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Le rire serait similaire à la méditation

Le processus du rire serait similaire à celui de la méditation au niveau du cerveau, et aurait par conséquent des impacts du même ordre, selon une nouvelle étude rapportée par The National Library of Medicine.

L’étude en question, proposée par des chercheurs californiens, estime que le rire et l’humour stimulent largement et de façon bénéfique le cerveau et ses ondes gamma, qui se retrouve dans toute la région cérébrale.

« Ce que cela signifie est que l’humour engage en fait tout le cerveau. C’est une expérience cérébrale complète, similaire à la méditation. On appelle ça “être dans la zone” », explique le directeur de la recherche, le professeur Lee Berk.

L’étude a été effectuée avec l’aide de 31 sujets volontaires, à qui l’on a demandé de visionner différents types de vidéos, dont certaines humoristiques, bien entendu. Les résultats démontrent des niveaux élevés d’activité des ondes gamma en situation de rire, les mêmes observables lors de périodes de méditation.

Comparant le rire à un « véritable entraînement du cerveau », M. Berk croit que l’humour cache des vertus insoupçonnées pour le cerveau et la santé psychologique.

Les résultats de l’étude seront présentés dans lors de la réunion annuelle Experimental Biology  qui se tient à San Diego.

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Les choux protègeraient aussi des dangers des traitements par radiation

Une nouvelle étude avance que les choux, comme le chou-fleur et le brocoli, ne seraient pas que des alliés en prévention du cancer, mais aussi lorsque celui-ci se développe et qu’un traitement par radiation est nécessaire.

On sait depuis maintenant un bon moment que les membres de la famille du chou, les crucifères, sont d’excellents aliments anti-cancer, grâce à leur teneur en DIM. Or, selon ce que rapporte Top Santé, ils permettraient aussi de protéger des effets retour de la radiothérapie, ironiquement proposée justement dans les cas de cancer.

Eliot Rosen et son équipe de la célèbre Université Georgetown ont dû irradier des groupes-tests de rongeurs, des rats et des souris, afin de confirmer leur théorie concernant les effets protecteurs du DIM.

« Tous les rats qui n’avaient pas été traités au DIM sont morts. Mais plus de la moitié de ceux qui l’avaient été sont restés vivants 30 jours après avoir été irradiés. Le DIM a été étudié en tant qu’agent de prévention du cancer, mais nos travaux montrent qu’il peut aussi agir comme un protecteur anti-rayonnement. Le DIM pourrait protéger les tissus normaux chez les patients recevant une radiothérapie contre le cancer, mais il pourrait aussi protéger les individus contre les conséquences fatales d’une catastrophe nucléaire », conclut Rosen.

Compte tenu de ces récentes découvertes et de leurs nombreux avantages sur le plan nutritif, on suggère donc fortement d’intégrer les crucifères à notre alimentation le plus souvent possible.