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La première cigarette de la journée pourrait bien être la plus dangereuse

Chers fumeurs, quand dégustez-vous votre premier bâtonnet de nicotine de la journée? Sachez que si vous le consommez trop tôt, ceci pourrait avoir une incidence marquée sur les risques de développer un cancer.

Selon des recherches rapportées par Top Santé, le moment de la première cigarette serait un facteur important en matière de cancer. Ainsi, les chercheurs américains qui se sont penchés sur le sujet estiment qu’un fumeur qui allume sa première cigarette de la journée dans les 30 minutes suivant le réveil augmenterait ses chances de développer un cancer de… 31 %!

On conseille d’attendre au moins 60 minutes, car les statistiques baissent drastiquement une fois ce laps de temps écoulé.

D’autres résultats font état d’un risque accru qui frôle les 80 % pour ceux qui en « grillent une » dès le saut du lit.

Les chercheurs sont eux-mêmes surpris de ces résultats, car ils ont bien du mal à en expliquer les raisons.

Quoi qu’il en soit, ils sont convaincus que si vous ne pouvez arrêter de fumer dans l’immédiat, il est au moins préférable de faire preuve de patience au réveil!

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Le cannabis augmente-t-il les chances de faire une attaque cérébrale?

Une nouvelle étude controversée sur le cannabis risque de faire jaser. Selon ce que l’on apprend via Santé Log, l’étude révèle des risques d’attaques cérébrales potentiellement à la hausse chez les fumeurs de cannabis.

La marijuana, pourtant prisée par plusieurs et même prescrite par certains médecins, comprendrait un dangereux revers de médaille pour ces chercheurs australiens en tête de l’étude.

Présentées lors de l’American Stroke Association International Stroke Conference 2013, ces recherches sont parmi les premières sérieuses à tenter de démontrer un risque accru d’AVC chez les consommateurs de la drogue douce.

Une drogue pas si douce, pensent les chercheurs, qui croient fermement à leur théorie. On parle du double, voire du triple, des chances d’AVC chez cette partie de la population, en comparaison aux non-fumeurs.

Cependant, plusieurs facteurs pourraient venir brouiller ces résultats. Notamment, l’usage de la cigarette chez les sujets observés, ainsi que leurs caractéristiques distinctes comme l’âge et leur état de santé préalable.

On s’attend à voir d’autres études sur le sujet être effectuées dans un avenir rapproché.

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Des poumons de fumeurs approuvés pour transplantation

Une étude incroyable affirme que certains fumeurs chroniques seraient tout de même éligibles comme donneurs, rapporte The National Library of Medicine.

On parle bien sûr ici des poumons, des organes que l’on aurait cru impossible de prélever sur des donneurs fumeurs. Encore moins sur des fumeurs chroniques depuis 20 ans (un paquet par jour), mais il semble que la réalité soit toute autre.

En fait, selon les chercheurs américains en tête de l’étude, plusieurs personnes en attente de greffe pulmonaire pourraient bénéficier de poumons de fumeurs, puisque ceux-ci ne seraient pas toujours nécessairement très endommagés, apprend-on.

Un fumeur peut très bien présenter des activités pulmonaires et respiratoires tout à fait normales, croit le Dr Sharven Taghavi, de l’hôpital universitaire Temple de Philadelphie.

Il explique : « Nos découvertes démontrent que les critères actuels concernant les transplantations pulmonaires pourraient être revus afin d’inclure les gens avec un passé de fumeur. Cela pourrait faire baisser les listes d’attente, ainsi que les taux de mortalité ».

« Par exemple, un chirurgien pourrait décider d’accepter des poumons sains d’un fumeur en bonne santé. D’autres poumons moins “bons” pourraient aussi permettre de sauver la vie de personnes en seuil critique, près de la mort. »

Voilà qui a de quoi surprendre, mais qui s’avère une excellente nouvelle.

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Une décennie de perdue pour les fumeurs chroniques

Les gens qui auront fumé tout au long de leur vie de façon chronique perdront l’équivalent d’une décennie en durée de vie, rapporte The National Library of Medicine.

Ces statistiques proviennent d’une profonde étude américaine qui se penchait sur le sujet. On avance donc que les fumeurs peuvent perdre jusqu’à dix ans de leur vie, à moins qu’ils ne cessent au bon moment…

Ce bon moment serait évalué à environ 35 ans. Donc, il serait possible de « récupérer » ces dix ans de vie si une personne décide d’arrêter de fumer avant d’atteindre la mi-trentaine.

Il y a donc de l’espoir pour plusieurs personnes, et on souligne aussi qu’il n’y a pas d’âge pour profiter des bienfaits de l’arrêt du tabagisme.

L’étude massive analysait les données de plus de 200 000 personnes et conclut que les taux de mortalité chez les fumeurs sont trois fois plus élevés que chez les non-fumeurs.

« Il s’agit d’une bonne nouvelle pour les non-fumeurs, et d’une moins bonne pour les fumeurs. Même chose pour les femmes, qui affichent des statistiques comparables. Les femmes fument comme les hommes… et meurent comme les hommes », termine le Dr Jha, de l’hôpital St Michaels de Toronto.

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Des différences dans les gènes de non-fumeuses atteintes du cancer

www.nlm.nih.gov rapporte que des chercheurs ont fait des percées importantes en matière de génétique et de cancer, alors que ceux-ci auraient trouvé des variantes dans les gènes de patientes atteintes du cancer du poumon.

Plus précisément, ces récentes découvertes ont été remarquées chez des patientes non-fumeuses atteintes de ce type de cancer.

On parle donc de différences génétiques observées dans trois régions, spécialement chez les femmes asiatiques, qui s’appliqueraient dans plusieurs cas de cancers du côté des non-fumeurs.

Ainsi, les chercheurs sont en train de confirmer la « provenance » du cancer du poumon chez ces femmes, un mystère pour celles qui n’ont jamais touché une cigarette de leur vie.

Après avoir compilé les données de 14 études sur le sujet, incluant les dossiers de pas moins de 14 000 patientes asiatiques (6600 atteintes du cancer du poumon, et 7500 en santé), l’équipe de chercheurs a constaté les variations dont il est question dans l’étude au niveau des chromosomes 6 et 10.

Bien entendu, les auteurs de la super-étude rappellent l’importance d’éviter la fumée secondaire dans votre environnement immédiat, ce qui pourrait accélérer le processus du cancer du poumon chez les non-fumeurs aux prises avec ce type de variation génétique.

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Un virus trouvé dans des cigarettes

Des chercheurs français viennent de découvrir qu’en plus des nombreuses substances toxiques retrouvées dans les cigarettes, on y a noté la présence du virus de la mosaïque du tabac.
 
Il s’agit d’un virus pathogène pour les plantes. Pour le moment, rien n’indique qu’il représente un danger pour l’homme, mais des études précédentes laissent croire que les virus végétaux pourraient aussi infecter les cellules humaines.
 
Selon le Journal of Clinical Virology, les chercheurs ont analysé une cinquantaine de cigarettes de six marques différentes et toutes contenaient le virus. Le virus vivant a même été détecté dans 53 % de l’échantillon.
 
On a également analysé des échantillons de salive de fumeurs et de non-fumeurs. Le virus a été retrouvé chez 43 % des fumeurs, mais aucune trace chez les non-fumeurs.
 
Il serait donc important de mieux cerner les impacts de ce virus sur la santé humaine, s’il y en a.
 
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La majorité des enfants américains sont exposés à la fumée secondaire

La présence de niveaux mesurables de nicotine sous forme secondaire a été décelée dans la salive de plus de 75 % des élèves de quatrième année dans les milieux urbains et ruraux aux États-Unis.

Il s’agit là d’une preuve irréfutable que ces enfants sont exposés à la fumée secondaire, expliquent les chercheurs du Child Health Discovery Institute de l’Université de la Géorgie, qui ont déposé leur rapport lors de la 15e Conférence mondiale sur le tabac et la santé, la semaine dernière à Singapour.

Les données vont encore plus loin, confirmant que les enfants de milieux urbains sont plus susceptibles de devenir des fumeurs à leur tour (14,9 % contre 6,6 %). Ces derniers sont également plus exposés à la fumée secondaire que ceux en milieu rural (79,6 % contre 75,3 %).

Pour en arriver à ses conclusions, des observations ont été menées auprès de 428 élèves de quatrième année et 453 parents dans sept régions rurales et urbaines et sept écoles de la Géorgie.

De cette étude, il est ressorti que les enfants en milieu urbain ont tendance à être plus pauvres, vivre avec un seul parent, recevoir des soins de santé dans les cliniques de santé communautaires et avoir un parent qui fume.

« Ce sont de mauvaises nouvelles », a déclaré la Dre Martha Tingen, répétant les effets secondaires non négligeables de l’exposition au tabac (faible poids de naissance, mort subite du nourrisson, asthme, infections, etc.).

Dre Tingen confirme que les résultats de cette étude doivent rappeler aux pédiatres de répéter aux enfants et aux parents les conséquences de mauvaises habitudes avec le tabagisme et de fournir toute l’aide possible pour que le phénomène cesse.

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Le tabagisme accélère le déclin cognitif des hommes

Une équipe de l’University College London a établi que le tabagisme accélérait le déclin cognitif chez les hommes. Toutefois, on ignore exactement pourquoi il y a une différence entre les deux sexes. Peut-être est-ce simplement dû au fait que les hommes fument plus que les femmes.
 
On a examiné les effets des années de tabagisme sur le déclin des facultés mentales sur 5099 hommes et 2137 femmes ayant en moyenne 56 ans au début de l’étude, qui a duré 10 ans. À trois reprises durant ces années, on a évalué les capacités mentales.
 
On a noté un déclin plus rapide chez les hommes fumeurs. Ces derniers avaient obtenu de mauvais résultats à tous les tests.
 
Pour les hommes ayant cessé de fumer durant les 10 années de l’étude, il demeurait encore un risque accru de déclin plus élevé.
 
Toutefois, si les hommes avaient cessé de fumer alors qu’ils étaient jeunes, on ne notait aucun recul de leurs capacités mentales.
 
« Fumer est de plus en plus reconnu comme un facteur de risque de démence chez les personnes âgées », mentionne la Dre Séverine Sabia aux Archives of General Psychiatry.
 
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Les substituts de nicotine seraient inefficaces à long terme

Une étude publiée dans le Tobacco Control remet en question l’efficacité des produits de substitution pour arrêter de fumer, comme les timbres cutanés et la gomme.
 
Selon l’équipe de l’École de santé publique de Harvard, ces produits n’augmentent pas les chances d’arrêter de fumer à long terme, même avec un suivi médical.
 
C’est ce qui ressort après avoir interrogé 800 personnes qui avaient cessé de fumer à différentes reprises.
 
À chaque période de questions, espacée de quelques années, le tiers des personnes avait recommencé à fumer.
 
« Cette étude montre que les substituts nicotiniques ne sont pas plus efficaces pour aider les gens à cesser de fumer à long terme », mentionne l’auteur principal des travaux, Hillel Aplert.
 
Pourtant, on avait auparavant reconnu l’efficacité de tels produits.
 
Selon le pneumologue Yves Martinet, les substituts de tabac doublent les chances d’arrêter de fumer lorsqu’ils sont bien prescrits. Il recommande même de varier les produits et de les accompagner d’un suivi médical adéquat.
 
« Mais quand les gens les achètent seuls sans ordonnance, ils ont tendance à ne pas en prendre assez et durant assez longtemps. Rompre sa dépendance au tabac peut prendre des mois, voire des années. Je connais des patients qui prennent des substituts depuis deux ou trois ans », dit le Dr Martinet.

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Papa fume? Plus de chances que bébé soit atteint de la leucémie

Bien que cela soit très néfaste pour d’autres raisons, il semblerait que même si la mère fume avant la grossesse et au moment de la conception, cela n’aurait pas d’impact en ce qui a trait au développement d’une forme de cancer chez l’enfant. Par contre, ce serait le cas du père, selon une étude australienne publiée dans l’American Journal of Epidemiology.

Les pères qui fumeraient au moins 20 cigarettes par jour au moment de la conception auraient 44 % plus de chances de faire développer la maladie chez l’enfant.

Les toxines, incluant les carcinogènes, pourraient engendrer un dommage direct aux cellules du sperme qui réussissent à féconder un ovule.

Même si les cas de leucémie augmentent constamment, il n’est pas encore prouvé qu’un père fumeur est entièrement responsable du développement de la maladie chez l’enfant. D’autres éléments seraient à considérer, comme le contact de la mère avec des pesticides, de la peinture et des radiations, pendant la grossesse.

Mentionnons que bien que la leucémie soit le type de cancer le plus fréquent chez l’enfant, il demeure tout de même rare, touchant environ de 3 à 5 enfants sur 100 000.