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Rosamund Pike donne naissance à son 2e enfant

L’actrice Rosamund Pike, vedette du feuilleton Gone Girl, est maintenant la maman d’un deuxième garçon.

 

La vedette de 35 ans et le bébé se portent bien, a confirmé son porte-parole à Us Weekly.

 

Rosamund Pike et son conjoint de longue date Robie Uniacke sont déjà les parents d’un autre garçon, Solo, âgé de deux ans.

 

L’actrice a toujours désiré avoir un deuxième bébé. Lors de la naissance de Solo, elle déclarait : « On ne sait jamais, mais je désire définitivement que mon fils ait un frère ou une soeur. »

 

Rosamund Pike, malgré la naissance de son deuxième garçon ne semble pas pressée de se marier à son amoureux qui est aussi le père de quatre autres enfants. « J’aime briser les conventions. Je ne suis pas mariée, et j’ai un bébé, et je me sens très bien dans tout cela », révélait la femme après la naissance de son premier enfant.

Photo : BIG/BANG

 

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Sexualité et pornographie, peu de différence entre garçons et filles

La recherche provient de Magdalena Mattebo, du département de la santé des femmes et enfants de l’Université Uppsala.

Un questionnaire distribué à plus de 800 adolescents suédois de 16 ans a mis en lumière les intérêts, fantasmes, opinions et expériences sexuelles des jeunes d’aujourd’hui.

L’information la plus surprenante provenant des données réside dans le fait que tant les filles que les garçons croient que leur vie sexuelle est directement influencée par la pornographie.

« C’était inattendu de constater que plus d’une fille sur 10 affirmait qu’elle ne regardait pas assez de pornographie à son goût », explique Mattebo. « Aussi surprenant de constater qu’il n’a aucune différence entre les garçons et les filles relativement aux fantasmes. »

Les filles prenaient même le dessus quant à l’expérience sexuelle, au niveau oral, vaginal et anal. Cependant, garçons et filles se situaient sur le même niveau quant aux partenaires sexuels, que ce soit d’avoir un ami pour le sexe, un partenaire d’une nuit ou de sexe en groupe.

Cependant, la perception de multiples partenaires n’a pas changé. Pour un garçon, cela lui garantit une grande popularité, alors que pour la fille, elle demeure une traînée.

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Les garçons déprimés sont ceux qui se jugent trop minces

Ce ne sont pas que les filles qui se préoccupent beaucoup de leur poids. Mais chez les garçons, c’est tout le contraire. S’ils n’ont pas de « masse » suffisante, leur confiance se détériore encore plus que chez les adolescents obèses.

Les résultats de l’étude, mentionne MedicalNewsToday, sont attribuables à Aaron Blashill de l’équipe de psychologues du Massachusetts General Hospital et membre de la faculté Harvard Medical School.

Les garçons trop minces sont victimes d’intimidation et sont plus enclins à prendre des stéroïdes et à déprimer. Selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), on estime que 3,5 % des enfants et adolescents de 2 à 19 ans ont un poids sous la normale. Celui-ci, cependant, cache souvent un problème sous-jacent.

Ce sont 2139 garçons de 16 ans qui ont été suivis pendant 13 ans pour la recherche. Les facteurs évalués étaient les symptômes dépressifs, l’image corporelle et l’indice de masse corporelle (IMC).

Les garçons qui considéraient que leur poids était sous la normale – même s’ils étaient en réalité à un poids santé et plus – avaient le taux le plus élevé de symptômes dépressifs, ce qui persistait même à l’âge adulte.

Blashill demande aux médecins d’être attentifs aux adolescents qui sont dans cette situation, puisqu’ils sont plus déterminés à utiliser des méthodes drastiques comme les stéroïdes.

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Les garçons plus à risque d’être prématurés que les filles

L’étude a été menée par l’équipe dirigée par Dre Joy Lawn, de la London School of Hygiene & Tropical Medicine, en collaboration avec 50 chercheurs de 35 instituts.

La cause de cette disparité est due au développement intra-utérin plus rapide des fœtus de sexe féminin. « Dans le cycle du développement, les filles sont toujours un peu en avance sur les garçons. Les fillettes marchent avant les garçons, elles parlent avant les garçons, et c’est aussi vrai au niveau du développement dans l’utérus », a rapporté la Dre Lawn au journal Wall Street.

Cependant, selon Science World Report, les chercheurs se demandent encore quelle est la raison qui prédispose les filles à moins de problèmes à la naissance. D’ailleurs, même lorsque les garçons naissent à terme, ils sont plus à risque que les filles de complications, entre autres des troubles infectieux ou la jaunisse.

Plusieurs théories ont été évoquées par les spécialistes, mais l’une d’entre elles prévaut. Selon la Dre Marianne Legato, les chercheurs croient que la femme développe une réponse auto-immune lorsqu’elle porte un garçon. Les tissus mâles causeraient une inflammation au placenta, entraînant un plus faible apport nutritionnel et une diminution de l’oxygène.

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Troubles alimentaires : les garçons se soucient de plus en plus de leur image

Seulement aux États-Unis, selon Science World Report, c’est 20 millions de femmes et 10 millions d’hommes qui vivent avec un trouble alimentaire de taille durant leur vie. Cela inclut bien sûr l’anorexie et la boulimie, mais également l’hyperphagie boulimique, moins connue, ainsi que d’autres troubles non spécifiques.

Une récente étude spécifie que bien qu’il soit plus fréquent chez les femmes d’être aux prises avec ces troubles, les jeunes hommes (adolescents) ont de plus en plus de difficulté avec leur image corporelle.

Sur les 5527 adolescents interrogés, près de 18 % étaient soucieux de leur image, surtout au niveau de la corpulence de leurs muscles.

Comme l’indique la responsable de la recherche, Alison Field, du Children’s Hospital Adolescent Medicine Division de Boston, dans un communiqué : « Les hommes et les femmes n’ont pas du tout les mêmes préoccupations quant à leur image ». Alors que les filles recherchent la minceur, les garçons veulent des muscles développés.

Ainsi, lorsqu’on parle de troubles de l’alimentation chez les garçons, il faut plutôt regarder du côté des suppléments protéinés, des hormones de croissance ou des stéroïdes consommés par ceux-ci.

Field met les parents en garde. Regardez ce que votre adolescent consomme!

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Les aptitudes spatiales entre les enfants des deux sexes

Même si les garçons et les filles ont une intelligence générale similaire, la recherche des 35 dernières années a montré de manière constante que les garçons réussissent mieux dans les tests liés aux aptitudes spatiales. Ceci pourrait expliquer pourquoi il y a encore beaucoup moins de femmes dans les champs d’étude et de travail qui mettent à profit ces compétences.

Des chercheurs australiens ont analysé des données provenant de plusieurs études et ont avancé que la différence observée entre les deux sexes pourrait bien être liée à l’identification sexuée des enfants. En effet, même si les enfants naissent fille ou garçon, il peut y avoir de grandes variantes dans leur degré d’identification et de cautionnement des rôles masculins et féminins.

Ainsi, le fait de posséder de bonnes aptitudes spatiales était fortement lié chez les enfants à l’identification sexuée envers le genre masculin, peu importe s’il s’agissait de garçons ou de filles.

Puisque le développement des aptitudes spatiales ainsi que de l’identification sexuée passent beaucoup par le jeu, les parents, les éducateurs et les enseignants auraient intérêt à effectuer « une inclusion délibérée des activités considérées comme typiquement masculines dans la vie de tous les jours, plutôt que d’encourager la ségrégation des activités selon le sexe des enfants », ont expliqué les auteurs, selon Science Daily.

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Les stéréotypes négatifs nuisent aux garçons à l’école

La revue Child Development publie les résultats d’une étude qui a tenté de comprendre pourquoi les garçons peuvent avoir tendance à sous-performer à l’école.

Les chercheurs ont d’abord observé 238 enfants, garçons et filles, âgés de 4 à 10 ans, pour tenter de comprendre les stéréotypes que ceux-ci assimilent plus ou moins consciemment.

À partir de 4 ans pour les filles, et à partir de 7 ans pour les garçons, la plupart des enfants associent des comportements « bons » et positifs à des filles, et des comportements « mauvais » ou négatifs à des garçons. Les enfants pensaient donc que les filles se comportent mieux, performent mieux et comprennent mieux les tâches qu’elles ont à faire que les garçons.

Ceci a surpris les chercheurs, puisqu’en fait, les garçons appartiennent à un groupe (celui des hommes) qui est associé au plus haut statut dans notre société et est favorisé de façon substantielle, selon Medical News Today.

Des adultes ont dit à un sous-groupe d’enfants que les filles réussissent mieux à l’école, puis leur ont fait passer certains tests. Les garçons ont vraiment moins bien réussi que les filles. Lorsque les mêmes tests ont été faits par des enfants à qui l’on a dit que les garçons et les filles réussissaient aussi bien, les résultats ont été plutôt similaires entre les deux sexes.

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Une étude explique pourquoi les filles ont de meilleures notes que les garçons à l’école

Des chercheurs ont analysé les données provenant de plus de 5800 enfants de la maternelle à la cinquième année, comparant leurs résultats scolaires dans des tests standardisés à l’évaluation de leur performance par leur enseignant. Leur constatation : l’écart entre les sexes commence tôt et favorise uniformément les filles.

La différence entre les deux se trouvait, toujours selon l’étude, non pas dans les capacités cognitives, mais plutôt dans « l’attitude envers l’apprentissage » que démontraient les enfants.

Cet aspect était défini comme « la manière dont chaque enfant était investi dans la classe, la manière dont il ou elle gérait les problèmes de façon externe ou interne, la fréquence à laquelle l’enfant “perdait le contrôle” de soi, et la manière dont il ou elle développait des liens interpersonnels ».

Les filles performaient généralement mieux dans six aspects bien définis : l’attention, la persistance à accomplir une tâche, la volonté d’apprendre, l’autonomie, la flexibilité et l’organisation.

Sans en arriver à une conclusion définitive sur l’influence de l’enseignant dans cet écart, les auteurs ont remarqué que « la vaste majorité des enseignants au primaire sont des femmes », selon ScienceDaily.

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Lien entre l’impulsivité chez les jeunes garçons et le développement de problèmes de jeu

Le journal Addiction publie une étude révélant que lorsque de jeunes garçons sont considérés comme « très impulsifs » à l’âge de 6 ans, ils ont deux fois plus de chances d’avoir un comportement à risque relié au jeu à l’adolescence, et trois fois plus de chances d’avoir un problème de jeu.

Les chercheurs ont observé 310 garçons provenant de milieux urbains défavorisés. Les garçons ont vu leur comportement mesuré par rapport à l’impulsivité, puis des évaluations ont été faites lorsque les garçons avaient entre 11 et 20 ans.

41 % des enfants étaient considérés comme démontrant une grande impulsivité, tandis que 59 % en démontraient peu. Une fois adolescents, 67 % des garçons participaient à des jeux d’argent, 20 % étaient à risque, et 9 % avaient un problème.

« Nos résultats montrent qu’apprendre aux jeunes garçons à maîtriser leur impulsivité très tôt, au début de leur parcours scolaire, peut avoir des avantages à long terme », a expliqué l’auteure de l’étude, la Dre Silvia Martins, selon Science Daily.

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La puberté chez les garçons se produit plus tôt qu’avant

Selon une nouvelle étude menée aux États-Unis par l’American Academy of Pediatrics, les garçons amorcent maintenant la puberté à l’âge moyen de 10,1 ans pour les Caucasiens, 9,1 ans pour les Afro-Américains, et 10 ans pour les Latino-Américains.

Les médecins ont compilé des données sur 4131 jeunes garçons et ont observé qu’en moyenne, ceux-ci deviennent pleinement pubères à 11,5 ans, 10,2 ans, et 11,4 ans pour chacun des groupes ethniques respectifs.

La date des données précédentes sur lesquelles les médecins se sont basés pour établir la comparaison n’a pas été précisée, mais les données remontent à « plusieurs décennies », selon l’association.

La pédiatre et auteure de l’étude, Marcia E. Herman-Giddens, a remarqué que « ces données contemporaines sur l’âge de la puberté chez les garçons étaient nécessaires non seulement pour les pédiatres et les experts en santé publique, mais aussi pour les parents », tel que rapporté par Santé Log.

Les résultats ont été publiés dans la revue médicale Pediatrics. Plusieurs études ont déjà établi que la puberté chez les filles survient également de façon plus précoce, mais il s’agit de la première étude qui s’attarde aux garçons.