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10 minutes par jour pour convaincre les enfants de manger plus de fruits et légumes

Selon une récente étude, rapporte Female First, le cumul de ces minutes représente l’équivalent de 3 jours annuellement. Qui plus est, le sondage a permis de récolter les méthodes parfois créatives utilisées par les parents pour faciliter les bonnes habitudes alimentaires.

La méthode la plus populaire, avec 35 % des parents, consiste à cacher les fruits ou légumes avec le reste de la nourriture.

Celle qui est le moins utilisée est la punition (pas de dessert, aller tôt au lit), à 15 %, si les fruits ou légumes n’ont pas été terminés.

Les autres solutions mentionnées :

– 29 % offrent des récompenses si l’enfant les mange tous;

– 23 % racontent les bienfaits des fruits et légumes;

– 22 % créent des formes ou des images avec les fruits et légumes;

– 21 % les transforment en jus, soupes ou sucettes glacées;

– 16 % interdisent à l’enfant de quitter la table tant qu’il n’a pas terminé ses fruits ou légumes.

Malgré tous ces efforts, moins de la moitié des parents sont satisfaits de la quantité consommée par leurs enfants.

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Les prix élevés des fruits et légumes associés au surpoids des jeunes enfants

Ce sont des chercheurs de l’American University qui ont soulevé ce lien. L’étude a été publiée dans la revue Pediatrics.

« Il y a une légère association, quoique significative, entre le prix des fruits et légumes et un indice de masse corporel (IMC) plus élevé chez les enfants », rapporte Taryn Morrissey, principale responsable de l’étude.

Dès que le prix de ces aliments frais grimpe, les familles à faible et moyen revenu ont tendance à les substituer pour des aliments de moindre coût, sans tenir compte de l’impact sur la santé et de la teneur calorique de ces derniers.

Les données récoltées sont basées sur l’Early Childhood Longitudinal Study-Birth Cohort, incluant les enfants jusqu’à l’âge de 5 ans. On y a associé l’historique de prix des aliments du Council for Community and Economic Research (C2ER), un index sur le coût de la vie.

Le revenu moyen des foyers étudiés était de 70 650 $ pour une famille de 4 personnes en 2013. Ces ménages sont considérés comme étant à 300 % sous le seuil de pauvreté aux États-Unis.

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Un défi boîte à lunch santé qui influence les habitudes alimentaires des enfants

Selon ce que rapporte Medical News Today, les enfants prennent rapidement du poids pendant le congé scolaire d’été. Le choix d’aliments des parents est le grand responsable.

Un groupe de chercheurs de l’Université de la Caroline du Sud a décidé d’utiliser les programmes de camps de jour d’été pour remédier à la situation.

Ils ont établi le Healthy Lunchbox Challenge (HLC), une théorie innovatrice basée sur la récompense lorsque les enfants apportent les bons aliments dans leur boîte à lunch. Le programme a été déployé à grande échelle et a donné d’excellents résultats.

Le HLC est peu coûteux, et donc très facilement adaptable à n’importe quel camp de jour. Il contient 2 volets : l’enseignement des bonnes pratiques aux parents et éducateurs, puis le programme incitatif pour les enfants.

Michael W. Beets et ses collègues, responsables de l’étude, ont obtenu des résultats très probants. Sur les 2000 enfants observés, la moitié participait au HLC. Ceux-ci ont apporté en proportion 12 % plus de fruits frais et 11 % plus de légumes. Ils ont aussi noté une forte participation des employés des camps de jour et une grosse diminution des collations inappropriées (31 %).

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La malbouffe n’est pas la cause majeure de l’obésité infantile

Medicalnewstoday.com rapporte les résultats d’une nouvelle étude qui affirme que le problème sous-jacent à la malbouffe provient du foyer des enfants qui souffrent d’obésité. Est-ce réellement une surprise?

Les chercheurs de l’Université de la Caroline du Nord, à la Chapel Hill’s Gillings School of Global Public Health, sont d’avis que la malbouffe ne représente qu’une parcelle du vrai problème. En fait, l’augmentation rapide du taux d’obésité chez les jeunes est la résultante de mauvaises habitudes alimentaires qui prennent source à la maison.

Les choix alimentaires des enfants sont le reflet de ce qu’ils mangent à la maison, ni plus ni moins. Ceux-ci ne sont pas habitués à manger des fruits et des légumes. On favorise plutôt la consommation d’aliments à haute teneur en sucres et en gras, de produits transformés et de repas congelés. Par la suite, les environnements scolaires encouragent le même schéma.

« Voilà ce qui rend réellement les enfants obèses », ont affirmé Barry Popkin et W.R. Kenan Jr., les spécialistes responsables de la recherche. « Consommer de la malbouffe est un comportement résultant de mauvaises habitudes alimentaires. »

Les données ont été récoltées entre 2007 et 2010 auprès de 4466 enfants de 2 à 18 ans, par l’entremise d’une étude intitulée National Health and Nutrition Examination Survey (NHANES).

Les résultats sont publiés dans The American Journal of Clinical Nutrition.

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Les enfants qui ont des cartes débit mangent plus

Au contraire, il semblerait que les enfants ou adolescents qui paient comptant font des choix plus « santé ». Plus de fruits et légumes, mais également moins de desserts.

L’économiste comportemental Brian Wansink, de la Cornell University, affirme : « Les enfants sont beaucoup, beaucoup plus sujets à prendre des desserts et bien moins susceptibles de prendre des fruits et légumes avec leur carte de débit ».

La recherche a été menée auprès de 2300 étudiants provenant de 287 écoles, de la première année du primaire jusqu’à la dernière année du secondaire, rapporte Science World Report.

Les résultats démontrent que les jeunes qui paient comptant sont 3 fois plus portés à se procurer des légumes. Ils consomment aussi 10 % de moins de calories.

La raison invoquée par Wansink? La carte débit est trop abstraite pour les enfants et, par conséquent, ils se préoccupent moins de leurs actions lorsqu’ils l’utilisent.

La solution proposée par l’économiste est simple, mais peut s’avérer très efficace. Les écoles, selon lui, devraient vendre les desserts et collations sucrées à la caisse d’argent comptant uniquement.

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Payer nos enfants pour qu’ils mangent des fruits et légumes

Une récente étude démontre que les 5,4 millions de dollars supplémentaires investis par les écoles pour fournir des légumes et des fruits aux enfants se retrouvent en grande partie aux poubelles. Au total, c’est 3,8 millions de dollars qui sont gaspillés.

L’un des chercheurs de l’étude, Joe Price, affirme que la meilleure façon d’encourager la consommation d’aliments sains demeure l’incitatif financier. La recherche a vérifié l’influence qu’avait la récompense sur les enfants lorsqu’on leur donnait soit de l’argent, soit un billet de tirage s’ils mangeaient des fruits et des légumes.

Les résultats ont été plus que concluants. Ils ont constaté une augmentation de 80 % de consommation de fruits et légumes et, par le fait même, une diminution de 30 % de gaspillage.

« Les parents ne savent pas toujours comment utiliser les incitatifs », raconte Price. « Nous sommes mal à l’aise si l’on considère qu’il s’agit d’un pot-de-vin. Mais la récompense peut être réellement puissante si elle mène à un changement d’habitude de vie. »

Comme l’indique Science World Report, les enfants, à la suite de l’expérience, revenaient à leurs vieilles habitudes. Mais à long terme, les chercheurs croient que les enfants modifieraient leurs habitudes alimentaires.

Les résultats ont été publiés dans The Journal of Human Resources et la revue Public Health Nutrition.

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Les jeunes enfants mangent de la malbouffe chaque semaine

Medical News Today rapporte que les données ont été recueillies dans des ménages californiens. La recherche a été menée par le UCLA Center for Health Policy Research.

Les résultats démontrent également que seulement 57 % des parents ont rapporté que leur enfant avait au moins ses 5 portions quotidiennes de fruits et légumes.

La spécialiste en tête de l’étude, Susan Holtby, a résumé la situation : « Un repas de malbouffe qui rend les enfants heureux une fois par semaine est une solution malheureuse, surtout pour les jeunes enfants ».

Holtby travaille pour le Public Health Institute depuis longtemps. « Les parents sont surmenés, occupés, et ils ont besoin de soutien pour choisir des aliments qui sont bons pour la santé de leurs enfants. »

En d’autres termes, selon Camille Maben, directrice adjointe de First 5 California qui a financé la recherche, ce sont les parents qui doivent être éduqués, bien avant les enfants. Ce sont eux qui ont la plus grande influence, toujours selon les données, sur ce que consomment leurs enfants.

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Aliments sains à l’école : garants de meilleures habitudes alimentaires chez les enfants

Une récente étude démontre que les changements apportés au menu du midi font une réelle différence. « Nos résultats démontrent que les écoles peuvent contribuer fortement à une alimentation saine, en ligne avec le guide nutritionnel », explique Katherine Alaimo.

Selon ce que rapporte Science World Report, le ministère américain de l’Agriculture a demandé à ce que de nouveaux standards nutritionnels soient implantés dans les écoles, dès le 1er juillet 2014. Les Smart Snacks visent à limiter l’apport calorique servi aux enfants, en plus de diminuer la consommation en sucre, sel et aliments gras. 

Une excellente initiative, si l’on en juge par les résultats obtenus par Alaimo et son équipe auprès d’écoles qui ont déjà accepté de se prêter au changement. En tout, la consommation de fruits a rapidement augmenté de 26 % en moyenne, celle des légumes de 14 %, et celle de grains entiers de 30 %. Des améliorations au niveau de la prise de calcium et de vitamines A et C ont également été observées.

Un programme qu’il est souhaitable de voir se déployer mondialement.

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Consommer des fruits frais et non des jus de fruits pour prévenir le diabète

Manger des fruits frais comme des bleuets, du raisin et des pommes permettrait de réduire le risque de développer un diabète de type 2, alors que les remplacer par des jus de fruits industriels pourrait au contraire augmenter ce risque, selon une nouvelle étude.

La consommation de fruits est en général recommandée dans la prévention de diverses maladies chroniques, y compris le diabète de type 2, même si les résultats des études épidémiologiques étaient jusqu’à présent contradictoires en ce qui concerne cette dernière maladie.

Des chercheurs américains, britanniques et singapouriens ont compilé les données fournies par trois études américaines portant au total sur 187 383 personnes (151 209 femmes et 16 173 hommes).

Après avoir éliminé toutes les personnes atteintes de diabète, de maladies cardiovasculaires et de cancers au début de ces études, ils ont étudié la consommation de fruits et de jus de fruits à partir des questionnaires remplis par les participants tous les quatre ans pendant une durée totale allant de 19 à 24 ans.

Plus de 12 000 personnes (6,5 % de l’ensemble des participants) ont développé un diabète de type 2 pendant les différentes études.

En pondérant avec de nombreux autres critères (âge, activité physique, ration énergétique totale, etc.), les chercheurs ont trouvé une association significative entre la consommation de certains fruits et une diminution du risque de développer le diabète.

Les bleuets arrivent en tête, suivis dans l’ordre par le raisin, les pommes, les poires, les bananes et le pamplemousse.

Une consommation de ces fruits au moins deux fois par semaine réduit le risque de diabète de 23 % par rapport à ceux en consommant moins d’une fois par mois, selon l’étude publiée dans la revue médicale British Medical Journal.

Un bémol toutefois pour le melon et les fraises, dont la consommation pourrait légèrement accroître le risque de diabète.

Celui-ci est également augmenté de 21 % chez les gros buveurs de jus de fruit industriels (plus d’un grand verre par jour) par comparaison à ceux qui en boivent moins d’un verre par semaine. Les jus de fruit, relèvent les chercheurs, ont généralement un index glycémique élevé et moins de nutriments bénéfiques que les fruits frais.

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Préparer vous-même les purées de bébé, c’est facile!

Lorsque bébé commence à manger de la nourriture solide, un monde de possibilités s’ouvre à lui. Plutôt que d’aller vers la facilité (les pots de bébé) et de nourrir votre enfant avec des agents de conservation, trop de sel et de sucre, prenez une journée du weekend pour préparer 1 mois de repas en un tournemain.

Pour les purées de légumes, c’est simple, il s’agit de les faire bouillir jusqu’à tendreté et de les passer au robot ou au pile pommes de terre, si vous souhaitez un peu de texture. Prenez des patates douces, carottes, courges, pois, ou encore des épinards. Utilisez le jus de cuisson pour ajuster la texture et, surtout, pour conserver les vitamines.

En ce qui a trait aux purées de fruits, utilisez des pommes, pêches, mangues, poires et bananes. Internet regorge de sites qui peuvent vous donner des trucs, des combinaisons de certains aliments, etc. Certains peuvent être écrasés directement, d’autres doivent être cuits légèrement.

Parents Canada suggère de toujours prendre des légumes et fruits de saison afin qu’ils soient frais. Rien qui est en conserve ou surgelé. Par la suite, vous versez des portions dans des moules à glaçons, puis vous transférez dans des sacs de congélation lorsque gelés. Vous pouvez même utiliser un appareil pour les sceller sous vide, ils décongèleront plus rapidement et resteront frais plus longtemps.