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Un resto complètement débile de cuisines japonaise et péruvienne ouvrira ses portes ce mois-ci!

Même si la pandémie de Covid-19 est encore présente, il faut avouer que c’est beaucoup moins pire que ce qu’on a connu dans les deux dernières années! Une foule de bars et de restaurants de la ville l’ont eu rough, mais on voit maintenant que ces établissements reprennent du poil de la bête, et on constate même que de nouvelles adresses font leur apparition.

Ce sera d’ailleurs le cas du tout nouveau restaurant du groupe JEGantic – à qui l’on doit le Bord’Elle et le Farsides – qui ouvrira ses portes le 26 mai prochain. Eh oui, le Yoko Luna nous accueillera enfin à la fin du mois, et ce resto a tout le potentiel de devenir l’un des spots les plus branchés de la ville!

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Se spécialisant dans la cuisine fusion japonaise et péruvienne, cet établissement vous impressionnera avec son bar à sushi et des plats qui seront tous plus délicieux et inventifs les uns que les autres. On a bien hâte de déguster le ceviche Luna à base de thon rouge avec du yuzu et du jalapeno dashi et de se délecter du boeuf Wagyu qui a l’air 100% délicieux.

Vous serez également ahuris devant la sélection de cocktails spécialement créés pour le resto par le fameux mixologue Lawrence Picard, par la carte des vins d’importation privée et de vins reconnus mondialement, et surtout par l’immense variété de whisky japonais que vous pourrez déguster dans le grand bar qui habitera les lieux. 

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Parlant de l’endroit, il faut avouer que l’espace qui sera aménagé va certainement avoir du panache! En effet, le Yoko Luna qui s’étendra sur plus de 20 000 pieds carrés comprendra une entrée de miroirs, 2 terrasses estivales, 2 espaces VIP semi-privés, un salon de réception ainsi qu’une gigantesque salle à manger qui épatera la galerie avec sa sculpture de Geisha de 15 pieds!

Le Yoko Luna a donc toutes les caractéristiques pour devenir un spot incontournable à Montréal. Comme l’a d’ailleurs mentionné Kajanan Kandiah, vice-président et directeur des finances du groupe JEGantic: « Yoko Luna est notre projet le plus ambitieux jusqu’à maintenant, et nous en sommes extrêmement fiers. Chaque membre de notre équipe a joué un rôle essentiel dans le processus, de la création à la mise en œuvre, et après deux années de travail acharné, nous sommes prêts à ouvrir le plus grand restaurant et cabaret au Canada. »

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Ce nouveau resto qui ouvrira à la fin du mois est donc l’endroit tout indiqué pour découvrir des produits japonais et péruviens incroyables tels que des piscos et des sakés, pour vous éclater dans un décor unique au pays et pour vivre une expérience immersive absolument spectaculaire!

Ouverture du restaurant Yoko Luna

Jeudi 26 mai 2022

1234, rue de la Montagne, Montréal, QC H3G 1Z1

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5 restaurants où aller déguster de délicieux repas pendant l’événement MTLàTABLE!

Si vous n’aviez pas vu la nouvelle passer, sachez que MTLàTABLE est de retour avec une formule plus intéressante que jamais! C’est grâce à une initiative de Tourisme Montréal, en collaboration avec la Ville de Montréal, la Société des alcools du Québec (SAQ), l’Association Restaurant Québec et la Banque nationale que cette nouvelle édition de l’événement culinaire prend place en ville avec plusieurs nouveautés.

Parmi les nouveautés, il y a notamment les nouvelles gammes de prix. Il sera possible de trouver d’alléchantes tables d’hôte dans quatre gammes de prix différentes : 20$ à 35$, 36$ à 45$, 46$ à 60$ et 61$ et plus.

De plus, l’événement dure plus longtemps que les anciennes éditions. MTLàTABLE se déploiera en ville durant trois périodes : du 23 juin au 1er août, du 4 au 29 août et du 1er septembre au 11 octobre. Chaque mois, de nouveaux menus en formule table d’hôte seront en vedette dans les restaurants participants.

Enfin, la dernière nouveauté est le Programme découvertes de MTLàTABLE. Afin d’encourager l’industrie de la restauration, MTLàTABLE présente un nouveau programme, en collaboration avec la SAQ. Les gens qui iront déguster les tables d’hôte dans les restaurants participants pourront accumuler des « fourchettes » (des points) à chaque visite et ainsi avoir la chance de gagner plusieurs prix, dont des cartes-cadeaux de la SAQ, des crédits-cadeaux en restaurant et un Forfait saveurs et découvertes. Pour en savoir plus sur ce programme, cliquez ici.

Si vous avez le goût de participer à cette édition de MTLàTABLE, voici 5 restaurants qui y participent et qui nous donnent l’eau à la bouche avec leur menu!

Pour voir toute la liste des restaurants participants, cliquez ici.

Restaurant H3

Crédit: restauranth3/Instagram

Restaurant H3 est situé au centre-ville. Il propose une cuisine fraîche avec des produits locaux. La table d’hôte MTLàTABLE est offerte au coût de 49$.

Pour plus d’informations sur le restaurant H3, cliquez ici.

Restaurant Cabotins

Crédit: restaurant_cabotins/Instagram

Restaurant Cabotins est situé dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve. C’est un resto qui propose une cuisine d’inspiration française, mais avec une touche originale et moderne. La table d’hôte MTLàTABLE est disponible au coût de 39$.

Vous trouverez plus d’informations sur Restaurant Cabotins ici.

O’Thym

Crédit: othymmtl/Instagram

Le restaurant O’Thym est situé sur le boulevard de Maisonneuve Est, près de la station de métro Beaudry. Le resto propose une cuisine du marché d’inspiration française. Les plats sont concoctés avec des ingrédients frais et locaux. La table d’hôte MTLàTABLE est disponible au coût de 54$.

Vous trouverez plus d’informations sur le O’Thym ici.

Osteria MKT

Crédit: osteriamkt/Instagram

Osteria MKT est un restaurant situé au centre-ville de Montréal. Il propose une cuisine de type italienne et méditerranéenne. La table d’hôte est disponible au coût de 36$.

Vous trouverez plus d’informations sur le Osteria MKT ici.

NELLI Café + Vin nature

Crédit: nelli.cafevin/Instagram

Le NELLI Café + Vin nature est situé dans l’hôtel Nelligan, dans le Vieux-Montréal. C’est un bar à vin nature qui propose une délicieuse cuisine de type bistro français. La table d’hôte MTLàTABLE est offerte au prix de 25$.

Vous trouverez plus d’informations sur le NELLI Café + Vin nature ici.

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La gastronomie à l’abordage des voiliers de luxe

À bord du Star Clipper et du Star Flyer, les voyageurs navigueront en Méditerranée en compagnie du chef Bea Schulz et de la sommelière Nathalie Lumpp, des sommeliers Olivier Assire et Bruno David, ou encore avec les chefs Otto Koch et Marcus Semmler.

Les cuisiniers s’associeront avec ces spécialistes du vin pour associer des mets divins à des élixirs tout aussi prestigieux.

La croisière, de sept jours minimum, est proposée à partir de 1720 € par personne, en pension complète.

Le Star Flyer et le Star Clipper peuvent accueillir chacun 170 passagers et 74 membres d’équipage.

Renseignements et réservations : www.starclippers.com
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Jamie Oliver se lance dans la gastronomie en mer

À partir de cet automne, les passagers à bord du Quantum of the Seas pourront déguster la cuisine italienne de Jamie’s Italian, une des chaînes fondées par Jamie Oliver. Un deuxième restaurant du même nom ouvrira à bord de l’Anthem of the Seas, qui sera inauguré au printemps 2015.

L’annonce représente une nouvelle direction pour le chef, qui pourra désormais se vanter d’une présence sur terre, en mer et dans les airs.

En plus de son réseau de restaurants, qui s’étend du Royaume-Uni jusqu’à Hong Kong en passant par la Suède, Dubaï, la Turquie, la Russie et le Singapour, Jamie Oliver possède des établissements à l’aéroport London Gatwick.

« Royal Caribbean partage mon approche de la restauration, qui consiste à servir des ingrédients simples et frais dans une ambiance chaleureuse et accueillante », confie le chef dans un communiqué.

« Je suis tellement heureux d’apporter ma passion pour la cuisine italienne aux passagers [de Royal Caribbean] avec Jamie’s Italian. Ça va être génial ».

Royal Caribbean lancera le Quantum of the Seas cet automne avec un voyage au départ de New York. De son côté, l’Anthem of the Seas sera inauguré au printemps 2015 au départ de Southampton en Angleterre. 

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Une Cité de la gastronomie verra le jour à Paris-Rungis en 2020

La future Cité de la gastronomie à Rungis, en banlieue parisienne, devrait voir le jour dans six ans pour un coût anticipé d’au moins 60 à 70 millions d’euros, a affirmé Jean-Paul Huchon, président du conseil régional d’Île-de-France.

Une mission de préfiguration doit être mise en place dans les semaines qui viennent « afin de définir, dans moins d’un an, de quoi sera composée cette cité », a-t-il affirmé à l’AFP.

« Il y aura certainement une école de formation à l’excellence culinaire, il y aura un lieu d’exposition, il y aura bien sûr des lieux de restauration » et un centre multimédia, a-t-il avancé.

Le site, appelé aussi Rungis-Orly, a été sélectionné par le gouvernement en juin, avec Dijon et Tours, comme un des trois membres d’un réseau de Cités de la gastronomie pour promouvoir la culture alimentaire et le patrimoine gastronomique, distingué en 2010 par l’UNESCO qui a inscrit le « repas gastronomique des Français » au patrimoine de l’humanité.

Le mois dernier déjà, un premier bâtiment spécifiquement dédié à la gastronomie a été inauguré à Rungis (Val-de-Marne) pour accueillir des entreprises spécialisées, associées au marché de gros de produits frais des halles de Rungis.

Pour ce qui est de la future cité, « tout est à imaginer », dit Jean-Pierre Blat, directeur général du tourisme Paris Île-de-France : « un musée de la gastronomie, des espaces d’affaires, des ateliers créatifs, d’éducation et de formation ».

On visera également à « avoir un lycée international de la restauration à Paris-Rungis comme on a le lycée international de l’hôtellerie à Lausanne », ajoute M. Blat.

La cité sera « un lieu de promotion de l’histoire de la gastronomie et de la lutte contre la malbouffe », selon le responsable du tourisme pour qui le secteur sera particulièrement générateur d’emplois.

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Une Cité de la gastronomie verra le jour à Paris-Rungis en 2020

La future Cité de la gastronomie à Rungis, en banlieue parisienne, devrait voir le jour dans six ans pour un coût anticipé d’au moins 60 à 70 millions d’euros, a affirmé Jean-Paul Huchon, président du conseil régional d’Île-de-France.

Une mission de préfiguration doit être mise en place dans les semaines qui viennent « afin de définir, dans moins d’un an, de quoi sera composée cette cité », a-t-il affirmé à l’AFP.

« Il y aura certainement une école de formation à l’excellence culinaire, il y aura un lieu d’exposition, il y aura bien sûr des lieux de restauration » et un centre multimédia, a-t-il avancé.

Le site, appelé aussi Rungis-Orly, a été sélectionné par le gouvernement en juin, avec Dijon et Tours, comme un des trois membres d’un réseau de Cités de la gastronomie pour promouvoir la culture alimentaire et le patrimoine gastronomique, distingué en 2010 par l’UNESCO qui a inscrit le « repas gastronomique des Français » au patrimoine de l’humanité.

Le mois dernier déjà, un premier bâtiment spécifiquement dédié à la gastronomie a été inauguré à Rungis (Val-de-Marne) pour accueillir des entreprises spécialisées, associées au marché de gros de produits frais des halles de Rungis.

Pour ce qui est de la future cité, « tout est à imaginer », dit Jean-Pierre Blat, directeur général du tourisme Paris Île-de-France : « un musée de la gastronomie, des espaces d’affaires, des ateliers créatifs, d’éducation et de formation ».

On visera également à « avoir un lycée international de la restauration à Paris-Rungis comme on a le lycée international de l’hôtellerie à Lausanne », ajoute M. Blat.

La cité sera « un lieu de promotion de l’histoire de la gastronomie et de la lutte contre la malbouffe », selon le responsable du tourisme pour qui le secteur sera particulièrement générateur d’emplois.

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Bruxelles s’impose comme un haut lieu de la gastronomie, selon Michelin

« La capitale belge compte plus de restaurants étoilés que des villes comme Berlin, Rome ou Milan et s’impose progressivement comme un très haut lieu de la gastronomie européenne », a estimé le directeur international des guides Michelin, Michael Ellis.

Illustration du dynamisme de la scène culinaire bruxelloise : la deuxième étoile accordée au restaurant Bon-Bon, où le chef Christophe Hardiquest propose une « cuisine créative, d’une technicité remarquable et basée sur des produits de très grande qualité », relève Michelin.

« C’est un rêve d’enfant qui se réalise. Je savais que la maison évoluait, mais je ne m’attendais pas » à recevoir une deuxième étoile, a déclaré Christophe Hardiquest lors de la présentation du guide à Gand.

Située sur la verdoyante avenue de Tervueren, le « salon d’artisan cuisinier » Bon-Bon propose des formules à 55 euros le midi et de 80 à 155 euros en soirée et garantit des légumes bios « à 95 % ».

Un second restaurant belge gagne sa deuxième étoile : le Bartholomeus, situé dans la très chic station balnéaire de Knokke-Heist, où le chef Bart Desmidt « combine les mélanges et les saveurs de manière particulièrement harmonieuse », selon Michelin.

Ils viennent s’ajouter aux 15 deux étoiles du royaume, dont le célèbre « Comme chez soi » de Bruxelles, qui ne récupère toujours pas son troisième macaron, perdu en 2007.

La Belgique compte toujours trois « trois étoiles » : De Karmeliet à Bruges, Hof van Cleve à Kruishoutem et Hertog Jan à Sint-Michiels, en Flandre.

Au total, avec 132 établissements distingués, « jamais une édition du Michelin Belgique-Luxembourg n’avait compté autant de restaurants étoilés », conclut le guide.

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Vingt grands chefs de la gastronomie mondiale exposés aux Beaux Arts

Cookbook, l’art et le processus culinaire est l’exposition qui se terminera le 9 janvier. « Comment peut-on traduire la créativité culinaire dans une exposition? », interroge Nicolas Bourriaud, directeur de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts.

Il compare les cuisiniers à des « auteurs ». « En France, on considère tellement la cuisine comme une culture qu’on a du mal à la voir comme un art », estime le directeur et commissaire général de l’exposition.
Des chefs, dont les Français Yannick Alleno, Michel Bras, Alain Passard, ont été invités à expliquer leur travail à travers des oeuvres d’art.

Rodolfo Guzman, chef du restaurant Borago à Santiago au Chili, a imaginé « un tremblement de terre ». En quatre photos prises en très gros plan, que l’on pourrait prendre pour des images de la lune, il a montré « comment un blanc d’oeuf se transforme peu à peu ». « Le son d’un tremblement de terre » a été enregistré : « C’est en réalité le bruit du craquement du macaron dans la bouche », a-t-il expliqué lors du vernissage de l’exposition.

Inaki Aizpitarte, du restaurant parisien Le Chateaubriand, a lui choisi d’exposer une vidéo, baptisée Under control (Sous contrôle). Il donne l’impression d’être filmé par des caméras de surveillance, alors qu’il prépare des plats en cuisine. Chaque geste, chaque hésitation sont enregistrés.

Bertrand Grébaut, du Septime, autre table parisienne très courue, a lui réalisé « une performance filmée ». « J’ai un passé d’artiste graffiti plutôt illégal », a-t-il confié. « Je connais bien le métro parisien et ses tunnels. On a décidé d’aller dans le métro la nuit pour faire un plat », un coeur de veau cuit sur les rails au chalumeau.

Eneko Atxa, chef du restaurant Azurmendi à Bilbao en Espagne, expose ses croquis, qui précèdent chacune de ses créations. « C’est ma façon de donner forme à mes idées : un cahier et un crayon. Mais je ne suis pas un bon dessinateur, alors je donne du volume aux choses en faisant de la pâte à modeler. (…) Ensuite mon équipe peut passer à l’exécution », a-t-il détaillé.

Les Beaux Arts exposent également des artistes contemporains, comme Alisa Baremboym et Sophie Calle, à travers leurs oeuvres liées à la cuisine et au repas. Le peintre, poète et cinéaste italien Gianfranco Baruchello présente ses oeuvres illustrant « son rapport avec la nature, la vie quotidienne et la chaîne alimentaire ».

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La gastronomie à l’honneur à New York fin juillet

L’édition estivale de la Restaurant Week new-yorkaise se déroulera du 22 juillet au 16 août prochain. Plus de 300 restaurants offriront des menus à petits prix.

Pendant près d’un mois, les visiteurs et les New-Yorkais pourront se régaler dans une sélection d’adresses gastronomiques pour seulement 25 $ par personne au dîner ou 38 $ par personne au souper. Ces tarifs incluent l’entrée, le plat et le dessert.

Les vacanciers pourront réserver leur bonne table dès le 8 juillet prochain sur Nycgo.com/restaurantweek et découvrir les adresses participantes.

Créée en 1992 à l’occasion de la Convention nationale démocrate qui s’est tenue à New York cette année-là, la NYC Restaurant Week continue d’attirer les foules. D’après OpenTable, près de 210 000 soupers ont été réservés en ligne au cours de l’édition hivernale 2013 de la Restaurant Week, qui s’est déroulée en janvier et février dernier.

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De la cuisine française à bord des vols Lufthasa

Pour le printemps qui arrive, le chef français 3 étoiles Marc Haeberlin sera chargé de l’élaboration des plats qui seront servis aux passagers de première classe sur les vols internationaux de la compagnie de la Lufthansa.

Les voyageurs pourront donc apprécier les mets élaborés par le Français dans son restaurant de l’est de la France, l’Auberge de l’Ill.

En entrée, les passagers de la compagnie allemande goûteront une escalope grillée avec de la purée de petits pois ou bien des carottes à l’orientale servie avec une sauce à l’orange.

Le menu sera composé d’un choix de différents plats principaux, avec notamment un soufflé de saumon servi avec des épinards et du riz basmati, de la cuisse de canard au poivre du Sichuan accompagné de figues fraîches et de galettes de polenta ou bien une casserole d’aubergines et de tomates avec une sauce aux poivrons et un assortiment de légumes.

Enfin, pour le dessert, les chanceux passagers auront le choix entre une tarte Tatin accompagnée de coulis de vanille et de glace aux noix de macadamia ou bien la spécialité du chef, la « Pêche Haeberlin » servie avec de la glace à la pistache.

Sur ce, bon appétit!