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Voici la raison du départ de Garret Sparks

Pour gagner la Coupe Stanley, ça prend plusieurs éléments afin de réaliser ce rêve d’enfant. De la chance, que les astres soient alignés, que ton groupe soit guidé par un grand capitaine et un excellent groupe de leaders, puis que le gardien soit dans une certaine zone (excellent lors des moments forts). Par contre, si un vestiaire devient empoissonné par un ou des individus, ça peut crasher rapidement et changer l’ambiance d’un vestiaire.

Il y a plusieurs exemples qui me viennent rapidement en tête, comme les Jets de Winnipeg, qui ont vécu des moments « électriques » à l’aube des séries, ce qui a miné le moral d’une troupe incluant deux clans. On peut également ramener sur la table l’attitude hyperactive de P.K. Subban, qui finit par déplaire à trop de joueurs. Puis, plus récemment, le comportement de Garret Sparks au sein du vestiaire des Maple Leafs de Toronto qui a été remis en doute.

Un drôle de personnage, semble-t-il!
(Crédit: YouTube)

Le cerbère de 26 ans a quitté l’environnement des Leafs le 23 juillet dernier afin de rejoindre les Knights de Vegas, en retour du contrat de David Clarkson et un choix de 4e tour en 2020. Une transaction « particulière » pour un homme particulier. Selon certains éléments qui circulent, Sparks ne faisait pas l’unanimité dans le vestiaire.

Le gardien arborant le numéro 40 ne semblait pas saisir son rôle au sein de l’équipe. On indiquait un manque de « conscience » en soi. Mais kossé ça en bon québécois? Résumons cela ainsi : un manque de compréhension de son rôle au sein du groupe, ce qui a effrité certaines relations. Ça reste un accord particulier, surtout pour ramener le contrat de Clarkson à Toronto. Bref, cette addition de Clarkson permettra de libérer beaucoup de monnaie sous la masse salariale avant le lancement de la saison, ce qui devrait permettre la signature de Mitch Marner.

Tout compte fait, avec les explications au sujet de Sparks, on comprend mieux les motivations de Kyle Dubas dans ce traité un brin « spécial ».

En rafale

– Charles-David Beaudoin, qui a évolué au sein du Moose du Manitoba lors des deux dernières années, a lancé (cette année) son école de hockey axé sur les défenseurs.

Ça fait quelques années que ça mijotait dans la tête du défenseur, donc à partir de décembre dernier, il s’est penché là-dessus sérieusement. Il a rapidement rempli la première édition avec des joueurs en provenance d’un peu partant au Québec. Les jeunes seront guidés par de vrais experts comme Martin Raymond, Charles-David lui-même, Louis Robitaille ou François Borduas. Ça commence ce soir (17 heures) pour toute la durée de la semaine.

– C’est pas mal les mêmes infos que je détiens. Joël Bouchard a vraiment aimé la progression de Big Mac l’an dernier.

– Ce message parle de lui-même.