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Céline Bonnier, France Castel et plusieurs autres en vedette dans la nouvelle fiction de Serge Boucher

Serge Boucher lance une toute nouvelle fiction de 10 épisodes pour Radio-Canada, qui sera diffusée sur ICI TOU.TV EXTRA la saison prochaine. Fragments sera réalisée par Claude Desrosiers et produite par André Dupuy.

Pour ce qui est de l’impressionnante distribution, nous y retrouverons entre autres Céline Bonnier, René Richard Cyr, James Hyndman, Luc Guérin, Irdens Exantus, Schelby Jean-Baptiste, Félix-Antoine Duval, Dominique Leduc, France Castel, Alexis Déziel, Camille Felton, Carla Turcotte, Étienne Courville, Maxime GibeaultLuis Oliva et Marie-Hélène Gendreau.

« Fragments est une série qui remet en question les rôles sociaux établis, toutes les formes possibles et inimaginables de vivre, d’être en relation avec l’autre, d’aimer »

Crédit:Radio-Canada

Fragments suit les retrouvailles de Paul-André Denis (René Richard Cyr), François Bibeau (James Hyndman) et Marlène Cormier (Céline Bonnier) dans des circonstances inhabituelles, après ne pas s’être parlé pendant plus de 30 ans. À ceci s’ajoute la place qu’occupe Renaud Dagenais (Luc Guérin) dans la vie de Paul-André et Marlène. D’autant plus, l’histoire mettra en lumière Jacynthe Nadeau (Camille Felton), morte trop jeune et qui est devenue une figure emblématique du mythique Quatuor de Victo. Le retour de François dans la vie de Paul-André et de Marlène chamboulera le cour leur vie, sans parler de l’impact que l’événement aura sur leurs enfants, Tomas (Félix-Antoine Duval), Céleste (Schelby Jean-Baptiste) et Edouard (Irdens Exantus), aujourd’hui adulte.

On peut s’attendre à des rencontres, des confrontations et des face-à-face inévitables qui ramèneront en surface des événements du passé. Ces souvenirs influenceront le présent et l’avenir rapproché des personnages. « C’est en reconstituant le parcours de nos protagonistes qu’on pourra comprendre ce que chacun est devenu, et qu’on pourra percevoir en filigrane la logique implacable qui les place, encore, face à des choix décisifs ».

« À l’heure des bilans, vivre, désirer, aimer, mourir, revêt un tout autre caractère, une autre dimension. Fragments est une série qui remet en question les rôles sociaux établis, toutes les formes possibles et inimaginables de vivre, d’être en relation avec l’autre, d’aimer. Et surtout qui remet l’être humain au cœur du groupe et qui rappelle l’importance d’être là les uns pour les autres ».

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MONASTERE dévoile son premier EP, «Fragments»

Louis Blouin, qu’on a connu grâce à son passage à Occupation Double Afrique du Sud, nous a présenté il y a quelque temps son projet musical, MONASTERE. Sa fusion de new wave et de pop se mélange avec brio à la réalisation et aux arrangements de Jesse Proteau, aka Zagata. Il vient tout juste d’annoncer la sortie de son premier EP, Fragments, qui sort sur toutes les plateformes musicales.

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Ses paroles en français se retrouvent sur les cinq chansons Capitaine, Bourgeons, MDR, À donner et L’été l’hiver qui complètent le EP. « Le premier EP de MONASTERE s’ouvre sur « Capitaine », où le riff de guitare doublé plane sur des arpèges de claviers parfumés aux années 80. Le ton est donné : avec sa voix grave, intrigante et rythmée, Louis Blouin nous invite dans un univers réfléchi. S’ensuit « Bourgeons », le plus récent extrait radio du groupe, qui donne envie de danser sans penser à ces lendemains qui ne fleurissent pas toujours. Le troisième titre, « MDR », a quant à lui déjà conquis des milliers de mélomanes, et on les comprend en découvrant cette intrigue intime, à la fois douce et entraînante, où on s’imagine une déconfiture amoureuse au ralenti sur une piste de danse endiablée. Louis Blouin déploie une plume inspirée et urbaine dans chaque pièce, et il se permet un clin d’œil à l’indémodable Sweet Dreams dans « À donner », une chanson clair-obscur portée par un kick dominant, des claviers analogiques et des envolées vocales vers un refrain accrocheur. Pour conclure, MONASTERE rend hommage à ces soirées québécoises autour des cuillères et de l’accordéon avec « L’été l’hiver », mais on troque ici le Caribou pour l’Aperol Spritz et le violon pour le clavier Roland. Rythme soutenu, voix douces, textures sonores complexes; MONASTERE fait irrésistiblement taper du pied de la première note à la dernière », peut-on lire dans le communiqué.

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On s’attend à ce que Fragments nous donne envie de danser, puisqu’on peut déjà écouter MDR et À donner , et qu’on est tombé en amour avec le timbre de voix de Louis ainsi qu’avec le rythme entraînant des deux chansons.

Vous pourrez retrouver ce premier EP de MONASTERE sur Spotify dès demain.