Catégories
Uncategorized

Les végétariens vivraient plus longtemps

Science World Report informe de nouvelles découvertes sur les bienfaits du végétarisme. Entre autres, une alimentation végétarienne serait plus viable et augmenterait la longévité.

Pour en arriver à cette conclusion, ils ont analysé les données englobant les habitudes nutritionnelles de plus de 73 000 personnes tant aux États-Unis qu’au Canada.

Ils ont ensuite validé l’information selon laquelle l’alimentation et le réchauffement planétaire sont reliés à cause de la production de gaz à effet de serre.

Finalement, ils ont quantifié le taux de mortalité chez les végétariens, semi-végétariens et les autres.

Les résultats ont démontré que chez les non-végétariens, le taux de mortalité était 20 % plus élevé, tandis que l’émission de gaz à effet de serre était réduite pratiquement du tiers chez les végétariens par rapport aux autres régimes alimentaires.

Pour Sam Soret, l’un des chercheurs, il est clair que « le message à retenir, c’est que même les plus petites réductions de consommation animale produisent des résultats non négligeables sur l’environnement et la santé ».

L’étude a été publiée dans la revue American Journal of Clinical Nutrition.

Catégories
Uncategorized

Manger moins de viande pour réduire les gaz à effet de serre

Une étude du Woods Hole Center, au Massachusetts, démontre que la consommation de viande devrait être coupée de 50 % par personne d’ici 2050.

Les experts estiment que la population mondiale augmentera de 2 milliards. Ainsi, la consommation et la production de viande monteront en flèche également.

Le fait de changer la façon dont les gens mangent peut avoir un effet considérable sur l’émission de gaz à effet de serre des ménages, selon le docteur, président et scientifique en chef du Woods Hole Center, Eric Davidson.

« S’il y a une demande grandissante en viande, ce qui est le cas, ça va finir par exiger une plus grande quantité de fertilisants contenant de l’azote et la production de plus de fumier, qui tous les deux engendreront des émissions involontaires de formes variées d’azote dans l’environnement, y compris les nitrates dans les nappes phréatiques et les eaux de surface ainsi que les gaz à effet de serre comme l’oxyde nitreux », dit le docteur Davidson.

En fait, l’oxyde nitreux reste dans l’atmosphère très longtemps, voire des centaines d’années, avant de se décomposer. Bien qu’il soit au troisième rang des gaz à effet serre, il s’agit du plus puissant.

Rappelons que les sources principales de ce type de gaz sont, justement, les engrais azotiques synthétiques et le fumier.