Catégories
Uncategorized

L’eau pour aider à arrêter de fumer

Les anciens fumeurs diront que même des années après avoir écrasé, l’envie de fumer demeure présente. Voilà pourquoi, malheureusement, certains recommence à fumer.
 
Sachez cependant que l’eau pourrait devenir une fidèle alliée. Selon MedicMagic, les personnes qui souhaitent cesser de fumer devraient doubler leur consommation d’eau, celle-ci pouvant aider à enrayer les envies de fumer.
 
Lorsque vous cessez de fumer, l’organisme a encore besoin de nicotine. Pour que cela cesse, il faut nettoyer votre corps, et l’eau peut s’avérer être très efficace pour cela.
 
Une plus grande consommation d’eau équivaut à une plus grande élimination des toxines.
Avec l’eau, la nicotine diminue graduellement dans votre organisme et habitue ainsi votre corps, de façon progressive, à ne plus avoir besoin de la cigarette pour combler ses besoins en nicotine.
 
Et si l’envie de fumer vous prend même après plusieurs années, prendre un grand verre d’eau pourrait vous aider à ne pas succomber à la tentation.
 
Catégories
Uncategorized

Le cancer de la vessie guette autant les fumeuses que les fumeurs

Alors qu’auparavant, des études disaient que le tabagisme était responsable de 20 à 30 % des cas de cancer de la vessie chez les femmes et 50 % chez les hommes, les données récentes démontrent que peu importe le sexe, les personnes qui fument ont les mêmes risques de développer la maladie.

Les précédentes études étaient basées sur des données datant des années 1960 et 1970, là où les femmes étaient beaucoup moins nombreuses à fumer. Aujourd’hui, elles sont tout aussi nombreuses que les hommes, ce qui explique cette augmentation.

Toutefois, les hommes demeurent quatre fois plus nombreux à souffrir du cancer de la vessie, et ce, en raison d’autres facteurs, notamment les différences physiologiques, explique le Journal of the American Medical Association.

Au Canada, on diagnostique 7 200 nouveaux cas de cancer de la vessie par année. 5 400 chez les hommes et 1 800 chez les femmes. En tout, 1 850 personnes vont en mourir.

Catégories
Uncategorized

La première cigarette du matin pourrait être plus dommageable

Les fumeurs qui allument une cigarette dès leur réveil sont plus susceptibles de développer un cancer du poumon que ceux qui attendent au moins une heure avant de prendre leur première bouffée. 

C’est ce que révèle une étude publiée dans le journal Cancer. Les chercheurs ont constaté que le niveau de nicotine était plus élevé avec la première cigarette, peut-être parce que les fumeurs la fument plus intensément.
 
Ils ont analysé 4 775 cas de cancer du poumon et 2 835 témoins, tous des fumeurs réguliers. Ceux qui fumaient de 31 à 60 minutes après le réveil avaient 1,31 fois plus de chances de développer un cancer du poumon que ceux qui attendaient plus d’une heure. Ceux qui allumaient une cigarette moins de 30 minutes après le réveil avaient 1,79 fois plus de risques de développer la maladie.
 
Pour ce qui est des cancers de la tête et du cou, les ratios étaient de 1,42 fois plus élevés si on fumait une cigarette entre 31 et 60 minutes après le réveil. Pour ceux qui fumaient moins de 30 minutes après s’être levés, les chances étaient de 1,59 fois supérieure.
 
Catégories
Uncategorized

La fumée secondaire et les enfants asthmatiques

Bien que la meilleure solution demeure une maison sans fumée, les enfants atteints d’asthme et qui vivent au sein de fumeurs voient leurs symptômes diminués par un purificateur d’air, selon Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine.
 
Toutefois, si le dispositif améliore la qualité de l’air, il ne réduit en rien les taux de nicotine ni les nombreux effets de la fumée secondaire. Le taux de particules aurait cependant baissé de la moitié grâce au purificateur.
 
C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs du Johns Hopkins Children’s Center de Baltimore après avoir suivi 115 enfants âgés de 6 à 12 ans durant 6 mois. Tous les participants de l’étude vivaient avec au moins un fumeur.
 
Les enfants qui avaient vécu dans une maison dans laquelle on avait, dans le cadre de la recherche, installé un purificateur d’air, ont toussé moins souvent que les autres. Ils ont aussi connu moins d’épisodes de râle et de difficultés respiratoires.
 
Mais la fumée étant l’un des plus importants facteurs de pollution de l’air, les chercheurs de la présente étude recommandent fortement l’installation d’un purificateur d’air même dans les maisons non-fumeuses, si ces dernières font partie d’une tour à logements, car une fumée secondaire pourrait y circuler.
 
Catégories
Uncategorized

Le cancer du poumon pourrait être détecté à un stade très précoce

Le New England Journal of Medicine rapporte une  étude américaine démontrant qu’il est possible de détecter un cancer du poumon à un stade précoce chez de grands fumeurs.
 
Cette technique, appelée tomographie, réduit de 20 % de plus le taux de mortalité des suites de ce type de cancer, comparativement à la radiographie.
 
Les travaux de recherche ont été effectués auprès de 53 000 personnes de 55 à 74 ans qui avaient fumé au moins un paquet de cigarettes par jour pendant au moins 30 ans.
D’après les résultats de l’étude qui a duré deux ans, avec la tomographie, le taux de décès est passé de 309 personnes sur 100 000 à 247 pour la même proportion.
 
Toutefois, cette technique présente une lacune : elle surchargerait grandement les services de radiologie, qui sont déjà débordés.
 
La meilleure méthode pour le moment demeure donc d’encourager les gens à ne jamais commencer à fumer ou à enrayer cette mauvaise habitude le plus tôt possible.
 
Catégories
Uncategorized

La bronchiolite aggravée par la fumée du tabac

Il n’est pas surprenant de constater que cette maladie infantile, infection importante des poumons, soit aggravée de façon significative par l’exposition à la fumée du tabac. Medical News Today rapporte les résultats d’une étude effectuée par l’Université de Liverpool.
 
La recherche a été menée auprès d’enfants de Liverpool étant admis à l’Hôpital pour enfants Alder Hey avec un diagnostic de bronchiolite. La démographie socio-économique de Liverpool comprend de nombreux secteurs malfamés et certains où la consommation des produits du tabac est très élevée. Néanmoins, les secteurs de pauvreté ne sont pas les seuls où les fumeurs se retrouvent en forte concentration.
 
Ainsi, les enfants provenant de ménages fumeurs, sans égard au statut social, ont subi beaucoup plus de complications reliées à la maladie. Ces nourrissons nécessitent une thérapie par oxygénation et sont 5 fois plus enclins à subir l’assistance d’une ventilation mécanique.
 
Le docteur Calum Semple, de l’Institut de santé pour enfants, confirme la donne : « L’exposition à la fumée du tabac est un facteur qui peut être prévenu, d’autant plus que non seulement il augmente la sévérité de la maladie, mais il peut aussi la causer, tout simplement. »
 
Pour les spécialistes de Liverpool, cette recherche apporte la première évidence probante que les problèmes de santé des nourrissons ne sont pas nécessairement associés aux conditions sanitaires des familles démunies.
 
Catégories
Uncategorized

Risque de problèmes cardiaques avec le médicament Champix

Santé Canada a fait savoir que l’Agence américaine des produits alimentaires et pharmaceutiques (FDA) a dévoilé les résultats de son étude sur le médicament Champix, utilisé par les fumeurs pour arrêter de fumer.
 
700 fumeurs avec des maladies cardiovasculaires ont participé aux essais cliniques.
 
On admet que chez les personnes ayant déjà une maladie cardiovasculaire, il y a un risque accru de 2 % d’effets secondaires cardiaques, contre 1 % chez les personnes qui ne prennent pas ce médicament. L’écart n’est donc pas important.
 
Tout de même, Santé Canada a mentionné que la situation est à l’étude et que des mesures appropriées seront prises si nécessaire.
 
Parmi les effets notés, on remarque des douleurs thoraciques, un rythme cardiaque irrégulier, des crises cardiaques ou des accidents vasculaires cérébraux, comme l’indiquait déjà la posologie du Champix.
 
Le tabagisme lui-même est déjà un facteur de risque important pour des problèmes cardiaques.

Pour l’instant, il est préférable de consulter son médecin pour savoir si le médicament peut encore être pris sans danger.

Catégories
Uncategorized

Tabagisme de troisième main avant 18 mois

Il semble que si l’on ne fume pas dans la maison, cela peut tout de même être néfaste pour notre enfant.

C’est ce qu’a révélé une récente étude, parue dans BMC Public Health, qui a analysé des échantillons de cheveux provenant de 252 bébés âgés de moins de 18 mois.

Il semble que les enfants qui dorment dans la chambre de parents fumeurs ont des taux de nicotine trois fois plus élevés que ceux dormant dans une autre pièce. Cela fait d’eux des fumeurs de troisième main.

Ce type de tabagisme est sournois, car il s’agit du transfert de nicotine provenant de la cigarette et s’imprégnant dans la peau d’un fumeur (ici, un parent), dans ses vêtements et dans ses cheveux.

De plus, cette recherche a démontré que même si un parent fume à la fenêtre, dans une autre pièce que celle où se trouve son enfant, ou s’il aère les chambres après avoir fumé, des toxines demeurent dans la maison.

Catégories
Uncategorized

Maman fumeuse, bébé fumeur

Une recherche finlandaise a démontré que le tabagisme de la femme enceinte peut grandement faire en sorte que l’enfant soit dépendant de la nicotine plus tard. De plus, ce dernier aurait tendance à commencer à fumer à un âge plus jeune.

Selon Medical News Today, cette étude faite sur des souris a prouvé que l’exposition prénatale à la nicotine rendait vulnérable à celle-ci.

Ainsi, l’enfant, une fois au stade de l’adolescence, aura plus tendance à subir les effets de la dépendance à cette substance.

Puisque l’on comprend mieux de quelle façon la nicotine bloque certains récepteurs, on peut considérer qu’il s’agit là d’une explication possible de l’usage courant de la nicotine.

Finalement, cette recherche ouvre la voie à de possibles médicaments pour traiter la dépendance aux drogues et à la cigarette.

Catégories
Uncategorized

Le tabagisme, de mère en fille?

Il semble que les filles fumeuses sont statistiquement reliées à une mère qui fume aussi la cigarette, et la même chose est observable chez les garçons par rapport à leur père. Ce lien n’existerait pas en croisant les parents toutefois. 

C’est la principale observation à laquelle sont arrivés des chercheurs espagnols après avoir analysé des données s’étalant de 1994 à 2002.

Ils ont choisi ces données de sondages anglais puisqu’elles fournissaient des détails sur les produits consommés à la maison, dont la cigarette.

Des familles avec père et mère ainsi que des familles monoparentales ne comprenant que la mère constituaient les deux types de l’étude en question.

Les chercheurs ont ainsi pu étudier la transmission du tabagisme entre les générations. En général, un garçon a 24 % de risques de fumer si ses deux parents sont fumeurs, contre 12 % si aucun de ses parents ne fume. Les probabilités sont semblables chez les filles avec 23 % et 12 %.

Au sein des familles monoparentales, la mère semble transmettre l’habitude du tabagisme sans regard au sexe de ses enfants : chez les garçons, 32 % sont devenus fumeurs, tandis que chez les filles, 28 % fumaient.

La lutte anti-tabac devrait donc tenir compte du milieu où évoluent les enfants et les adolescents. Les détails de la présente étude sont parus dernièrement dans l’Oxford Bulletin of Economics and Statistics.