C’est une véritable bombe qui s’abat en santé, alors que des scientifiques ont publié des observations peu flatteuses et inquiétantes concernant le populaire vaccin Gardasil, rapporte notamment Le Devoir.
« Le vaccin n’est pas plus efficace que les autres méthodes de prévention et, de plus, il est porteur de risques », déclare d’emblée la chercheuse Lucija Tomljenovic, basée en Colombie-Britannique.
Même son de cloche du côté de l’Europe et de la France, alors que 25 nouvelles plaintes seraient déposées contre le Gardasil, pourtant largement vanté et distribué chez les jeunes femmes depuis quelques années.
Le vaccin Gardasil promet de protéger du VPH et du cancer de l’utérus, mais les certitudes semblent de plus en plus fragiles en ce qui concerne le produit.
Plusieurs jeunes femmes vaccinées clament que le Gardasil est responsable de leur diagnostic de sclérose en plaques (SEP), de lupus et d’encéphalomyélite aigüe disséminée, un véritable scandale en soi si la chose se vérifie.
Quand on pense que les gouvernements et associations de santé de partout dans le monde, dont au Canada, n’ont pas hésité à faire vacciner des millions de jeunes filles et de femmes, on peut se demander quels sont les processus mis en place pour véritablement protéger la population.
Les spécialistes qui publient leurs observations et inquiétudes sur le Gardasil aimeraient maintenant faire adopter un moratoire sur le produit d’ici à ce qu’on fasse la lumière sur ses effets réels.