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La vraie nature des enfants uniques

« Grandir seul avec ses parents a longtemps été pesant. Mais un peu comme pour les enfants de divorcés, que plus personne ne regarde de travers aujourd’hui, c’est devenu une situation “particulière” comme les autres. Il faut le savoir pour éviter quelques soucis, mais ni l’enfant ni les parents ne doivent en faire toute une histoire », explique Emmanuelle Rigon, elle-même enfant unique, au journal Le Parisien.

Le meilleur service qu’un adulte peut rendre à un enfant unique est de ne pas culpabiliser en se demandant pourquoi il n’a finalement pas eu d’autres bambins. Le mêler à la vie personnelle et aux problèmes des grands serait également à proscrire.

Mme Rigon explique que l’enfant unique a besoin d’indépendance, de liberté et qu’on lui fasse confiance, car trop souvent, l’attention est tournée vers lui à défaut d’en avoir d’autres.

Vers l’âge de 8 ou 9 ans, la psychologue dit que l’enfant unique peut se sentir seul et doit faire un deuil d’avoir un petit frère ou une petite soeur.

Heureusement, l’enfant unique peut combler ce possible vide par l’amitié. Il est souvent d’ailleurs un ami très fidèle, dit la spécialiste, affirmant qu’il est faux de croire qu’il sera plus égoïste que celui qui a des frères ou sœurs.

Elle explique que la solitude, qui le rend souvent plus fort, lui montre à apprécier davantage la vie en groupe.

Cependant, Mme Rigon est en accord pour dire que certains clichés sont vrais, notamment que les enfants uniques sont surprotégés, plus créatifs ou meilleurs à l’école.

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Un programme éducatif pour la fratrie d’enfants cancéreux

Les frères et sœurs de personnes atteintes du cancer sont à risque de problèmes sociaux, affectifs et comportementaux.

Une étude pilote a été réalisée en Suisse, à l’Hôpital pour enfants de Zurich, pour mieux cibler les préoccupations de la fratrie.

Les jeunes qui ont participé aux rencontres et au programme éducatif étaient âgés de 8 à 18 ans. Ils ont confié avoir remarqué une amélioration de leur bien-être psychologique.

De plus, ces interventions d’aide n’auraient aucunement augmenté les symptômes de stress post-traumatique et l’anxiété.

Au total, 21 familles ont été recrutées à deux hôpitaux pour enfants en Suisse pour l’étude. Deux groupes ont été formés et ont reçu le traitement standard de la rencontre avec un psycho-oncologue.

Les groupes d’intervention ont également assisté à deux séances de 50 minutes couvrant l’information médicale, le développement des habiletés d’adaptation avec la thérapie cognitivo-comportementale et un livret psycho-éducatif pour les parents. L’intervention a été fournie dans les deux premiers mois du diagnostic, afin de déterminer son efficacité.

Les chercheurs concluent que le projet pilote devrait être adapté à la fratrie de moins de 8 ans et qu’un suivi sur deux séances serait encore plus bénéfique afin d’améliorer l’adaptation des jeunes quant au diagnostic.

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Un programme éducatif pour la fratrie d’enfants cancéreux

Les frères et sœurs de personnes atteintes du cancer sont à risque de problèmes sociaux, affectifs et comportementaux.

Une étude pilote a été réalisée en Suisse, à l’Hôpital pour enfants de Zurich, pour mieux cibler les préoccupations de la fratrie.

Les jeunes qui ont participé aux rencontres et au programme éducatif étaient âgés de 8 à 18 ans. Ils ont confié avoir remarqué une amélioration de leur bien-être psychologique.

De plus, ces interventions d’aide n’auraient aucunement augmenté les symptômes de stress post-traumatique et l’anxiété.

Au total, 21 familles ont été recrutées à deux hôpitaux pour enfants en Suisse pour l’étude. Deux groupes ont été formés et ont reçu le traitement standard de la rencontre avec un psycho-oncologue.

Les groupes d’intervention ont également assisté à deux séances de 50 minutes couvrant l’information médicale, le développement des habiletés d’adaptation avec la thérapie cognitivo-comportementale et un livret psycho-éducatif pour les parents. L’intervention a été fournie dans les deux premiers mois du diagnostic, afin de déterminer son efficacité.

Les chercheurs concluent que le projet pilote devrait être adapté à la fratrie de moins de 8 ans et qu’un suivi sur deux séances serait encore plus bénéfique afin d’améliorer l’adaptation des jeunes quant au diagnostic.