Catégories
Nouvelles quotidiennes

La Petite Sirène de Copenhague ne sera plus seule

La statue d’un garçon appelé Han (le mot « il » en danois) a été installée à Elsinore, au Danemark. En acier inoxydable, la statue représente un jeune garçon regardant vers l’horizon, assis sur un rocher.

La Sirène, quant à elle inspirée du célèbre conte de Hans Christian Andersen, est assise sur une pierre et fait face à la terre.
 
Considérée comme l’un des monuments de la ville qui attire le plus de touristes, elle a été sculptée par Edvard Eriksen, qui s’est inspiré de sa femme pour créer la Sirène.
 
Cependant, la demoiselle a souvent été la cible de vandales. Elle a été peinte, s’est fait arracher un bras et même décapiter.
 
Malgré tout, la Petite Sirène n’a pas connu que des jours malheureux. Elle a été exposée à Shanghai en 2010 mais a été redéposée sur son promontoire.
 
Il est possible de l’admirer à partir du port ou encore d’un bateau qui effectue de petites croisières non loin du lieu.
 
Rappelons que l’auteur de La Petite Sirène est aussi celui de La Petite Fille aux allumettes ainsi que du Vilain Petit Canard. 
Catégories
Uncategorized

Les aptitudes verbales influencent les aptitudes mathématiques des fillettes

Un énoncé bien établi est celui qui dit que les garçons réussissent généralement mieux que les filles en sciences et en mathématiques, et que les filles ont plus de facilité dans le domaine des langues.

Toutefois, il semblerait que plusieurs filles se débrouilleraient mieux que les garçons dans certaines spécialités mathématiques, notamment en arithmétique, selon la revue Psychological Science et un article de Zhou Xinlin et ses collègues de l’Université Normale de Pékin et de Californie-Irvine.

Après que certains enseignants et parents d’enfants au primaire aient remarqué la chose, une série de tests auprès d’enfants à Pékin a été effectuée.

En effet, la majorité des fillettes devancent les garçons dans la résolution de simples soustractions, de multiplications complexes, d’estimations rapides, de bonds entre les chiffres et de nombres pairs ou impairs.

Cependant, grâce à leurs habiletés spatiales, les garçons ont toujours la cote pour faire la rotation d’images tridimensionnelles.

La clé du succès féminin en arithmétique reposerait sur le traitement verbal et les compétences linguistiques, selon les chercheurs. « Compter est verbal, et l’arithmétique, c’est du par coeur. Exemple, les résultats de la table de multiplication sont mémorisés verbalement comme les mots. »

Pour un meilleur succès en maths pour l’ensemble des petits, les spécialistes croient que ce constat permettrait aux enseignants de développer la mémoire et le sens verbomoteur des garçons, alors que les habiletés spatiales pourraient l’être chez la fillette.

Catégories
Uncategorized

Le vaccin Gardasil aussi recommandé pour les garçons

Le vaccin contre le virus du papillome humain (VPH) est maintenant recommandé pour les garçons.
 
Le comité consultatif national de l’immunisation de l’Agence de santé publique du Canada considère que le vaccin Gardasil a fait ses preuves.
 
À noter que Gardasil serait le seul homologué par Santé Canada qui serait administré aux garçons et jeunes hommes de 9 à 26 ans.
 
La décision reviendra aux provinces afin de décider si le vaccin sera offert pour les garçons également. Au Québec, la question est maintenant à l’étude.
 
Le VPH est une affection transmise sexuellement qui peut causer des verrues génitales. À long terme, ce virus est aussi reconnu pour favoriser l’apparition du cancer du col de l’utérus chez les filles et plusieurs cancers chez les garçons.

Catégories
Uncategorized

Sexe des bébés : le stress a-t-il un impact?

Pour en arriver à cette conclusion, des chercheurs de la New York University ont étudié minutieusement les actes de naissance des bébés chiliens entre 2004 et 2006. Les conséquences du tremblement de terre d’une magnitude de 7,9, le 13 juin 2005, ont été analysées.

Il semble que non seulement le nombre d’accouchements prématurés a explosé (une femme chilienne sur dix, contre 6 % de la population générale), mais les femmes enceintes ont davantage donné la vie à des petites filles.

Les chiffres démontrent que depuis plusieurs années, plus de garçons voyaient le jour que de petites filles, soit un ratio de 51 pour 49. L’enquête de ces chercheurs démontre maintenant une diminution de 5,8 % de cette proportion. Il y aurait donc aujourd’hui, en moyenne, 45 naissances masculines pour 55 féminines. Y aurait-il un lien avec le rythme de vie qu’ont les femmes aujourd’hui? La question se pose…

Le cortisol, l’hormone de stress, pourrait avoir un effet direct sur le placenta. Il serait donc à prendre en considération également dans le bon déroulement de la grossesse.

Malgré ce constat, les scientifiques ne sont pas prêts à affirmer un lien direct entre le stress et le sexe du bébé. En revanche, ils confirment que les fœtus garçons seraient davantage concernés par les fausses couches.

Étant moins résistant au stress maternel, les fœtus masculins ont également besoin davantage de place dans le ventre de leurs mères et exigent ainsi beaucoup plus de l’organisme de la mère.

Catégories
Uncategorized

Plus de fausses couches de bébés garçons

Il semblerait que les futures mamans qui vivent une dose de stress importante durant les deuxième et troisième mois de leur grossesse auraient plus de risque de donner naissance prématurément ou de perdre les bébés de sexe masculin.

Les bébés garçons grandiraient et grossiraient plus rapidement que les filles, ayant ainsi besoin davantage de nourriture provenant de la mère. Ils auraient également moins de chance d’être aussi robustes que les petites filles pour s’adapter à un environnement stressant dans l’utérus.

Ces affirmations sont le résultat d’une étude qui a été réalisée entre 2004 et 2006. Des chercheurs de New York ont étudié, sur 600 000 grossesses, l’impact qu’a eu le tremblement de terre Tarapaca en 2005 au Chili.

Normalement, six mamans sur cent donnent naissance avant 37 semaines. Pour les femmes ayant vécu de près le séisme en question, neuf d’entre elles sur 100 ont accouché prématurément.

Depuis toujours, le nombre de naissances masculines serait plus élevé, soit 51 % pour 49 % de naissances féminines. Depuis cette étude, le nombre de naissances masculines remarqué aurait diminué à 45 %.

Ce serait la première fois que l’on réussirait à prouver que le stress peut réellement influencer le ratio de sexe pour les naissances. La pauvreté et la mauvaise alimentation joueraient également un rôle, mais ne seraient pas aussi déterminantes que la nervosité.

Pour éviter ces situations délicates, les médecins et chercheurs recommandent aux femmes enceintes de prendre soin d’elles et d’être à l’écoute de leurs corps pendant et même avant la grossesse.

Catégories
Uncategorized

La douleur chronique, un mal infantile

On a remarqué une prévalence croissante de la douleur chronique dans la population infantile. Une analyse systématique publiée dans Pain nous présente les grandes lignes de ce problème de santé très actuel.

La douleur chronique peut avoir des conséquences sur de nombreuses sphères de la vie d’un enfant. Cela peut engendrer un plus grand absentéisme à l’école, ou encore mener l’enfant à abandonner des activités sociales.

Conséquemment, un enfant qui souffre de douleur chronique pourrait en venir à développer des symptômes d’introversion – l’anxiété, par exemple.

D’autre part, il semble que les filles aient plus tendance que les garçons à souffrir de douleur chronique. Et si ce problème de santé est très présent chez les enfants, il tend même à augmenter en importance avec l’âge.

Catégories
Uncategorized

Mon enfant est transgenre

On en parle plus ouvertement, mais la transsexualité demeure encore floue et marginalisée. Pourtant, de plus en plus de familles posent des questions et souhaitent accompagner leur enfant.

Plusieurs parents se demandent, par exemple, de quelle manière ils doivent réagir si leur petite fille ou leur petit garçon d’âge préscolaire insiste pour porter des vêtements de l’autre sexe, ou encore s’il transforme son nom en l’autre genre.

Les parents d’un enfant transgenre sont souvent aux prises avec des inquiétudes quant à sa protection contre l’ostracisme et l’intimidation.

Une nouvelle approche, que décrit le thérapeute familial Jean Malpas dans Family Process, pourrait offrir un meilleur soutien aux parents et aux enfants qui vivent avec cette réalité.

M. Malpas, qui est le directeur du Gender and Family Project, explique que les familles d’enfants transgenres peuvent bénéficier d’une approche multidimensionnelle, pour apprendre à composer avec la double identité sexuelle.

On a pu remarquer que le coaching, la formation et les groupes de soutien aux parents ainsi que la thérapie familiale sont efficaces pour réussir à vivre avec ce dilemme.

Catégories
Uncategorized

L’importance de l’amitié

Il serait très bénéfique pour l’enfant de créer des amitiés lorsqu’il est en maternelle. Avoir des amis de qualité pourrait faire en sorte qu’un garçon aura moins de problèmes de comportement et de meilleures compétences sociales en première et en troisième année.

Ce serait différent pour les petites filles. Elles présenteraient de bonnes compétences sociales durant les mêmes années du primaire, indépendamment du fait qu’elles aient créé de solides amitiés ou non à la maternelle.

On devine que les amitiés de qualité demandent des valeurs comme la coopération, le partage et l’interaction positive, de même que moins de conflits destructeurs.

Les chercheurs conseillent fortement les parents à encourager leur enfant à créer de saines relations d’amitié, et ce, par le biais de différentes activités.

Ce sont les conclusions d’une équipe de l’University of Illinois qui a étudié la situation de 567 enfants. On les présente dans Infant and Child Development. Les mères des participants étaient questionnées sur les amis ainsi que le type de rapports avec eux.

Catégories
Uncategorized

Les enfants sont accros à l’image

Selon une récente étude, la moitié des filles et le tiers des garçons seraient prêts à tout pour avoir un corps parfait ou pour atteindre le poids idéal.

Menée auprès de 810 enfants, cette étude révèle aussi qu’ils sont prêts à poser des gestes dangereux pour leur santé afin d’atteindre leur but, lit-on sur Mail Online.

Un garçon sur dix prendrait donc des stéroïdes pour devenir musclé, et une fille sur huit prendrait des pilules pour maigrir – des laxatifs, par exemple.

De plus, 50 % des répondants ont avoué avoir comparé leur corps avec ceux des vedettes de la télévision. Filles comme garçons, le quart souhaiterait un jour subir une chirurgie esthétique.

On remarque une tendance très forte au recours à des solutions rapides, au prix de la santé, pour obtenir le corps idéal. Et cette situation ne touche plus que les filles, les garçons en sont désormais tout aussi touchés.

On décrit ainsi la pression exercée sur les enfants par les médias. Souvenons-nous qu’il y a quelques mois, on apprenait que des enfants aussi jeunes que cinq ans étaient traités pour anorexie sévère.

Catégories
Uncategorized

Les filles sont-elles plus vulnérables?

Quand une dispute éclate, il semble que les filles réagissent plus que les garçons, selon une récente présentée sur Medical News Today. Elles se défendraient plus fortement lorsqu’elles sont brimées dans leurs amitiés.

De plus, elles seraient tout aussi enclines à se venger que les garçons. Les filles seraient également autant portées que les garçons aux attaques verbales, lorsqu’une amie a dévoilé un de leurs secrets, par exemple.

Des chercheurs américains ont remarqué ces comportements après avoir suivi 267 enfants de la quatrième et de la cinquième année du primaire. Les jeunes participants étaient invités à expliquer leurs réactions devant 16 situations fictives.

Pour chacune des situations, les enfants devaient dire comment ils auraient réagi si cela s’était réellement passé, comment ils auraient interprété le comportement de leur ami et ce qu’ils auraient fait par la suite. De plus, ils devaient expliquer en quoi l’incident en question les atteignait ou non.