Catégories
Uncategorized

La grenade pour renforcer ses artères

Le DailyMail (UK) rapporte une nouvelle étude qui vante les mérites de la grenade en matière de santé cardiaque, et qui pourrait même « inverser » les dommages au cœur découlant d’une mauvaise alimentation.

Même s’il est loin d’être suggéré de ne pas surveiller ce que l’on mange et de s’en remettre à des solutions de rattrapage, il semble que la grenade serait tout de même en mesure d’offrir une protection supplémentaire aux gens qui ne s’alimentent pas de façon saine, notamment en renforcissant les artères et en assainissant les vaisseaux sanguins.

La propriété du fruit serait due aux fameux polyphénols qu’il contient, toujours selon l’étude espagnole, qui aurait permis d’améliorer la santé cardiovasculaire de cochons choisis pour les besoins de la recherche.

Les chercheurs ont alors créé un médicament sous forme de supplément (Pomanex), bourré des ingrédients actifs de la grenade, avant de les proposer à ces porcs qu’on avait préalablement nourris grassement, littéralement parlant.

Les cochons, qui possèdent plusieurs caractéristiques anatomiques similaires à l’homme, par exemple le système cardiovasculaire, ont démontré rapidement des améliorations au niveau de leurs vaisseaux sanguins et de leurs artères.

D’autres études précédentes avaient établi que la grenade permettait un meilleur flot sanguin, une réduction de la haute pression et un dégagement des artères.

Dans la mythologie, la grenade est associée à la fertilité et à l’éternité. Certains croient même que le fameux fruit défendu du jardin d’Éden serait en fait… une grenade!

Catégories
Uncategorized

Mercure : manger du poisson serait moins dangereux que prévu

De nouvelles recherches sur les taux de mercure retrouvés dans les différents poissons consommés par la population en général tendent à démontrer que la situation pourrait être moins dramatique et inquiétante que prévu, selon MedicalNewsToday.

Particulièrement en ce qui concerne les femmes enceintes, principalement visées par les avis de prévention en matière de mercure dans le poisson.

Ces conclusions sont celles d’un groupe d’étude appelé les Children of 90’s, basé à l’Université de Bristol, qui a analysé 103 aliments et boissons couramment consommés par un groupe de près de 5000 femmes durant leur grossesse.

Tous ces produits n’auraient compté que pour 17 % du taux total de mercure dans le corps, ce qui mène l’équipe de spécialistes à croire qu’il faut possiblement revoir les avertissements liés aux poissons et aux produits de la mer.

D’autant plus que ces derniers possèdent plusieurs vertus santé et comprennent de nombreuses vitamines et minéraux essentiels et fort utiles au développement et au maintien de l’organisme.

Plusieurs autres facteurs ont semblé plutôt influencer les taux de mercure observés chez ces femmes, par exemple l’âge, l’environnement et le nombre de grossesses.

D’autres études seront nécessaires afin de valider cette plus récente recherche, publiée dans le magazine Environmental Health Perspectives.

Certaines recherches ont démontré dans le passé que des apports réguliers en poisson dans l’alimentation d’une femme enceinte pourraient influencer positivement le QI de l’enfant à naître.

Catégories
Uncategorized

Sept portions de fruits et légumes par jour pourraient vous faire gagner une année

Pourquoi manger cinq portions de fruits et légumes quand vous pouvez en manger sept? C’est un peu la logique qui se cache derrière cette nouvelle étude rapportée par le Daily Mail (UK), et qui propose des conclusions étonnantes.

Plus qu’une simple théorie basée sur la quantité, la constatation présentée par les chercheurs espagnols en tête de l’étude parle plutôt d’impacts vérifiables sur la santé et la longévité chez ceux qui passent de cinq portions de fruits et légumes par jour (déjà recommandées) à sept.

L’équipe de l’Andalusian School of Public Health s’est penchée sur les données de plusieurs milliers de personnes et constate que les gens qui consomment plus de 570 grammes de fruits et légumes quotidiennement, soit sept portions par jour, gagnent en longévité.

Jusqu’à une année de plus même, sans parler de la réduction évidente du risque de cancer, des effets préventifs sur la santé cardiaque et d’une hausse d’énergie notable, croient les chercheurs.

« Il y a maintenant assez de preuves qui démontrent l’effet bénéfique des fruits et légumes en prévention du cancer et des maladies chroniques. Pour cette raison, l’une des meilleures techniques de prévention est de simplement promouvoir sa consommation auprès de la population », lance en conclusion Maria José Sanchez Perez, auteure de l’étude.

Catégories
Uncategorized

Le fruit du baobab organique et ses incroyables propriétés

Il semble bien que le fruit du baobab organique soit en passe de devenir le nouveau « super-fruit », lance powersupplements.com, une expression en vogue depuis quelque temps dans le domaine de la nutrition.

Cependant, poursuit cette même source, si l’expression s’avère souvent galvaudée, le fruit du baobab semble effectivement posséder une quantité impressionnante de nutriments et de propriétés santé.

Retrouvé souvent sous forme de poudre de notre côté de l’océan, ce produit est vanté par plusieurs spécialistes et risque de gagner en popularité.

Le fruit du baobab organique comprend notamment six fois plus de vitamine C que l’orange, plus de potassium qu’une banane, et six fois plus d’antioxydants que les bleuets! Un bon départ en soi, mais qui ne s’arrête pas là.

Chaque portion renferme une quantité impressionnante de fibres, de fer et de magnésium, ce qui en fait le fruit le plus complet et riche en nutriments jusqu’à maintenant!

Catégories
Uncategorized

Réduire les risques de dépression en vieillissant grâce au vin

Vieillir comme le bon vin pourrait bien être plus facile… grâce au vin!

En effet, selon les informations rapportées par Top Santé, le vin serait un allié de taille dans la prévention de la dépression chez les personnes qui commencent à prendre de l’âge, soit de 55 à 80 ans, en moyenne.

C’est justement cette tranche d’âge qu’ont analysé des chercheurs espagnols lors d’une étude qui trace un lien direct entre la consommation de vin et une réduction des risques de dépression chez les gens à l’âge de la retraite.

« Nous avons sélectionné 5500 personnes âgées de 55 à 80 ans et, pendant sept ans, nous avons suivi leur état de santé psychologique et mis en parallèle leur consommation de vin. Nous nous sommes rendu compte que le risque de dépression était diminué en moyenne de 32 % chez les personnes qui buvaient de deux à sept petits verres de vin par semaine », explique Miguel Martinez-Gonzalez, de l’Université de Navarre.

Donc, en moyenne, l’effet optimal pourrait se faire sentir avec un verre de vin bu quotidiennement, mais les excès risquent d’apporter plus de problèmes qu’ils n’en règlent!

Comme l’élément clé de cette réduction des risques de troubles dépressifs est le resvératrol, on suggère aussi de consommer des petits fruits comme la canneberge ou les mûres, par exemple.

Catégories
Uncategorized

Les framboises et la fertilité

Une nouvelle recherche rapportée par le Daily Mail (UK) fait état des propriétés bienfaitrices de la framboise en matière de fertilité, notamment chez les hommes.

On avance, du côté des auteurs de l’étude, que la consommation élevée de framboises permet de constater une hausse des capacités reproductrices chez l’homme, et une baisse des risques de fausse couche chez la femme.

Selon les chercheurs du département de l’énergie américain, le phénomène s’expliquerait en partie par les fortes teneurs du petit fruit en antioxydants ainsi qu’en vitamine C.

Juliet Wilson, une nutritionniste spécialisée en fertilité, abonde dans le même sens. « Les framboises procurent des nutriments essentiels qui sont reconnus pour améliorer la fertilité chez l’homme et chez la femme », lance-t-elle.

Une autre étude dévoilait récemment que les hommes âgés de plus de 44 ans possédant les plus hauts taux de vitamine C dans le corps voyaient les dommages causés à leurs capacités de reproduction diminuer de 20 %.

« En plus de leurs vertus santé, les framboises sont donc la collation parfaite pour les couples qui essaient de concevoir! », conclut Juliet Wilson. 

Catégories
Uncategorized

Des apports alimentaires en cuivre pourraient contribuer au développement de l’Alzheimer

Santé Log rapporte des conclusions tirées d’une étude américaine à l’effet qu’une diète riche en cuivre pourrait contribuer à l’apparition de la maladie d’Alzheimer.

Le cuivre, moins souvent mentionné que d’autres éléments en alimentation, se retrouve dans plusieurs produits jugés bons pour la santé, dont les noix, les lentilles, les fruits et légumes ainsi que les fruits de mer.

On en retrouve également dans la viande rouge, et les chercheurs en tête de ces nouvelles recherches croient que des apports élevés en cuivre pourraient contribuer à la formation et à l’accumulation de plaques bêta-amyloïdes au cerveau.

Ces dernières sont désormais reconnues comme une cause du développement de la maladie d’Alzheimer et sont majoritairement bloquées par des procédés cellulaires naturels.

Le problème, c’est que le cuivre circule dans les vaisseaux sanguins du cerveau et vient en diminuer ou en abolir la protection naturelle, dans certains cas.

C’est ce que révèlent les tests effectués sur des souris, des conclusions publiées dans PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences).

D’autres tests doivent être effectués, pour confirmer le modèle chez l’homme.

anté Log rapporte des conclusions tirées d’une étude américaine à l’effet qu’une diète riche en cuivre pourrait contribuer à l’apparition de la maladie d’Alzheimer.

Le cuivre, moins souvent mentionné que d’autres éléments en alimentation, se retrouve dans plusieurs produits jugés bons pour la santé, dont les noix, les lentilles, les fruits et légumes ainsi que les fruits de mer.

On en retrouve également dans la viande rouge, et les chercheurs en tête de ces nouvelles recherches croient que des apports élevés en cuivre pourraient contribuer à la formation et à l’accumulation de plaques bêta-amyloïdes au cerveau.

Ces dernières sont désormais reconnues comme une cause du développement de la maladie d’Alzheimer et sont majoritairement bloquées par des procédés cellulaires naturels.

Le problème, c’est que le cuivre circule dans les vaisseaux sanguins du cerveau et vient en diminuer ou en abolir la protection naturelle, dans certains cas.

C’est ce que révèlent les tests effectués sur des souris, des conclusions publiées dans PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences).

D’autres tests doivent être effectués, pour confirmer le modèle chez l’homme.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

Catégories
Uncategorized

La consommation de fruits liée à la baisse de risque d’anévrisme aortique

L’anévrisme abdominal de l’aorte est une condition qui s’avère somme toute assez rare, selon les spécialistes, mais malheureusement souvent mortelle.

Le problème se caractérise par un ballonnement de la partie inférieure de l’aorte, explique l’American Heart Association, qui rapporte également la nouvelle suivante.

Des chercheurs ont publié leurs conclusions dans le magazine Circulation, selon lesquelles une consommation quotidienne de fruits (au moins deux portions par jour) aurait un impact direct sur la réduction des risques d’anévrisme vasculaire de ce genre.

On parle même de 25 % moins de chances de subir ce terrible accident, selon l’étude publiée par des chercheurs suédois.

« Une forte consommation de fruits peu aider à prévenir plusieurs maladies vasculaires, et notre étude suggère qu’un risque réduit d’anévrisme abdominal de l’aorte serait parmi ces bénéfices », résume le Dr Otto Stackelberg, auteur en chef de l’étude.

Les légumes, tout aussi importants pour la bonne santé, ne semblent cependant pas avoir ce même genre d’impact sur la santé cardio-vasculaire.

quo;anévrisme abdominal de l’aorte est une condition qui s’avère somme toute assez rare, selon les spécialistes, mais malheureusement souvent mortelle.

Le problème se caractérise par un ballonnement de la partie inférieure de l’aorte, explique l’American Heart Association, qui rapporte également la nouvelle suivante.

Des chercheurs ont publié leurs conclusions dans le magazine Circulation, selon lesquelles une consommation quotidienne de fruits (au moins deux portions par jour) aurait un impact direct sur la réduction des risques d’anévrisme vasculaire de ce genre.

On parle même de 25 % moins de chances de subir ce terrible accident, selon l’étude publiée par des chercheurs suédois.

« Une forte consommation de fruits peu aider à prévenir plusieurs maladies vasculaires, et notre étude suggère qu’un risque réduit d’anévrisme abdominal de l’aorte serait parmi ces bénéfices », résume le Dr Otto Stackelberg, auteur en chef de l’étude.

Les légumes, tout aussi importants pour la bonne santé, ne semblent cependant pas avoir ce même genre d’impact sur la santé cardio-vasculaire.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

Catégories
Uncategorized

L’alimentation au service de la procréation chez l’homme

Voici une étude qui s’adresse aux hommes, et plus particulièrement à ceux qui sont concernés par la question de la paternité.

Selon le Daily Mail (UK), bien manger n’aurait pas qu’une incidence sur la bonne santé, mais aussi sur la capacité à procréer chez l’homme.

En effet, selon cette plus récente étude californienne sur le sujet, les hommes qui mangent mieux que la moyenne ou qui décident de changer leur alimentation en prenant de l’âge ont plus de chances de conserver leur capacité à se reproduire.

On vante particulièrement les noix, les fruits et légumes, et les poissons, notamment, qui procurent de forts apports en vitamines C et E, ainsi qu’en zinc.

Les spécialistes, dirigés par le professeur Simon Fishel, croient que les hommes qui ont du mal à réaliser leur rêve de faire un enfant devraient d’abord se tourner vers leur alimentation.

« Ce que l’on mange peut avoir une incidence positive ou dommageable. Les composantes associées à l’œstrogène qui passent dans la chaîne alimentaire, par exemple par la viande, peuvent avoir un effet dommageable sur le développement du sperme », résume le professeur Fishel.

i une étude qui s’adresse aux hommes, et plus particulièrement à ceux qui sont concernés par la question de la paternité.

Selon le Daily Mail (UK), bien manger n’aurait pas qu’une incidence sur la bonne santé, mais aussi sur la capacité à procréer chez l’homme.

En effet, selon cette plus récente étude californienne sur le sujet, les hommes qui mangent mieux que la moyenne ou qui décident de changer leur alimentation en prenant de l’âge ont plus de chances de conserver leur capacité à se reproduire.

On vante particulièrement les noix, les fruits et légumes, et les poissons, notamment, qui procurent de forts apports en vitamines C et E, ainsi qu’en zinc.

Les spécialistes, dirigés par le professeur Simon Fishel, croient que les hommes qui ont du mal à réaliser leur rêve de faire un enfant devraient d’abord se tourner vers leur alimentation.

« Ce que l’on mange peut avoir une incidence positive ou dommageable. Les composantes associées à l’œstrogène qui passent dans la chaîne alimentaire, par exemple par la viande, peuvent avoir un effet dommageable sur le développement du sperme », résume le professeur Fishel.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

Catégories
Uncategorized

Les fruits et légumes pourraient aider au sevrage de la cigarette

Des chercheurs américains constatent que les fruits et légumes ne sont pas simplement bons pour la santé, mais seraient aussi avantageux et utiles lors de l’arrêt du tabagisme, rapporte Top Santé.

C’est une équipe de spécialistes basée à Buffalo, aux États-Unis, qui a tracé ce parallèle en étudiant les impacts des fruits et légumes sur le comportement des individus fumeurs et non-fumeurs.

L’étude se base sur les cas de 1000 fumeurs (25 ans et plus) et révèle que ceux-ci consommeraient en moyenne moins de fruits et légumes que les non-fumeurs.

Au-delà du lien de souci de leur santé plus évident chez les non-fumeurs, qui mangent donc de façon plus équilibrée, on note qu’une augmentation de la consommation des fruits et légumes chez les fumeurs faciliterait l’arrêt du tabagisme.

La satiété accrue, une meilleure humeur et des niveaux de dopamine plus importants sont tous des facteurs découlant de la consommation de fruits et légumes, qui expliqueraient ainsi une plus grande facilité à abandonner la cigarette.

Fumeurs, à vos pommes et carottes!