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Arrêter de fumer est plus facile à partir de la mi-trentaine

Une étude américaine dévoile que les personnes qui souhaitent arrêter de fumer auraient plus de facilité à le faire entre 35 et 40 ans.
 
Les résultats présentés au congrès de l’European Respiratory Society à Amsterdam, et publiés dans Le Parisien, démontrent que cesser de fumer serait plus simple à la mi-trentaine.
 
Toutefois, on ignore les raisons de ce phénomène. On insiste également sur le fait qu’arrêter de fumer est bénéfique à tout âge, et que les gens n’ont pas à attendre jusqu’à 35 ans avant d’écraser.
 
De plus, on sait que les fumeurs feront environ 7,9 tentatives dans leur vie pour cesser de fumer. Cela explique le fait qu’il est très difficile de se débarrasser de la nicotine.
 
Cette semaine on apprenait que boire de l’eau pouvait aider à calmer les envies de fumer.
 
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La cigarette affecte la mémoire

Les personnes qui fument la cigarette perdraient en moyenne jusqu’au tiers de leur mémoire, selon le Daily Mail.
 
Une équipe de l’Université de Northumbria a suivi 70 personnes de 18 à 25 ans. On leur a demandé de se remémorer des détails divers.
 
Les fumeurs sont ceux qui ont obtenu les moins bons résultats. Ils ne se souvenaient que de 59 % des choses, alors que les personnes qui n’avaient jamais fumé de leur vie ont obtenu 81 % de bonnes réponses.
 
Fait surprenant, on constate que les dommages causés sur la mémoire ne sont pas permanents, du moins en grande partie.
 
Durant la recherche, les personnes qui avaient déjà fumé, mais qui avaient arrêté ont obtenu une note de 75 %. Donc, elles ont restauré leur mémoire en cessant de fumer, retrouvant presque toutes leurs capacités cognitives.
 
Récemment, on mentionnait que l’abus d’alcool pouvait également affecter la mémoire, surtout chez les jeunes. Il s’agit donc de deux mauvaises habitudes auxquelles il est préférable de ne pas succomber.
 
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Arrêter de fumer améliore la personnalité

Il est faux de croire que fumer diminue le stress. Des chercheurs mentionnent dans le Nicotine and Tobacco Research qu’arrêter de fumer à un jeune âge permet d’améliorer sa personnalité, notamment en diminuant son impulsivité.
 
C’est le constat qui a été fait en observant un groupe de jeunes fumeurs de 18 à 25 ans, comparativement à un groupe qui avait cessé de fumer. La recherche n’a pas été faite chez les plus âgés.
 
« Les fumeurs de 18 ans avaient un taux d’impulsivité plus haut que les non-fumeurs du même âge, et ceux qui avaient arrêté montraient une forte baisse d’impulsivité entre 18 et 25 ans », a déclaré le chercheur Andrew Littlefield.
 
De plus, on a remarqué que le simple fait d’essayer d’arrêter de fumer pouvait améliorer l’humeur.
 
On a étudié les symptômes dépressifs chez les personnes qui étaient en plein processus de cesser de fumer et celles-ci disaient se sentir mieux que jamais.
 
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Toutes les formes de tabagisme sont dangereuses

On lit dans Pediatrics les résultats d’une étude démontrant les risques de la prise de tabac durant la grossesse. Cette forme de tabagisme est d’autant plus dangereuse pour le bébé, quant à certains problèmes de santé, que de fumer.

La raison en est que la prise de tabac comprend majoritairement de la nicotine. Cette habitude entraîne donc un plus haut risque d’apnée néonatale chez l’enfant à naître.

Si la cigarette durant la grossesse est associée à des risques de naissance prématurée, de faible croissance fœtale et de mort subite du nourrisson, on en connaît encore très peu sur les formes sans fumée du tabagisme.

Les méthodes de remplacement de la nicotine sont pourtant recommandées comme un sevrage du tabac durant la grossesse. Or, on reconnaît clairement que la prise de tabac est tout aussi néfaste, même si elle n’engendre pas de fumée.

La présente étude a porté sur plus de 600 000 femmes enceintes, dont certaines usaient de la prise de tabac, certaines étaient des fumeuses légères et d’autres étaient de fortes fumeuses.

Il est donc ressorti que l’exposition prénatale à la prise de tabac est reliée à de plus graves risques d’apnée, en comparaison avec des bébés dont la mère était non-fumeuse, ou même fumeuse.

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L’importance de cesser de fumer avant le 3e mois de grossesse

Les impacts de la cigarette sur le fœtus sont multiples. La femme enceinte a tout intérêt à cesser le tabagisme, au plus tard après 8 semaines de grossesse. De cette façon, elle évitera d’influencer directement le poids de l’enfant à la naissance.

Une étude récemment menée à l’Université de Southampton rapporte que les femmes qui arrêtent de fumer dans les 2 premiers mois de grossesse se garantissent une meilleure chance d’accoucher d’un bébé de même poids qu’une non-fumeuse.

Le professeur de gynécologie obstétrique Nick Macklon, responsable et porte-parole de l’étude, affirme qu’il s’agit d’un message d’espoir pour les futures mères qui ont de la difficulté à cesser le tabagisme. Il demeure prudent quant au positivisme de cette recherche, puisque poursuivre la cigarette après 8 semaines affecte fortement le poids du bébé.

D’autre part, une étude effectuée au Danemark en 2010, menée par une équipe de gynécologues dirigée par le docteur LS Mamsen, relate que fumer pendant le premier trimestre de la grossesse influence la fertilité de l’enfant à venir.

Il s’agit donc de résultats à double tranchant. Il n’en demeure pas moins que la femme qui souhaite procréer devrait suivre un programme pour arrêter de fumer avant même de tomber enceinte, en se rappelant qu’elle le fait pour elle-même, mais surtout pour son enfant.

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Fumer favorise l’occlusion et le durcissement des artères

Une étude publiée dans les Annals of Internal Medicine affirme que les femmes qui fument ou ont fumé dans leur vie sont plus 10 fois plus susceptibles de souffrir d’une occlusion des artères des membres inférieurs.
 
L’équipe de l’École de médecine de Harvard s’est penchée sur une forme d’artériopathie des membres inférieurs en suivant plus de 38 000 femmes pendant 13 ans.
 
L’artériopathie est une maladie qui cause l’occlusion des artères et leur durcissement; et dans ce cas-ci, c’est aux jambes.
 
Les personnes qui en souffrent ressentent de la douleur, une sensation de fatigue musculaire, des engourdissements et leurs plaies ne cicatrisent pas.
 
Le tabagisme favorise donc l’apparition d’artérite. Même 20 ans après avoir cessé de fumer, on constate que les femmes ont tout de même plus de risques de développer la maladie que les femmes qui n’ont jamais fumé de leur vie.
 
Si vous souffrez de symptômes reliés au diabète, il serait important de consulter un médecin pour évaluer vos risques. Le diabète est reconnu comme un facteur qui favorise l’artériopathie.
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Tabagisme et grossesse : le message ne passe pas

Les dangers du tabagisme durant la grossesse sont réels. Par exemple, 20 % des fumeuses vivront une fausse couche, contre 10 % pour les autres. Toutefois, plusieurs futures mamans ne semblent pas se soucier des risques encourus pour leur bébé.

L’association Droits des Non-Fumeurs a réalisé une analyse ayant porté sur trois sites internet. Elle en a présenté les résultats le 30 mai lors d’une conférence de presse.
 
On y apprend entre autres que plus du tiers des femmes fument tous les jours en début de grossesse. De plus, 22 % des futures mères n’arrêtent pas de fumer, et ce, jusqu’à l’accouchement.

Afin de tirer ces conclusions, l’association européenne en question a pris en compte 426 721 messages affichés sur des forums féminins de 2006 à 2011. Ces avis portaient sur le thème « grossesse et tabac ». Parmi eux, 1 545 ont été jugés représentatifs.

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Maman fumeuse, bébé fumeur

Une recherche finlandaise a démontré que le tabagisme de la femme enceinte peut grandement faire en sorte que l’enfant soit dépendant de la nicotine plus tard. De plus, ce dernier aurait tendance à commencer à fumer à un âge plus jeune.

Selon Medical News Today, cette étude faite sur des souris a prouvé que l’exposition prénatale à la nicotine rendait vulnérable à celle-ci.

Ainsi, l’enfant, une fois au stade de l’adolescence, aura plus tendance à subir les effets de la dépendance à cette substance.

Puisque l’on comprend mieux de quelle façon la nicotine bloque certains récepteurs, on peut considérer qu’il s’agit là d’une explication possible de l’usage courant de la nicotine.

Finalement, cette recherche ouvre la voie à de possibles médicaments pour traiter la dépendance aux drogues et à la cigarette.

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Nouvelles quotidiennes

Il sera interdit de fumer dans les parcs publics de New York

Comme dans plusieurs endroits en Amérique du Nord et dans le reste du monde, il est interdit depuis quelques années de fumer dans les restaurants et les bars.

C’est en 2002 que cette mesure avait d’ailleurs touché New York.

Dorénavant, il faudra ajouter les parcs publics et les plages de la ville américaine comme endroits où il sera interdit de griller une cigarette en public.

Le Conseil de la ville de New York a en effet voté hier (8 février) une motion visant à interdire le tabagisme dans ses lieux publics.

La décision du conseil a aussitôt fait réagir les fumeurs, qui ne comprennent pas qu’on leur refuse leur plaisir dans des endroits à ciel ouvert où leur fumée n’est pas vraiment en mesure d’incommoder les non-fumeurs.

Ce nouveau règlement, qui sera en vigueur à compter du mois de mai prochain, sera accompagné d’une amende de 50 $ à toute personne qui y contreviendra.

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Le tabagisme, de mère en fille?

Il semble que les filles fumeuses sont statistiquement reliées à une mère qui fume aussi la cigarette, et la même chose est observable chez les garçons par rapport à leur père. Ce lien n’existerait pas en croisant les parents toutefois. 

C’est la principale observation à laquelle sont arrivés des chercheurs espagnols après avoir analysé des données s’étalant de 1994 à 2002.

Ils ont choisi ces données de sondages anglais puisqu’elles fournissaient des détails sur les produits consommés à la maison, dont la cigarette.

Des familles avec père et mère ainsi que des familles monoparentales ne comprenant que la mère constituaient les deux types de l’étude en question.

Les chercheurs ont ainsi pu étudier la transmission du tabagisme entre les générations. En général, un garçon a 24 % de risques de fumer si ses deux parents sont fumeurs, contre 12 % si aucun de ses parents ne fume. Les probabilités sont semblables chez les filles avec 23 % et 12 %.

Au sein des familles monoparentales, la mère semble transmettre l’habitude du tabagisme sans regard au sexe de ses enfants : chez les garçons, 32 % sont devenus fumeurs, tandis que chez les filles, 28 % fumaient.

La lutte anti-tabac devrait donc tenir compte du milieu où évoluent les enfants et les adolescents. Les détails de la présente étude sont parus dernièrement dans l’Oxford Bulletin of Economics and Statistics.