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Le moniteur du futur pour bébé

Le Sproutling fera sans doute le bonheur des parents qui s’inquiètent du confort de leur bébé, mais aussi de ceux qui adorent les gadgets high-tech.

Comme l’indique MedCityNews, le moniteur viendra en 3 parties. La première s’installe à la cheville du nourrisson, la seconde est un détecteur accroché au mur, puis un moniteur mobile, avec une caméra. Vous pourrez aussi obtenir par texto, via l’application, les données relevées par le Sproutling.

Que ce soit les battements de cœur de bébé, la température et le niveau d’humidité de la pièce, ou encore des mouvements de votre petit, tout sera enregistré. Même le niveau de lumière et les bruits environnants seront perçus, et l’analyse qui en résultera vous enverra les résultats sur votre téléphone intelligent et vous aidera à prendre les décisions qui s’imposent.

Un peu trop techno? Peut-être, mais si le « bidule » fonctionne, peut-être qu’il pourra venir en aide au niveau médical, notamment pour contrer la mort subite du nourrisson ou tout autre malaise dont pourrait souffrir le nouveau-né.

D’autre part, les données recueillies aideront aussi à trouver les conditions idéales pour que bébé profite d’un sommeil réparateur, tant pendant la nuit qu’en plein jour, lors des siestes, et diminuera l’inquiétude des parents.

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Les dépressifs ne retrouvent pas leur rythme cardiaque normal rapidement

La revue Psychophysiology rapporte que des chercheurs montréalais ont découvert que les personnes qui souffrent de dépression mettent plus de temps que les autres à retrouver un rythme cardiaque normal après un effort.
 
886 personnes ayant en moyenne 60 ans ont participé à l’étude. 6 % ont reçu un diagnostic de dépression, et une minute après l’effort, ces dernières ont réduit leur fréquence cardiaque de 18 battements par minute, contre 22 battements chez les personnes non dépressives.
 
« L’allongement du délai de récupération de la fréquence cardiaque révèle un dysfonctionnement de la réaction au stress. Nous pensons que ce dysfonctionnement peut contribuer à majorer le risque de maladie cardiaque des personnes atteintes de dépression », mentionne Simon Bacon de l’Université Concordia et chercheur à l’Institut de cardiologie de Montréal (ICM).
 
On croit également que les personnes dépressives ont tendance à ruminer après un effort désagréable, ce qui freine un retour de la fréquence cardiaque à la normale.