumeuses ont 47 % plus de risques de développer un surpoids », déclare Hardy.

Mais il semble y avoir de l’espoir, selon Science World Report. La recherche, en parallèle, étudie l’effet de l’acide folique, qui pourrait être l’antidote de la surproduction de triglycérides. Les effets se sont avérés concluants sur le foie endommagé d’animaux.

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Les réactions stupéfiantes du corps humain face aux boissons gazeuses

Le site drolesdimages.fr utilise des données publiées dans plusieurs articles pour créer un véritable décompte des réactions de l’organisme à la suite de la consommation d’une boisson gazeuse. Des révélations qui ont de quoi faire réfléchir…

D’abord, on apprend que les sept portions de sucre retrouvées dans chacune de ces boissons devraient nous rendre malades, mais que l’ajout d’acide phosphorique permet au corps de gérer le traumatisme.

Ensuite, l’énumération des organes touchés par ce qui semble être un geste pourtant banal (celui de boire une boisson gazeuse) a de quoi rendre perplexe.

Le pancréas et le foie, deux organes aussi uniques que vitaux, subissent des agressions sauvages découlant de la consommation de ces boissons, les obligeant à réagir de multiples façons, comme un mécanisme de défense.

Ainsi, le sucre se retrouve dans le sang de l’individu, expulsé par le foie, alors que le pancréas sécrète subitement de l’insuline. Le corps finira aussi par sécréter de la dopamine, ce qui crée un sentiment d’euphorie similaire à certaines drogues.

En bref, les moyens et les subterfuges utilisés par les multinationales permettent au corps de faire tout cela sans envoyer de signaux réellement perceptibles, ce qui donne l’impression au consommateur d’effectuer un geste banal, inoffensif.

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Le café à la rescousse du foie

Santé Log rapporte une nouvelle étude sur le café, qui dévoile un autre bienfait de la boisson réconfortante. Manifestement, les années noires de la caféine sont révolues, et le café est presque unanimement conseillé par les divers spécialistes dans le domaine.

Cette fois, on vante les mérites du café pour ses effets protecteurs sur le foie, qui bénéficierait d’une baisse des risques de maladie grave chez les consommateurs de la boisson chaude.

En provenance de la fameuse clinique Mayo, l’étude a été présentée à la Semaine des maladies digestives, qui se déroulait cette fois à Orlando.

Elle fait état de réduction des risques de maladies reliées à la cirrhose, à l’insuffisance hépatique ainsi qu’au cancer.

Les spécialistes en tête de l’étude, à commencer par le Dr Craig Lambert, croient qu’il s’agit d’une découverte importante, puisqu’ils sont constamment à la recherche d’outils pour prévenir les maladies du foie.

La découverte des bienfaits d’un geste aussi simple et répandu que boire du café est donc une bénédiction pour ces chercheurs.

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Trop manger et boire s’avère dommageable pour le foie

La population, notamment les femmes, doit se conscientiser sur les impacts d’une trop grande consommation d’alcool et de nourriture, rapporte Top Santé.

C’est une récente étude sur les habitudes de consommation alimentaire qui lance un signal d’alarme aux citoyens, plus particulièrement aux femmes.

Les chercheurs du UCL Institute of Liver and Digestive Health de Londres ont analysé et démontré les risques associés à une consommation d’alcool trop élevée et à l’obésité sur la santé.

Plus particulièrement, c’est le foie qui serait à risque de développer de sérieux problèmes, un organe que l’on ne peut tout simplement pas se permettre d’endommager.

Plus encore, les femmes seraient plus touchées que les hommes par le phénomène de risque, ce qui pousse le Dr Paul Trembling, auteur de l’étude, à servir un avertissement bien senti à la gent féminine épicurienne.

Le risque de maladie grave et mortelle du foie serait jusqu’à trois fois plus élevé chez la femme que chez l’homme, surtout lorsqu’une femme en surpoids abuse de l’alcool.

Malgré ces pronostics plutôt sombres, on croit que cette récente étude permettra de mieux traiter plusieurs patients et ainsi sauver plus de vies en améliorant la qualité de l’aide et les campagnes de prévention.

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Des vies prolongées grâce à un virus modifié

Le magazine britannique Nature Medicine a publié un rapport qui relate certains tests concluants effectués sur des patients atteints du cancer du foie, qui ont vu leur vie être prolongée grâce à une nouvelle percée médicale prometteuse.

De fait, ce sont 30 patients en phase terminale de la maladie qui ont reçu le traitement, que l’on décrit comme un virus modifié capable de cibler les cellules cancéreuses.

C’est clairement la nouvelle approche de la communauté scientifique en matière de cancer, c’est-à-dire de créer des éléments qui peuvent « tuer » les cellules cancéreuses.

On a pu observer que les patients qui avaient reçu des doses importantes de ce virus modifié, appelé Pexa-Vec, ont prolongé leur vie de 7 à 14 mois en moyenne, selon les sujets.

« C’est la première fois dans l’histoire de la médecine que nous avons pu montrer qu’un virus issu du génie génétique pouvait améliorer la survie de patients atteints du cancer », lance David Kim, coauteur des recherches.

La chimiothérapie a ses limites, de l’aveu même des spécialistes, et de telles techniques permettraient de combattre sur plusieurs fronts et sur une période de temps plus longue.

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Le syndrome métabolique et le cancer

On apprend par l’entremise de e-sante.fr que la façon dont les gens se traitent eux-mêmes est assurément un facteur influent dans les risques de cancer.

On traduit l’ensemble des comportements adoptés par un individu sur sa santé comme « l’hygiène de vie », mais un terme plus scientifique et précis s’attache à ce groupe de comportements : le syndrome métabolique.

Ce dernier est défini comme un ensemble de comportements et de caractéristiques physiques qui en découlent, comme l’obésité, la haute pression et le taux de cholestérol dans le sang, par exemple.

Ce groupe de problèmes physiques est maintenant clairement mis en évidence dans le développement de plusieurs cancers, et les chercheurs italiens en tête de l’étude démontrent son influence sur les risques de développement de la maladie.

Les conclusions sont celles qui découlent de l’analyse de 43 études précédentes sur le sujet, qui regroupaient les données recueillies sur pas moins de 39 000 personnes.

Le syndrome métabolique augmenterait les risques de cancer du foie et colorectal de 43 % et 25 %, respectivement, chez l’homme, alors qu’il augmente de 61 % et 34 % les risques de cancer de l’endomètre et colorectal chez la femme, respectivement.