La semaine dernière, des chercheurs mentionnaient avoir découvert le gène de la minceur qui exposait à un plus grand risque de diabète de type 2. Voilà que les études confirment qu’être trop mince peut être aussi nocif que l’obésité.
Les personnes dont l’indice de masse corporelle (IMC) est inférieur à 18,5 sont considérées comme ayant une insuffisance pondérale. Celle-ci est liée à 34 000 décès par année aux États-Unis.
Les recherches sur le sujet n’en sont qu’à leur balbutiement, mais on constate qu’une grande minceur, comme on le voit régulièrement dans les magazines, chez les vedettes et les mannequins, prive le corps de nombreux nutriments essentiels.
Cela conduit alors à des os plus fragiles, donc plus de risques de fractures, notamment de la hanche, à un âge avancé.
Les personnes trop minces sont aussi plus susceptibles de souffrir d’arthrite et de maladies cardiaques.
Les risques de fausses couches dans les trois premiers mois est de 72 % supérieur et les complications durant la grossesse peuvent survenir également chez les femmes maigres.
Il y a un risque plus grand de dépression, surtout chez les hommes, et de cas d’infertilité masculine également. Les maladies pulmonaires sont aussi plus présentes dans les cas d’extrême maigreur.
De plus, on constate que les personnes trop minces, étant plus fragiles, ont plus de risques de mourir dans un accident de voiture, surtout les hommes, rapporte le Daily Mail.