BIGC’est ce que le président du groupe, Alan Mulally, a révélé au magazine Automotive News.
Le numéro deux américain, qui vient de publier ses pires résultats financiers en 103 ans d’histoire – perte de 12,7 milliards de dollars US -, pourrait ainsi économiser sur la conception de nouveaux véhicules.
Cette nouvelle stratégie devrait même s’avérer payante pour le constructeur, puisque certains modèles européens, comme les Mondeo, S-Max et Transit, sont de très bons vendeurs.
C’est ce que le président de Toyota, Katsuaki Watanabe, a révélé au journal japonais Nikkei aujourd’hui.
Selon ce dernier, les deux sociétés pourraient en venir à une alliance stratégique de technologie. Il a néanmoins mentionné qu’aucune discussion n’avait eu lieu.
Déjà, les deux entreprises partagent quelques éléments technologiques, Ford utilisant la technologie hybride du Japonais.
L’automne dernier, Ford a tenté, sans succès, de s’associer au consortium Renaud/Nissan.
L’éditeur de logiciels Microsoft a présenté un nouveau produit Sync, destiné à la fois au pilotage vocal d’applications et un instrument de connectivité à internet.
Le constructeur Ford Motors va équiper 12 de ses véhicules avec cette technologie afin de permettre au conducteur d’accéder à ses équipements numériques en toute sécurité et tout en conduisant.
Ainsi, les conducteurs de véhicule Ford n’auront qu’à presser un bouton «Push to Talk» placé sur le volant pour accéder à cette nouvelle technologie.
L’outil Sync permettra entre autres de contrôler la musique, le téléphone mobile ou encore de se faire lire ses courriels.
L’implantation du service Sync se fera graduellement dans les prochains mois à différents modèles Ford.
Pour la cinquième fois depuis 1964, date de remise du premier trophée, Ford reçoit ce prix tant convoité.
La S-Max, qui n’est pas commercialisée au pays, succède à la Renault Clio III.
Pour le constructeur américain, avec ce cinquième sacre, la S-Max rejoint les Escort (1981), Scorpio (1986), Mondeo (1994) et Focus (1999).
Ce prix prestigieux est remis par un jury composé de 58 journalistes de la presse spécialisée européenne.
Selon les autorités de l’État de l’Ouest américain, les véhicules des constructeurs cités émettent des gaz à effet de serre.
Le procureur général de l’État a précisé que cette plainte était une première, car elle tient les constructeurs responsables des dégâts causés par les émissions de gaz d’échappement de leurs véhicules.
La poursuite touche Ford Motor, General Motors, Toyota Motor, Chrysler Motors, filiale de DaimlerChrysler, et les filiales nord-américaines de Honda Motor et de Nissan Motor.
Rappelons que la Californie a adopté une loi qui impose à l’État de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 25 % d’ici 2020. La Californie est le premier État américain à adopter des dispositions en ce sens.
La division PAG de Ford, qui compte aussi Jaguar, Volvo et Aston Martin, détient le droit de racheter la Rover à BMW.
Le constructeur allemand avait révélé le mois dernier qu’il voulait vendre à un tiers cette marque.
Selon certains médias chinois, ce serai le constructeur chinois SAIC qui avait démontré de l’intérêt pour Rover.
La multinationale, qui fait face à des pertes de plus de 1,5 milliard de dollars pour les six premiers mois de l’année, accélère sa restructuration.
Tel que révélé hier, tous les employés syndiqués en Amérique du Nord se voient offrir un plan de départ volontaire ou de retraite anticipée. Certaines primes de départ pourront atteindre jusqu’à 140 000 $.
En plus, 14 000 emplois qui seront supprimés au sein de l’administration de l’entreprise.
De plus, tous les employés syndiqués en Amérique du Nord se voient offrir un plan de départ volontaire ou de retraite anticipée.
La direction croit qu’avec ces nouvelles mesures, elle devrait renouer avec la rentabilité en 2009.
Le syndicat des travailleurs de l’automobile (United Auto Workers union) a confirmé que le fabricant a présenté huit différentes offres à ses travailleurs américains.
Parmi les offres présentées, l’une d’elle permettrait à un travailleur de toucher la somme de 140 000 $ afin qu’il prenne sa retraite.
Cette offre de Ford est l’une des pierres angulaires du nouveau plan de restructuration de la société en difficulté financière qui sera présenté le vendredi 15 septembre.
Bill Ford lègue son poste au sein du géant de l’automobile en Amérique du nord, Ford, au profit du cadre supérieur Alan Mulally, qui lui opère chez le constructeur aéronautique Boeing. Ainsi, ce dernier devient président directeur général (PDG) de Ford.
Cependant, Bill Ford n’abandonne pas complètement la compagnie pour laquelle il a oeuvré depuis près de 30 ans : il conserve son siège au coeur du conseil d’administration et pourra ainsi apporter à nouveau ses conseils stratégiques. Ford pourra désormais compter sur un bagage impressionnant chiffré à 37 années d’expérience chez Boeing avec Alan Mulally. Le duo devrait s’adresser aux nombreux employés dans les jours à venir.
Mulally a été considéré pour son apport à Boeing, reconnu pour avoir redressé en entier la division la division des avions commerciaux de la compagnie.
«J’en suis arrivé à la ferme conclusion que le redressement de l’entreprise nécessite les compétences d’un dirigeant qui a déjà fait face à des défis d’une telle ampleur à la tête d’un grand groupe manufacturier», a déclaré Bill Ford, amené à discuter de son futur chez le producteur automobile.
La compagnie a annoncé aujourd’hui qu’elle allait explorer la possibilité de vendre la marque de voitures de luxe.
Le président de Ford, Bill Ford explique : « Dans le cadre de la révision de notre stratégie, nous allons déterminer si Aston Martin pourrait être une opportunité intéressante d’amasser des capitaux et générer de la valeur. »
Le constructeur a cependant mentionné qu’il était enthousiaste face au succès qu’obtiennent ses autres marques de prestige telles que Jaguar, Land Rover et Volvo.
Ford Motor a acquis 75 % d’Aston Martin en 1987, et porté à 100 % ses actions en 1994.