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Sorties de films : Frisson des collines

Le film nous plonge en 1969. On y suit Frisson, un jeune garçon qui rêve de se rendre à Woodstock rencontrer Jimi Hendrix. La mort accidentelle de son père remettra toutefois son projet en question.
 
Pendant que sa mère est inconsolable et passe ses journées au cimetière et que sa sœur prépare son départ du village avec son amoureux secret, Frisson ne laisse pas tomber son rêve et élabore des plans pour arriver à se rendre à Woodstock. Entre-temps, il développe une belle amitié avec sa nouvelle maîtresse d’école, de laquelle il tombe même amoureux, mais il y a Chantal, une jeune fille de son âge qui est amoureuse de lui, mais qu’il ne voit pas.
 
Parmi les autres sorties :
 
Daydream Nation (version anglaise)
 
Drame sentimental réalisé par Mike Goldbach avec Kat Dennings, Reece Thompson, Josh Lucas, Andie MacDowell, Rachel Blanchard, Ted Whittall.
 
Scream 4 (Frissons 4)
 
Drame d’horreur réalisé par Wes Craven avec Neve Campbell, Courteney Cox, David Arquette, Emma Roberts, Mary McDonnell, Hayden Panettiere.
 
Les petits mouchoirs (version française et sous-titrée en anglais)
 
Comédie dramatique réalisée par Guillaume Canet avec François Cluzet, Marion Cotillard, Benoît Magimel, Gilles Lellouche, Laurent Lafitte, Pascale Arbillot, Valérie Bonneton, Anne Marivin, Louise Monot, Jean Dujardin.
 
Rio (version anglaise et française)
 
Film d’animation réalisé par Carlos Saldanha avec les voix de Jesse Eisenberg, Anne Hathaway, Leslie Mann, Jemaine Clement, Rodrigo Santoro et George Lopez dans la version originale anglaise.
 
Sauvage (version française et sous-titrée en anglais)
 
Documentaire réalisé par Guillaume Sylvestre.
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Un peu de répit pour Guillaume Lemay-Thivierge

Cet été, Guillaume Lemay-Thivierge entend consacrer beaucoup de temps au développement de son Aérodium et passer du temps en famille. Pour la première fois depuis un moment, le comédien n’a pas de tournage à son agenda.
 
« On ne sait jamais, à ce temps-ci de l’année, tout peut arriver, mais ça ferait mon affaire de ne pas tourner, de me laisser le temps de souffler un peu et de proposer une nouvelle énergie ensuite pour d’autres tournages », disait Guillaume à BUM Interactif.
 
Lui qui a amorcé les représentations du spectacle Lady’s Night est aussi en pleine promotion pour le film Frisson des collines, pour lequel il s’est plongé dans l’époque de Woodstock. « Mes parents m’ont parlé de cette époque et ça a l’air tellement formidable, léger. Rouler en Harley Davidson, pas de casque en plus, quel plaisir. Mes parents étaient un peu bohèmes. Ce que Richard Roy a décrit dans son film, c’était un peu la philosophie de mes parents. »
 
« C’était tellement pénible rouler en moto pour un film (rires). Sérieusement, j’avais une Harley de 1965 qui appartenait à un gars super généreux et ouvert. La moto était un peu lourde pour moi et comme je suis court sur pattes, parfois c’était plus délicat. Je la trouvais grosse. Dans l’histoire, je vis dans une roulotte en plein champ. Et à un moment, le sol était mouillé, ça glissait, j’avais le petit (Antoine Olivier Pilon alias Frisson) derrière moi. J’avais peur d’échapper la moto. Disons que ça a été un moment un peu plus difficile », confie Guillaume.
 
Comme le jeune Antoine Olivier Pilon en était à sa première expérience comme acteur, Guillaume s’est permis de le conseiller quelques fois. « Parfois, je lui disais de faire attention à des choses, mais c’était facile, il a beaucoup d’intuition et elle lui a servi beaucoup. Mais oui, je me suis permis de lui donner des conseils, car il était ouvert à les entendre. Moi, de toute façon, je suis comme ça dans la vie, je suis un peu coach, je ne me mêle pas de mes affaires (rires). »
 
Frisson des collines prend l’affiche aujourd’hui, 15 avril.
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Antoine Bertrand se remémore des souvenirs d’enfance

Antoine Bertrand s’est replongé dans ses souvenirs d’enfance lorsqu’il a tourné Frisson des collines. « Les gars qui tirent de la carabine à plombs sur les brassières de la voisine, pas pendant qu’elle les porte, mais quand elles sont accrochées sur la corde, on n’aurait pas eu le même film sinon (rires), c’est un peu de ma jeunesse. J’en ai encore une carabine à plombs. Ayant grandi en campagne, je retrouvais aussi les personnages que j’avais connus. Chez nous, il y en avait un Frisson, il y en avait un Burger. Moi, j’étais plus un Burger, alors je n’ai pas été obligé d’aller chercher loin pour jouer ce rôle », confiait le sympathique comédien à BUM Interactif.
 
Tourner à l’extérieur de Montréal a également créé une belle ambiance sur ce projet. « Aussitôt qu’on sort de la ville, c’est vrai, on a un feeling de colonie de vacances parfois. On dort à l’hôtel et des fois, il peut arriver que quelqu’un achète de l’alcool et peut-être qu’on fête (rires), mais on était tous sur le plateau à 6 h le lendemain matin », déclare le comédien avec un large sourire.
 
Antoine Bertrand semble aussi avoir trouvé un adversaire de taille en la personne du jeune Antoine Olivier Pilon qui incarne Frisson. « C’est un gars très mature, très drôle, il a un sens de la répartie incroyable. Il arrivait à me boucher trois fois par jour et je suis difficile à boucher. Je lui disais qu’il était trop fort pour la ligue lui. »
 
De plus, le comédien en était à son quatrième projet avec le jeune William Monette. « On a des caractéristiques physiques en commun, alors on a vécu les mêmes affaires, donc son personnage de Thibault me ressemblait plus lorsque j’étais jeune. Ça fait quatre fois qu’on tourne ensemble lui et moi. Il m’a joué jeune dans Virginie, il a joué mon frère dans Babine et il a joué mon fils dans Borderline. Tant qu’on sera rond tous les deux, on va travailler ensemble, je crois. Je n’arrête pas de lui dire de ne pas perdre de poids, de ne pas me laisser seul. Ça fait du bien d’en avoir un autre à coté de soi (rires). »
 
Le comédien poursuit le tournage des Boys et des Enfants de la télé, émission pour laquelle il a reçu une nomination au prochain Gala Artis pour l’animation. « Je suis super content, mais je ne m’attendais pas à ça. Ce n’est pas ma job d’être animateur, alors j’espère que je ne me mettrai pas trop à dos les animateurs (rires) », conclut-il.
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Un nouveau défi pour Rémi-Pierre Paquin

Dans Frisson des collines,qui sort en salles demain (15 avril), Rémi-Pierre Paquin incarne l’abbé Labbé. « C’est un personnage bien différent de ce que j’ai eu à faire jusqu’à présent. C’est très en retenu, on ne laisse pas aller grand-chose. C’est un rôle plus intérieur », disait Rémi-Pierre à BUM Interactif.
 
Grand amateur de musique et musicien lui-même, Rémi-Pierre avoue avoir été séduit par le côté musical du film, ainsi que son époque. « C’était les classiques du rock, ça me faisait triper. Mais aussi, le fait que ce soit un enfant qui raconte l’histoire, je trouvais ça intéressant. Jouer un curé je trouvais ça l’fun. C’est différent de mes autres rôles, donc j’étais content de jouer quelqu’un de straight, près du Seigneur (rires). »
 
« J’aurais aimé vivre cette époque aussi, où on jetait une grosse partie de la société par-dessus bord, on explorait, on tripait, on était sur l’acide et on se mettait tout nu. Effectivement, je trouve ça intéressant (rires) », ajoute Rémi-Pierre.
 
Du tournage de Frisson des collines, le comédien retiendra sa rencontre avec le jeune Antoine Olivier Pilon qui incarne Frisson. « Il est vraiment bon. Il aura une longue carrière. Je suis content de l’avoir connu durant son premier film. Il n’avait pas l’air nerveux, il avait pourtant un film sur ses épaules. Il a rendu la marchandise. Il est vraiment gentil », conclut le comédien.
 
Rémi-Pierre Paquin sera de retour cet automne dans Mauvais karma et il termine l’organisation de la prochaine édition de son festival de théâtre de rue qui se tiendra les 23-24 et 25 juin à Lachine.
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Anick Lemay aime jouer les amoureuses

Dans Frisson des collines, Anick Lemay incarne Lucille, une femme en deuil totalement perdue après la mort de son mari, avec lequel elle a été en couple plus de 20 ans.
 
« J’ai été très touchée par le scénario. C’est un deuil immense, la perte d’un grand amour. Je suis bonne là-dedans, j’aime ça aller gratter ces blessures-là (rires) », confiait la sympathique Anick Lemay à BUM Interactif. « Je trouve que c’est un beau sentiment l’amour. J’aime jouer les amoureuses plus grandes que nature. Pas l’amoureuse tiède, non, la grosse affaire », ajoute la comédienne.
 
Contrairement à Lucille dans Frisson des collines, son personnage de Carole dans La Promesse est plutôt une amoureuse exaltée et pleine d’énergie. Mais encore une fois, une amoureuse qui est loin d’être ordinaire. « Elle est hyper sincère, elle est toute là, vraie. Elle n’est jamais dans le mensonge, elle n’est pas hypocrite Carole. Elle est aussi sur le 220, ça me prend beaucoup d’énergie la jouer, mais je l’aime beaucoup. »
 
Pour Frisson des collines, qui prendra l’affiche ce vendredi 15 avril, Anick Lemay dit ne pas avoir beaucoup apprécié les costumes qu’elle devait porter. « J’aime cette époque, j’aurais aimé la vivre, mais pas les vêtements. Les robes, ça allait, j’étais bien, mais les pantalons taille très haute, c’est tellement inconfortable. En plus, ce n’est pas beau et ça te fait des fesses qui ne finissent plus. Les costumes m’ont vraiment tourmentée (rires). »
 
Pour les prochaines semaines, Anick Lemay reprend le tournage de la prochaine saison de La Promesse, mais aussi de Mauvais Karma, où elle incarne encore une fois un personnage bien loin de la fille colorée qu’elle est en réalité. « Je suis vraiment chanceuse, je peux jouer plein de personnages différents », conclut Anick.
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Cinéma

Garçon de 12 ans recherché pour un film

Casting Lucie Robitaille, qui a notamment travaillé sur des productions comme De père en flic, À vos marques… Party! 2 et la série Aveux, recherche un jeune garçon de 12 ans pour jouer le rôle de Frisson dans le film québécois Frisson des collines.
 
Frisson est un jeune rebelle baveux qui croit que tout est possible.
 
Réalisé par Richard Roy (Le dernier chapitre, Café Olé) Frisson des collines mettra notamment en vedette Guillaume Lemay-Thivierge, Caroline Dhavernas, Anick Lemay, Antoine Bertrand et Geneviève Brouillette.
 
Le tournage se fera en juillet prochain. Le film bénéficie d’un budget de 4,1 millions de dollars. La distribution du film au Québec sera assurée par Les films Séville.
 
Les jeunes candidats intéressés doivent envoyer un courriel avec une photographie et une courte biographie à frissondescollines@gmail.com.
 
Les jeunes garçons qui ont été vus en audition à Montréal et Québec ne sont pas éligibles.