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Un gruyère suisse est déclaré Meilleur fromage au monde

Le grand vainqueur du World Championship Cheese Contest, qui a eu lieu à Madison dans le Wisconsin aux États-Unis, est un gruyère suisse.
 
Ce concours est le plus important championnat de fromages. Cette année, 2 318 fromages provenant de 20 pays différents étaient en lice pour remporter le titre tant convoité.
 
C’est le gruyère suisse de Cédric Vuille, de la Fromagerie de la Brévine, qui a remporté la palme avec un total de 98,79 points sur 100 à la dernière ronde de votes.
 
La deuxième place est détenue par un autre Suisse, Andeer Sennerei, pour son fromage à pâte ferme avec 98,52 points. Il devance ainsi l’Autrichien Alois Pesendorfer et son fromage à pâte semi-molle avec 98,46 points.
 
Le jury a particulièrement aimé la texture du gruyère gagnant avec sa douce odeur d’herbes aromatisées.
 
Chaque année, le concours se déroule dans le Winsconsin, un État américain où sont produits de nombreux fromages.
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Les Québécois préfèrent le fromage

Dans le cadre de l’événement le Mois de la nutrition organisé par les diététistes du Canada, un sondage a révélé les préférences des Canadiens concernant les produits alimentaires fabriqués au pays.
 
Ainsi, l’enquête d’Ipsos-Reid, réalisée en ligne auprès de 2 201 répondants, révèle que les Québécois classent en première place le fromage sur leur liste de produits locaux préférés. Suivent en deuxième place les fraises. Les pommes se classent au troisième rang et le sirop d’érable en quatrième place.
 
Pour l’ensemble du Canada, c’est le bœuf qui remporte la palme, en plus d’être le produit préféré des Albertains. En Colombie-Britannique, on préfère les légumes frais, le Manitoba et la Saskatchewan classent l’épi de maïs au premier rang, tandis qu’en Ontario on préfère les pommes. Les provinces atlantiques, quant à elles, classent les fruits de mer en première place.
 
En résumé, le sondage dévoile que la majorité des gens aime connaître la provenance des aliments consommés. Au Québec, on juge que nos produits locaux sont sains à 98 %, frais pour 95 % des répondants, sécuritaires à 86 %, abondants à 87 %, diversifiés à 89 % et ayant un bon rapport qualité-prix à 86 %.
 
Cette année, le Mois de la nutritionest mars et le thème sera Célébrons nos aliments… de la terre à la table!
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Les gras saturés ne seraient pas si nocifs pour le coeur

Une nouvelle étude d’épidémiologistes américains remet en question toutes les informations connues sur les gras saturés et en arrive à des résultats surprenants.
 
Après l’analyse de 21 études totalisant un suivi de 347 747 personnes âgées de 30 à 89 ans pendant 5 à 23 ans, on mentionne que couper les gras saturés de notre alimentation ne réduit pas les risques d’infarctus, d’accident vasculaire cérébral ou de maladies cardiovasculaires.
 
Depuis toujours, on mentionne que les gras saturés, retrouvés notamment dans les viandes, les fromages et les crèmes, augmentaient le mauvais cholestérol (LDL). Or, les chercheurs savent que le cholestérol LDL se compose de différentes particules. Les particules plus petites et plus denses sont plus susceptibles de former des plaques et causer des problèmes au niveau de la santé du cœur. Les particules plus grosses et moelleuses sont beaucoup moins nocives. La nouvelle étude démontre que les gras saturés correspondent au deuxième type de particules.
 
Selon les chercheurs américains, le seul bénéfice noté en coupant les gras saturés était lorsqu’il était remplacé par les gras polyinsaturés (poisson, huiles de lin et de tournesol). Remplacer les gras saturés par des aliments riches en glucides ne présente aucun bienfait, même que cela pourrait augmenter les risques d’infarctus et d’AVC.
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Le musée de la Vache qui rit

Le groupe Bel ouvrira, à Lons-le-Saunier dans le Jura, la Maison de la Vache qui Rit, un musée consacré à ce populaire fromage.

Situé sur l’ancien site de fabrication des premières portions il y a 90 ans, ce musée se veut un endroit d’échanges et de surprises pour toute la famille.

On y présentera des animations, des expositions, des programmes multimédias ainsi qu’un jardin thématique pour faire découvrir aux plus jeunes les secrets de la fabrication et l’histoire de la vache.

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L’enquête sur la listériose se poursuit

Si le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) penche vers la théorie du fromage contaminé pour expliquer les cas de listériose, la liste des rappels ne cesse de s’allonger depuis.

Ainsi, les fromages Le Fleur de Lysé, le Rassembleu et le Fou du Roi, produits par les Fromagiers de la Table Ronde de Sainte-Sophie, dans les Laurentides, font l’objet d’un rappel à l’échelle de la province, car les autorités soupçonnent qu’ils contiennent la bactérie Listeria monocytogenes.

Les emballages portant une date de péremption à compter du 14 juillet sont particulièrement ciblés et ne doivent pas être consommés.

En plus de son enquête, le MAPAQ effectue des visites dans une trentaine d’usines de fabrication de fromage au lait cru afin de « vérifier si toutes les bonnes pratiques sont suivies ».

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Des fromages de retour sur le marché

Les fromages Riopelle de l’Isle, Tomme de Grosse-Île et Mi-Carême, vendus à la Fromagerie de l’Île-aux-Grues, ainsi que le Mont-Jacob, vendu à la Fromagerie Blackburn, ne font plus partie des fromages condamnés, rapporte Cyberpresse.ca.

L’Agence canadienne d’inspection des aliments et le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec ont effectué des tests qui ont tous eu des résultats négatifs en ce qui concerne la bactérie listéria.

Rappelons que la Fromagerie de l’Île-aux-Grues avait suspendu les ventes de ses trois fromages le 28 août dernier, le temps que les résultats des tests soient dévoilés. 

La Fromagerie Blackburn avait pris la même initiative avec son Mont-Jacob, du 25 août au 1er septembre.

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Mise en garde contre un producteur de fromage

Le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) tient à informer la population de ne pas consommer un fromage au lait cru produit par la ferme Paul Goupil des Cantons-de-l’Est.

Il semble que le producteur de Melbourne ne possède pas de permis en règle pour la transformation de produits laitiers, permis nécessaire pour fabriquer et vendre des fromages au lait cru au Québec.

Le MAPAQ recommande aux consommateurs qui ont acheté le fromage de le jeter ou de le rapporter au détaillant où il a été vendu.

La Ferme écologique coop d’Ulverton a fait l’objet d’un avertissement similaire la semaine dernière.