L’ouvrage de Valérie Trierweiler a été rédigé en catimini. À un point tel, rapporte 7sur7.be, que François Hollande lui-même n’était pas au courant. D’ailleurs, à l’Élysée, on se défend bien d’avoir eu quoi que ce soit à y redire.
« Nous n’étions pas au courant et donc, par définition, nous n’avons pas lu ce livre », peut-on lire de la part des gens accompagnant le président.
Un livre de 320 pages qui raconte une histoire d’amour, sans plus. Donc, aucun secret d’État, rien qui pourrait valoir des réprimandes à la journaliste, qui raconte simplement sa descente aux enfers.
C’est le Paris Match qui a publié les premiers extraits de Merci pour ce moment.
« Je ressens, au sens littéral du terme, cet excès émotionnel incontrôlable : il m’est physiquement impossible de les voir tous les deux main dans la main sur scène… Et je suis impuissante devant ce désir collectif de les voir côte à côte. »
Valérie Trierweiler confie ici sa jalousie, lorsque son époux tenait la main de son ex-femme, Ségolène Royal. Donc, avant même Julie Gayet, celle-ci vivait déjà les tourments d’une autre femme dans la vie de Hollande.