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Grand danger pour certains enfants anémiques

Selon des résultats parus dans le Journal of the American Society of Hematology, certains facteurs indiqueraient une plus forte prévalence d’AVC chez les enfants anémiques.

Précisément, les garçons atteints d’anémie falciforme ayant un faible taux d’hémoglobine et une forte pression artérielle systolique seraient particulièrement à risque d’être atteints d’un AVC dit « silencieux ».

Cette forme d’AVC est la plus courante des attaques neurologiques chez les enfants atteints d’anémique falciforme. Plus de 25 % d’entre eux le vivront vers l’âge de 6 ans, et près de 40 % le subiront vers 14 ans.

Le faible taux d’hémoglobine sanguin constitue la première raison de cette prévalence chez les enfants anémiques. Le transport de l’oxygène se faisant ainsi moins bien dans le sang, le corps tend à compenser en augmentant le flux sanguin vers le cerveau.

Bien que les AVC silencieux soient bien documentés chez les personnes âgées, peu de recherches sont encore faites quant aux plus jeunes.

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Les jeux vidéo rendent créatifs

On aurait prouvé un autre avantage à s’adonner aux jeux vidéo. Il semble, selon une étude de la Michigan State University, qu’ils rendraient les enfants plus créatifs. Cet effet a été remarqué tant chez des garçons que des filles.

En observant près de 500 enfants, on a remarqué que plus ils jouaient à des jeux vidéo, plus leur créativité s’exacerbait dans des tâches comme le dessin et la composition d’une histoire, lit-on sur Medical News Today.

Ce serait la première fois que l’on démontre un lien aussi clair entre l’utilisation des outils technologiques et la créativité.

Maintenant qu’il est posé, on pourrait envisager des jeux vidéo conçus pour optimiser la créativité. Une nouvelle génération de jeux pourrait donc éliminer la différence existant entre l’éducation et le divertissement.

On soutient aussi que les concepteurs mêmes de jeux vidéo devraient tenir compte de cette découverte pour identifier quels sont les aspects responsables d’une augmentation de la créativité.

Ajoutons toutefois qu’aucun lien du genre n’a pu être établi quant à l’usage autre d’un ordinateur, de l’Internet ou encore d’un téléphone cellulaire.

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Le stress influencerait le sexe du bébé

Il y a désormais un nouveau facteur déterminant quant au sexe du bébé, selon ce qu’on lit sur Mail Online. Des chercheurs de l’Oxford University viennent d’établir un lien entre le stress et le sexe du bébé.

Ainsi, une femme qui vit du stress au travail ou dans sa vie amoureuse avant de tomber enceinte aurait plus de chances de mettre au monde une petite fille qu’un garçon.

Les chercheurs ont même relié la dernière crise économique, puis les mois suivant les attentats du 11 septembre 2001, à un plus grand nombre de naissances de petites filles par la suite.

Il semble que les hormones du stress, dont le cortisol, joueraient un rôle. C’est ce que l’on soutient après en avoir analysé les taux de plus de 300 femmes, au moment où elles tentaient de tomber enceintes.

En chiffres, on estime que les femmes les plus stressées avaient eu 75 % moins de chances de mettre au monde un garçon. Et parmi celles qui avaient eu les plus hauts taux de cortisol, 50 % ont démontré un ratio évident de naissances de petites filles.

Rappelons que le cortisol est sécrété plus fortement lorsqu’une personne vit un stress à long terme.

On croit que le taux de cortisol pourrait faire en sorte qu’il soit plus difficile à l’embryon mâle de s’implanter dans l’utérus. De plus, les bébés de sexe masculin seraient plus vulnérables lorsque ce taux est élevé, ce qui entraînerait plus de fausses couches, donc plus de naissances de petites filles.

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Maman a raison, ou la télévision?

Une surprenante étude parue dans Sex Roles questionne une nouvelle fois le rôle de la mère quant au rôle sexuel et les attitudes qu’un enfant suivra. Il semble, de plus, que ce ne soit pas la même chose pour les filles et pour les garçons.

Selon les chercheurs belges qui ont dirigé cette recherche, il semble qu’une fille ayant une bonne relation avec sa mère sera protégée, d’une certaine façon, des stéréotypes télévisuels.

L’effet apparaît toutefois contraire chez un garçon. En effet, ce dernier sera plus enclin à reproduire les attitudes reliées aux stéréotypes du monde de la télévision s’il a un plus fort attachement envers sa mère.

Sous forme de sondage, l’étude en question a porté sur 1026 élèves dispersés dans 9 écoles de la Belgique. On a analysé les attitudes des sujets quant à la sexualité, aux rôles sexuels traditionnels, au temps passé devant la télévision et à leur attachement envers leur mère.

Il avait déjà été démontré, dans le cadre de recherches précédentes, qu’une maman peut jouer un rôle crucial quant au respect des attitudes et des rôles sexuels traditionnels.

On a donc évalué si l’attachement de celle-ci et de ses enfants pouvait en venir à jouer un rôle tampon quant aux stéréotypes véhiculés par l’univers télévisuel, et si l’effet était différent chez les garçons et les filles.

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Les garçons autistes croissent plus vite

Un garçon autiste présenterait certains signes d’une croissance plus rapide que les autres, lorsqu’il est un bébé, lit-on dans les Archives of General Psychiatry. Des chercheurs ont relevé que des bébés garçons atteints d’autisme auraient une plus grosse tête, une plus grande taille et un poids plus élevé.

Il s’agirait ici de nouvelles façons de déceler le syndrome. Il semble par ailleurs que les petits garçons qui présentent cette croissance accélérée montreraient aussi des symptômes de l’autisme plus graves, et ce, en particulier pour les aptitudes sociales.

On comprendrait mieux, grâce à cette découverte, certains des mécanismes sous-jacents de l’autisme. Une plus grosse tête sous-entendrait un plus gros cerveau. Toutefois, on doit poursuivre la recherche sur d’autres facteurs morphologiques avant de donner une réponse définitive sur ce point.

Les chercheurs perçoivent déjà que cette croissance exagérée puisse être l’une des causes de l’autisme. Soit elle ferait en sorte que les symptômes s’aggravent, soit elle représenterait un sous-type du syndrome, lequel serait marqué par cette croissance et de plus sévères déficits sociaux. La réponse à cette croissance accélérée n’est toutefois pas encore connue.

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Quand la violence devient normale

Il semble que les enfants qui grandissent dans un milieu difficile auront plus tendance à vivre une relation avec un partenaire violent. De plus, ces mêmes personnes sembleraient en venir à considérer la violence comme une chose normale dans leur relation de couple.

 

C’est l’une des conclusions d’une récente étude de l’University of Bristol, laquelle est la première à poser un regard aussi précis sur la relation entre une future relation de couple et un milieu de vie difficile.

Parmi les sujets interrogés, plus de la moitié des filles avaient vécu une relation à caractère sexuel violent avant leur 18e année, et le quart des garçons ont répondu avoir déjà fréquenté des partenaires agressives.

De plus, plusieurs des participants avaient déjà reçu des coups à la tête, perdu des dents ou eu un œil au beurre noir, lit-on sur Medical News Today.

On croit que cette recherche aidera les intervenants à mieux cerner la violence au sein du couple et remettra en cause la supposition de ces jeunes gens à croire que la violence est normale et acceptable dans une relation de couple.

Au total, 82 jeunes de 13 à 18 ans ont été rencontrés dans le cadre de cette étude intitulée Standing on my own two feet.

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La circoncision est moins usuelle qu’avant

Selon des données des U.S. Centers for Disease Control and Prevention (CDC), la circoncision serait une pratique de moins en moins habituelle en milieu hospitalier. On a d’ailleurs remarqué une baisse marquée de cette pratique au cours de la dernière décennie.

En regard à trois sondages nationaux, les CDC ont pu relever la fréquence de cette intervention consistant à retirer la peau superflue du pénis des bébés garçons au sein d’hôpitaux américains.

Ainsi, selon un premier sondage, le taux de circoncision à l’hôpital était de 62,9 % en 1999, puis est passé à 56,9 % en 2008. Les résultats d’un deuxième sondage donnent 58,4 % en 2001 contre 54,7 % en 2010. Finalement, le troisième sondage a récolté des taux de 63,5 % en 1999 et 56,3 % en 2008.

Toutefois, cela ne veut pas nécessairement dire que le taux général de circoncision chez les garçons a baissé. La raison en est que l’on ne tient pas compte ici des pratiques respectées au sein de différentes religions, notamment chez les juifs et les musulmans.

Rappelons que la pratique de la circoncision a fait l’objet de nombreux débats, malgré ses possibles avantages sur la santé. À cet effet, il semble que de récentes études auraient démontré que cette intervention pourrait diminuer la transmission du VIH, de l’herpès et du virus du papillome humain, entre autres.

Crédit : Sura Nualpradid / FreeDigitalPhotos.net

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Les petits garçons n’aiment pas parler

On a longtemps cru que les garçons (et les hommes, par le fait même) n’étaient pas enclins à parler de leurs problèmes et de leurs émotions parce qu’ils craignaient de paraître faibles ou d’en être embarrassés.

Or, une récente étude menée par l’Université du Missouri indique qu’il ne s’agit pas de la bonne raison. Oui, les garçons semblent moins vouloir partager ce qu’ils vivent que les filles. Toutefois, ils agissent par manque d’intérêt, non par peur.

C’est ce que l’on a constaté après avoir questionné et observé près de 2 000 enfants et adolescents. Les garçons ne souhaitent pas parler d’eux aux autres parce que cela les fait sentir « bizarres » et qu’il s’agit d’une « perte de temps ».

Quant aux filles, elles ont des attentes positives, lesquelles consistent entre autres à se sentir comprises et moins seules. Ajoutons que les garçons n’ont pas plus fait mention de sentiments négatifs que les filles quant à partager leurs émotions.

On suggère aux parents d’encourager ce réflexe, d’autant plus chez leur fils. Il faut, selon les chercheurs, prendre le temps d’expliquer que parler de ce que l’on ressent n’est pas une perte de temps.

Les résultats de cette recherche sont attendus dans la prochaine édition de Child Development. Ses premiers éléments sont maintenant affichés sur le site de l’université.

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Connaître très tôt le sexe du bébé

Selon le Journal of the American Medical Association, on pourra connaître le sexe de sont futur enfant alors qu’il n’est encore qu’au stade fœtal. Une équipe de chercheurs vient de mettre au point un test non invasif pouvant déceler le genre du fœtus dès la septième semaine de grossesse.

Ce test permettrait aussi le diagnostic hâtif de certaines maladies génétiques du chromosome X. En ce moment, on emploie l’amniocentèse pour avoir un tel diagnostic.
 
Toutefois, il ne donnerait pas le diagnostic en lui-même; il pourrait mener à une baisse de 50 % des tests invasifs pour les maladies génétiques reliées au genre.
 
Nous savons depuis une dizaine d’années que l’ADN fœtal est déjà présent dans le sang de la mère au tout début de la grossesse. On atteint maintenant, avec ce test, un taux de réussite de 98,6 % pour détecter un fœtus femelle et 95,4 % pour détecter un fœtus mâle.
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Le sport rend plus pacifique

On aura désormais un argument de plus pour inciter notre enfant à bouger. Des chercheurs de l’Université de Tel-Aviv ont démontré clairement que le sport a des impacts importants sur le bien-être de l’enfant, non seulement quant à sa santé physique, mais aussi mentale.

Pratiquer une activité sportive aurait effectivement des influences sur le comportement, la cognition et les émotions. Cela serait d’autant plus important chez les garçons, lisons-nous sur Medical News Today.
 
Dans le cadre de cette recherche ayant porté sur 649 enfants, on a relevé que les impulsions d’agressivité étaient plus faibles lorsque ceux-ci participaient à un programme constant d’activités sportives diverses.
 
On a aussi remarqué que la pratique d’un sport sur une base continuelle, chez un enfant, menait à une plus grande maîtrise de soi et allait de pair avec une meilleure discipline. Entre d’autres mots, cela libère l’esprit des enfants en jouant le rôle d’un exutoire.

Selon les experts, le sport pourrait même s’avérer plus efficace que la thérapie habituelle, soit par la parole. Si cette dernière encourage l’enfant à maîtriser son comportement, elle ne réduit pourtant pas les émotions négatives comme le fait l’activité sportive.