Longtemps, il y a eu d’importantes tensions entre la Turquie et la Syrie, rendant difficile pour les touristes le passage entre les deux, pourtant des destinations intéressantes pour les amateurs d’histoire.
Maintenant que les deux pays voisins sont en pourparlers pour abolir les restrictions qui compliquaient la vie des voyageurs pour passer de l’un à l’autre, les gouvernements s’attendent à ce qu’ils profitent tous deux de l’intérêt accru pour leur industrie touristique respective.
C’est du moins ce que croit Saadallah Agha al-Qalaa, le ministre du Tourisme syrien qui voit dans cette ouverture et le passage sans visa une réelle opportunité de faire augmenter l’achalandage touristique de 40 % et d’engendrer des revenus approximatifs de 8,2 milliards de dollars laissés par une estimation de 8,5 millions de touristes en 2011.
La Turquie comme la Syrie possèdent des sites archéologiques parmi les plus vieux du monde.