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Pour se muscler, il est inutile de forcer

Voilà une bonne nouvelle pour les personnes plus fragiles, comme les personnes âgées ou celles qui se remettent d’un traumatisme : il est inutile de forcer, pour développer ses muscles.

Depuis longtemps, nous croyons que pour développer sa masse musculaire, il faut lever des poids lourds, mais des kinésiologues ontariens de l’Université McMaster ont découvert que la clé pour avoir de bons muscles réside plutôt dans la fatigue de ceux-ci.

« Plutôt que de grogner et de forcer pour soulever des poids lourds, vous pouvez saisir quelque chose de beaucoup plus léger, mais vous devez faire l’exercice jusqu’à ce que vous ne puissiez plus le soulever », explique le Pr Stuart Phillips.

Les chercheurs ont suivi deux groupes de jeunes hommes, le premier qui s’entraînait avec des poids lourds, qui soulevaient donc 90 % de leur capacité maximale, alors que le deuxième groupe utilisait des poids légers qui représentaient seulement 30 % de ce qu’ils étaient capables de lever.

En soulevant 80 à 90 % de notre capacité, nous serions habituellement capables de faire 5 à 10 répétitions, mais avec 30 %, il est possible d’en faire au moins 24 et d’avoir d’aussi bons résultats, car le muscle va se fatiguer autant, mentionne la revue PLoS ONE.

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Pour se muscler, il est inutile de forcer

Voilà une bonne nouvelle pour les personnes plus fragiles, comme les personnes âgées ou celles qui se remettent d’un traumatisme : il est inutile de forcer, pour développer ses muscles.

Depuis longtemps, nous croyons que pour développer sa masse musculaire, il faut lever des poids lourds, mais des kinésiologues ontariens de l’Université McMaster ont découvert que la clé pour avoir de bons muscles réside plutôt dans la fatigue de ceux-ci.

« Plutôt que de grogner et de forcer pour soulever des poids lourds, vous pouvez saisir quelque chose de beaucoup plus léger, mais vous devez faire l’exercice jusqu’à ce que vous ne puissiez plus le soulever », explique le Pr Stuart Phillips.

Les chercheurs ont suivi deux groupes de jeunes hommes, le premier qui s’entraînait avec des poids lourds, qui soulevaient donc 90 % de leur capacité maximale, alors que le deuxième groupe utilisait des poids légers qui représentaient seulement 30 % de ce qu’ils étaient capables de lever.

En soulevant 80 à 90 % de notre capacité, nous serions habituellement capables de faire 5 à 10 répétitions, mais avec 30 %, il est possible d’en faire au moins 24 et d’avoir d’aussi bons résultats, car le muscle va se fatiguer autant, mentionne la revue PLoS ONE.

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Enquête sur la santé mentale des soldats canadiens

Selon une équipe de chercheurs provenant de l’Université McGill, de l’Institut universitaire en santé mentale Douglas, de l’Université de Montréal, de l’Université Dalhousie et de l’Université de l’Île-du-Prince-Édouard, nombreux sont les troubles mentaux dont peuvent souffrir les soldats canadiens.

Les scientifiques déplorent qu’un tabou entoure ces troubles et empêche les personnes concernées à obtenir de l’aide professionnelle.

« Les résultats révèlent que plus de la moitié des militaires aux prises avec un trouble mental n’utilisent pas les services de santé mentale qui leur sont offerts », mentionne Deniz Fikretoglu, auteure principale de l’étude.

Selon Stéphane Guay, professeur de criminologie à l’Université de Montréal, cette réticence s’explique par « le refus d’admettre un quelconque besoin d’aide et par le manque de confiance envers les services administratifs militaires de santé ».

Les chercheurs croient que les autorités militaires devraient continuer à mener des campagnes d’éducation pour démystifier les problèmes de santé mentale afin de gagner la confiance de leurs troupes.

8 441 militaires canadiens ont répondu à un questionnaire de l’Organisation mondiale de la santé. Parmi ceux-ci, 1 220 ont avoué souffrir de dépression, de dépendance à l’alcool, de phobie sociale ou de symptômes qui s’apparentent au stress post-traumatique.