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Les enfants sont affectés par le tabagisme passif

Une substance chimique présente dans la fumée secondaire de la cigarette serait néfaste pour les enfants. Elle toucherait même leur ADN et leur appareil respiratoire, selon une étude américaine de Jan Thomas.

Celle-ci, la cotinine, est un dérivé de la nicotine et de la nitrosamine. On a observé, dans le cadre de cette étude, 79 enfants dont au moins un des parents fume. Parmi eux, pas moins de 95 % avaient des traces de cotinine dans leur urine.

Selon M. Thomas, cette substance cancérigène serait responsable des lésions mentionnées. De plus, le lien entre le tabagisme passif et le taux de cette substance chez l’enfant est indéniable.

En effet, on a pu constater que le nombre de cigarettes fumées par le parent est en corrélation directe avec la quantité de cotinine chez l’enfant.

Pour la santé des petits, il est donc préférable d’écraser pour de bon. Votre propre santé en sera améliorée également.

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Le cancer n’est pas le même chez le fumeur et le non-fumeur

Une nouvelle percée vient d’être faite en ce qui a trait au cancer du poumon, nous apprend Radio-Canada.

Une équipe de chercheurs du Centre de recherche sur le cancer de la Colombie-Britannique a présenté cette semaine ses résultats à une conférence sur le sujet à Philadelphie.

Après avoir étudié l’ADN de tumeurs cancéreuses provenant de patients fumeurs et non-fumeurs, ils ont pu statuer qu’il y avait une différence nette dans l’évolution de celles-ci.

Les malades devraient donc, en poussant plus loin ces observations, recevoir un traitement différent selon qu’ils fument ou qu’ils n’aient jamais fumé.

Pour arriver à ces résultats, les tumeurs de 83 patients ont dû être analysées. Sur ce nombre, 53 étaient d’anciens fumeurs ou fumaient toujours, tandis que 30 d’entre eux n’avaient jamais touché à la cigarette.

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Plus de problèmes mentaux avec du cannabis

Une étude de l’Office central néerlandais des statistiques (CBS) rapporte que les fumeurs de cannabis ont deux fois plus de problèmes mentaux que ceux qui n’en fument pas.
 
Parmi les problèmes dont les consommateurs se plaignent le plus, on parle de nervosité, de mélancolie, de tristesse et d’impatience.
 
« Le pourcentage de personnes ayant une moins bonne santé mentale est deux fois plus élevé chez les consommateurs de cannabis que chez les non-consommateurs », mentionne l’Office dans son communiqué.
 
L’étude effectuée sur 18 500 personnes s’est déroulée entre 2007 et 2009. Chez les hommes consommateurs de cannabis, 20 % avaient des troubles mentaux contre 10 % chez les non-consommateurs. Chez les femmes, la proportion était sensiblement la même avec 28 % qui avaient des problèmes de santé mentale contre seulement 14 % chez celles qui ne fumaient pas de cannabis.
 
L’étude a aussi révélé que les hommes fument plus (6 %) de cannabis que les femmes (2 %).
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Le tabagisme et la sclérose en plaques

Une recherche menée auprès de 1 465 patients souffrant de la maladie dégénérative a démontré que le tabagisme faisait accélérer la progression et l’ampleur des symptômes de la sclérose en plaques.

Le Dr Brian C. Healy et ses collègues de la faculté de médecine de l’Université Harvard ont observé pendant leurs travaux que la sclérose en plaques passait d’un stade intermittent à une progression moyenne chez 20 sujets sur 154 fumeurs, comparativement à 32 sur 500 non-fumeurs.

Cette recherche, dont les résultats sont publiés dans Archives of Neurology, soutient donc l’hypothèse qui veut que la cigarette soit néfaste chez les patients atteints de la maladie. « Bien que d’autres études en la matière doivent être menées, nos résultats démontrent que les patients aux prises avec la sclérose en plaques qui cessent de fumer réduisent non seulement les maladies liées au tabagisme, mais la progression de la sclérose en plaques », ont conclu les auteurs.

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Cigarette et système immunitaire

Des chercheurs associés à l’Université McMaster à Hamilton, en Ontario, affirment que non seulement la cigarette augmente le risque de bronco-pneumopathie chronique obstructive (BPCO), mais qu’elle rend le système immunitaire plus faible contre une bactérie qui rend plus maligne la maladie.

« C’est un fait reconnu que le tabagisme est l’un des facteurs de risque de la BPCO, mais notre recherche suggère également que fumer la cigarette modifie la réponse du système immunitaire devant la bactérie Haemophilus influenzae. Cela signifie donc que les fumeurs atteints de la BPCO empirent leur état et font progresser la maladie », a laissé entendre le chercheur principal de cette étude, le Dr Martin Stämpfli.

M. Stämpfli a travaillé avec des souris pour obtenir ces résultats, qui sont publiés dans l’American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine.

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Pour ou contre la cigarette électronique?

La e-cigarette ou cigarette électronique gagne en popularité et a fait son entrée tout récemment au Québec.

Créée en Chine en 2004, cette cigarette ressemble à une vraie, mais ne dégage aucune odeur ni aucune fumée. La pression des lèvres actionne le vaporisateur et la lumière LED rouge qui sont alimentés par une pile rechargeable.

Une cartouche de nicotine dissoute remplace le tabac. Celle-ci est contenue, avec un arôme artificiel de tabac, dans du propylène glycol (liquide utilisé pour créer de la fumée sur les planchers de danse). Le mélange de ce liquide avec l’air inspiré est propulsé sous forme de vapeur qu’on aspire dans les poumons. Les fumeurs peuvent donc utiliser cette cigarette électronique dans les endroits publics.

Toutefois, on ne connaît pas encore très bien les effets nocifs du produit. L’Organisation mondiale de la santé a émis une première mise en garde en septembre 2008. Elle suggérera prochainement d’interdire ce produit dans les lieux publics jusqu’à ce qu’on prouve qu’il est totalement inoffensif, y compris pour les gens autour du fumeur.

Jusqu’à maintenant, plusieurs utilisateurs se plaignent d’effets secondaires comme de la toux, des vomissements, des conjonctivites et des allergies.

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La nicotine et le syndrome de stress post-traumatique

Une recherche menée auprès de vétérans américains démontre que fumer une cigarette est loin d’apaiser les personnes souffrant du syndrome de stress post-traumatique. Au contraire, il semble que la nicotine affecte des zones du cerveau liées à l’humeur et à l’anxiété, ce qui a pour conséquence d’empirer ce trouble psychologique.

« Tous les médecins ont peur quand leurs patients arrêtent de fumer, car ils craignent que leur situation empire. Or, il n’y a aucune preuve scientifique pour appuyer cette théorie », a souligné la Dre Jean Beckham de l’Université Duke en Caroline du Nord.

Environ 8 millions d’Américains souffrent du syndrome de stress post-traumatique qui se caractérise par une anxiété paralysante, de l’irritabilité et de l’insomnie.

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Cesser de fumer facilite les chirurgies

Des chercheurs suédois, de l’Institut Karonlinska à Stockholm, affirment que les patients qui vont subir une chirurgie ont tout intérêt à cesser de fumer avant l’opération s’ils souhaitent éviter les complications postopératoires.

Le Dr David Lindstrom et son équipe ont divisé 117 patients en deux groupes. L’un devait cesser de fumer quelques semaines avant l’intervention chirurgicale, tandis que l’autre continuait de griller des cigarettes.

21 % du premier groupe ont eu des complications à la suite de la chirurgie et ce taux double chez les fumeurs à raison de 41 %.

Il semble que le temps de sevrage ait joué puisque des complications ont été observées chez 15 % des patients qui avaient cessé de fumer 3 semaines avant l’opération. Le taux est passé à 22 % quand ils avaient arrêté 1 à 2 semaines avant.

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Fumeurs, mangez du brocoli!

Selon le Dr Li Tang, du Roswell Park Cancer Institute, manger du brocoli cru et autres crucifères comme le chou pourrait diminuer de 20 à 55 % le risque de cancer du poumon chez les personnes qui fument la cigarette.

« Le brocoli n’est pas un médicament, mais est un facteur positif pour les fumeurs incapables de cesser de fumer ou ne faisant rien pour minimiser le risque. Les personnes arrêtant de fumer bénéficient encore plus de la consommation de crucifères », a mentionné l’auteur de cette étude lors d’un congrès organisé par l’American Association for Cancer Research.

Le Dr Tang se veut toutefois prudent quant à ces résultats. « Les résultats de cette étude ne sont pas suffisamment probants pour que des recommandations de santé publique puissent être faites. Cependant, les indications biologiques très fortes confirment cette observation et ces résultats, combinés à d’autres recherches, montrent que les légumes crucifères pourraient jouer un rôle de prévention important contre le cancer chez les fumeurs actifs et passifs », a-t-il conclu.

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Le déclin cognitif chez les fumeurs

La Dre V.M. Monique Verschueren et ses collègues de l’Institut national de santé publique de Bilthoven, aux Pays-Bas, concluent que les capacités cognitives déclinent plus rapidement chez les fumeurs que chez les personnes qui ne fument pas.

Pour évaluer le facteur de risque que représente la cigarette en matière de démence, les chercheurs ont observé 1 964 adultes âgés de 43 à 70 ans pendant une période de 5 ans.

Parmi les sujets ayant participé à l’étude, 21,3 % des fumeurs avaient des résultats inférieurs aux tests cognitifs, comparativement aux non-fumeurs. De plus, il semble que leurs capacités mnémoniques diminuaient 1,9 fois plus que chez les sujets n’ayant jamais touché à une cigarette.

Pour la Dre Verschueren, les gouvernements doivent donc poursuivre leurs campagnes de prévention contre le tabagisme.