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La dépression affecterait directement les cellules

Une nouvelle étude hollandaise révèle que les cellules sont directement affectées à la suite d’une dépression nerveuse, rapporte le Daily Mail (UK).

Les chercheurs affectés à cette nouvelle recherche ont observé les transformations observables sur les structures cellulaires appelées télomères, et les impacts subséquents sur la santé et l’organisme des individus découlant de la dépression.

L’équipe hollandaise conclut que la dépression ne fait pas que laisser des traces sur le plan psychologique, mais qu’elle contribue au vieillissement prématuré des cellules, et donc du corps.

L’étude, qui analysait plus de 2400 cas, remarque une accélération du processus de vieillissement des cellules, ce qui pourrait se traduire par une moyenne de quatre à six ans.

Les résultats de cette recherche, par ailleurs publiée dans le magazine Molecular Psychiatry, amènent les spécialistes à s’inquiéter du phénomène, et ils rappellent qu’il est important d’être vigilant afin d’éviter de sombrer dans une dépression.

Une surcharge de travail, une mauvaise alimentation, un manque de luminosité, une épreuve difficile ou des troubles du sommeil, entre autres, sont autant de facteurs qui peuvent mener à la dépression. On suggère d’être à l’écoute de son corps et de ses besoins, et de ne pas hésiter à consulter lors de l’apparition des premiers symptômes d’une dépression ou de troubles de l’humeur.

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Le « gène de jouvence » pourrait accélérer le processus de guérison

Le Daily Mail (UK) rapporte une découverte effectuée par des chercheurs de la prestigieuse Université Harvard, et qui pourrait s’avérer le premier pas vers une véritable révolution en matière de santé.

Les chercheurs en tête de l’étude, d’ailleurs publiée dans le journal scientifique Cell, annoncent qu’ils sont parvenus à identifier le « gène de jouvence », le Lin28a, qui permet de régénérer les cellules et les tissus plus rapidement, à l’image de certains jeunes animaux.

C’est d’ailleurs en se basant sur les capacités de régénération accrue de certains jeunes mammifères que les chercheurs de Harvard ont cherché à savoir si la propriété génétique en question pouvait être identifiée et reproduite.

Il semble que oui, avec l’annonce de la découverte du gène Lin28a, hautement actif chez les bébés qui ne sont pas encore nés, et qui s’amenuise rapidement avec l’âge.

« Pourquoi certains animaux peuvent régénérer complètement leurs organes alors que d’autres ne peuvent pas est l’un des plus anciens mystères de la biologie. Nos recherches soutiennent l’idée que le système de récupération des tissus chez les mammifères peut être grandement amélioré en réactivant les gènes observables chez les plus jeunes », explique George Daley, impliqué dans ces travaux d’avant-garde.

On croit maintenant être possiblement en mesure de créer un médicament qui permettrait une meilleure capacité de guérison et de réparation des tissus chez l’homme.

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Traitement de l’Alzheimer : une prédiction futuriste étonnante

Le Daily Mail (UK) rapporte une prédiction stupéfiante en matière de traitement éventuel de la maladie d’Alzheimer, une nouvelle qui a de quoi semer l’optimisme chez les spécialistes, les chercheurs, les patients et la population vieillissante, si elle s’avère fondée.

Selon des chercheurs de l’Université Cardiff, Julie Williams en tête, il serait possible dans un avenir rapproché de mettre au point un traitement sous forme de vaporisateur nasal qui échangerait et ajouterait des gènes en santé chez le patient qui l’utilise.

Quels gènes? À commencer par les 11 identifiés dans cette recherche, la même qui mène à cette prédiction quasi historique. Cette dernière se base sur le travail de 180 chercheurs basés dans 15 pays différents, et qui concluent conjointement à l’existence de 11 autres gènes qui augmentent les risques de développement de la maladie d’Alzheimer, portant le total à 21.

Williams, directrice de la recherche, résume : « Ce qui nous a surpris le plus est le schéma très fort qui montre l’implication de plusieurs gènes menant à la démence. Chaque gène individuel apporte un risque faible, mais quand on place toute l’information ensemble, ils (les gènes) nous racontent une intéressante et nouvelle histoire. Ça nous mène dans une nouvelle direction ».

Encore une fois, la réponse semble bel et bien se trouver dans l’analyse génétique, et Julie Williams croit qu’il est raisonnable de croire à un traitement de l’Alzheimer d’ici les dix prochaines années.

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Des chercheurs découvrent le « gène du couple »

Des chercheurs californiens affirment avoir fait une découverte qui permet d’expliquer pourquoi certaines personnes semblent plus douées pour vivre en couple, mais surtout en harmonie.

Si l’on se fie aux conclusions rapportées par le Daily Mail (UK), il semble que cela ait bien peu à voir avec le compromis ou encore la volonté, mais plutôt avec notre bagage génétique.

En effet, les chercheurs de l’Université de la Californie et de Berkeley, en collaboration avec l’Université Northwestern, tracent un parallèle entre le bonheur en amour et un gène appelé 5-HTTLPR. Ce dernier serait la clé d’un mariage heureux, selon la longueur de ses variantes.

Les chercheurs ont remarqué que les couples qui présentent des variantes plus courtes de ce gène semblent plus malheureux en amour que ceux qui présentent des variantes plus longues, une logique qui semble implacable pour Robert W. Levenson, un psychologue qui dirige l’étude.

« Avec ces nouvelles découvertes génétiques, nous comprenons maintenant beaucoup mieux ce qui détermine à quel point les émotions sont différentes pour chaque personne. Nous pouvons même affirmer que le bonheur conjugal est lié à la génétique. Deux personnes ayant des gènes 5- HTTLPR courts sont plus susceptibles de s’épanouir dans un mariage porté par des relations positives et souffriront dès que les relations se détérioreront. En revanche, les personnes ayant un ou deux gènes longs sont moins sensibles au climat émotionnel et supportent mieux les conflits et les relations négatives », explique Levenson, dans des propos également rapportés par Top Santé.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la plus récente édition du magazine Emotion.

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Hugh Jackman est gêné par sa richesse

L’acteur australien Hugh Jackman a trop d’argent, et il en est totalement conscient. « Je suis un peu embarrassé et mal à l’aise à cause d’elle. » Il parle bien sûr de sa fortune.

Lorsqu’on lui a demandé s’il avait atteint son objectif de vie, il a répondu, selon Film-News : « Oh, je possède bien plus que ce qui est nécessaire, sans conteste ».

Mais c’est la perception de ses enfants, Oscar Maximilian et Ava Eliot, qui inquiète le plus Jackman. Celui-ci s’est confié au journal britannique The Times : « J’ai peur de l’effet qu’aura l’argent sur mes enfants. Qu’est-ce qui est un besoin? À quel moment est-ce un caprice? Et y a-t-il un point où il faut dire “Assez”? » 

Des questions qui ont dû poindre notamment à cause du rôle que Hugh Jackman campe en ce moment à l’affiche dans le film Prisoners. 

Il mentionnait récemment qu’il était également plus conscient des autres dangers qui guettent les jeunes. Ses recherches pour interpréter ce père accablé par l’enlèvement de son enfant l’ont beaucoup touché, et une citation dans le film lui est restée : « Il faut prier pour le meilleur, mais toujours se préparer au pire ».

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Hugh Jackman est gêné par sa richesse

L’acteur australien Hugh Jackman a trop d’argent, et il en est totalement conscient. « Je suis un peu embarrassé et mal à l’aise à cause d’elle. » Il parle bien sûr de sa fortune.

Lorsqu’on lui a demandé s’il avait atteint son objectif de vie, il a répondu, selon Film-News : « Oh, je possède bien plus que ce qui est nécessaire, sans conteste ».

Mais c’est la perception de ses enfants, Oscar Maximilian et Ava Eliot, qui inquiète le plus Jackman. Celui-ci s’est confié au journal britannique The Times : « J’ai peur de l’effet qu’aura l’argent sur mes enfants. Qu’est-ce qui est un besoin? À quel moment est-ce un caprice? Et y a-t-il un point où il faut dire “Assez”? » 

Des questions qui ont dû poindre notamment à cause du rôle que Hugh Jackman campe en ce moment à l’affiche dans le film Prisoners. 

Il mentionnait récemment qu’il était également plus conscient des autres dangers qui guettent les jeunes. Ses recherches pour interpréter ce père accablé par l’enlèvement de son enfant l’ont beaucoup touché, et une citation dans le film lui est restée : « Il faut prier pour le meilleur, mais toujours se préparer au pire ».

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Angelina Jolie fait-elle augmenter les requêtes de mastectomie?

Le Daily Mail (UK) rapporte une hausse des demandes de mastectomie, un phénomène que le journal n’hésite pas à lier à l’histoire d’Angelina Jolie, le baptisant même « l’effet Jolie ».

Les données britanniques rapportées semblent en effet confirmer une hausse spectaculaire des requêtes pour une mastectomie de la part des femmes à risque de développer un cancer du sein.

Un risque que les spécialistes sont maintenant capables de chiffrer, en analysant le bagage génétique d’une patiente. C’est précisément l’histoire d’Angelina Jolie, qui avait décidé d’opter pour une mastectomie complète après avoir reçu confirmation qu’elle portait le gène BRCA1, portant ses chances de développer un cancer du sein à 87 %.

Il semble que le choix de l’actrice ait influencé toute une génération de femmes, qui ont alors pris d’assaut le web afin de s’informer. Le phénomène s’est ensuite traduit par une hausse de telles demandes dans les cliniques et centres en oncologie, confirment plusieurs spécialistes.

Alors que plusieurs observateurs saluent le courage d’Angelina Jolie, d’autres croient plutôt qu’il faut être très prudent avec ce genre d’intervention, extrême s’il en est une, et rappellent qu’il existe d’autres alternatives pour faire baisser les risques de développer un cancer du sein.

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Nouvelle percée pour le diabète de type 2

Parus dans le journal Diabetes, les résultats d’une récente étude, financée en partie par des subventions de recherche de l’Association canadienne du diabète et des Instituts de recherche en santé du Canada, donnent espoir.

Le Dr Alexey Pshezhetsky, du Centre de recherche du CHU Sainte-Justine, a découvert que l’absence d’une certaine protéine, la NEU1, expliquerait notamment la résistance à l’insuline chez les diabétiques de type 2.

Cette percée pourrait contribuer à prévenir cette maladie, alors que le nombre de gens affectés ne cesse de grandir.

« Nous avons découvert que Neu1, une protéine surnommée ainsi d’après son nom “neuraminidase 1”, a pour rôle d’activer ou de désactiver l’absorption du glucose par les cellules du corps, en régulant l’acide sialique qui se forme à la surface des cellules », dit le Dr Pshezhetsky.

« Nous essayons maintenant de trouver un moyen de rétablir les niveaux de Neu1 et sa fonction dans le diabète. Si nous parvenons à éliminer les résidus d’acide sialique de la surface des cellules, les récepteurs de l’insuline seront forcés à absorber le glucose adéquatement. Cela pourrait donner aux médecins la possibilité de réduire le recours au traitement à l’insuline et contribuer à réduire l’épidémie de diabète », explique le Dr Pshezhetsky.

Pour le moment, seuls un régime alimentaire adapté, de l’exercice et l’arrêt du tabagisme font figure de traitement, à part bien sûr les injections d’insuline si le reste ne fonctionne pas.

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L’altruisme serait meilleur pour la santé et les gènes que l’égocentrisme

Voici une recherche plus qu’intéressante proposée par The National Library of Medicine, initialement publiée par un groupe de chercheurs américains.

L’équipe californienne a en effet tenté de déterminer les effets de nos actions sur la santé et la génétique, en analysant les comportements de 80 personnes, divisées en deux groupes.

Le premier groupe comprenait les individus en quête d’une vie remplie de sens, d’altruisme et de générosité. Le deuxième groupe, on le devine, comprenait plutôt des gens plus égocentriques, à la recherche d’un plaisir et d’une gloire bien plus personnelle.

Les résultats, publiés dans la version web du magazine Proceedings of the National Academy of Sciences, sont étonnants.

Les sujets du premier groupe ont démontré une réponse des gènes qui se caractérise par une action des cellules immunitaires! On note moins de gènes « inflammatoires », et une exubérance des gènes antiviraux et protecteurs de l’organisme. Le contraire a aussi été observé chez le deuxième groupe.

« Les deux groupes semblaient profiter des mêmes niveaux d’émotions positives. Par contre, les génomes répondaient de façon très différente, malgré des états émotionnels relativement semblables et positifs. Le génome humain est beaucoup plus sensible aux différentes façons d’atteindre le bonheur que nos esprits conscients », résume Steven Cole, professeur à l’Université de Californie.

Incroyable!

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Angelina Jolie révèle qu’elle a subi une ablation préventive des seins

L’actrice Angelina Jolie a révélé mardi (14 mai) qu’elle avait subi une double mastectomie pour prévenir un risque très élevé de cancer en raison d’un gène défectueux, espérant inciter les femmes à se soumettre au dépistage de cette pathologie malgré un coût encore élevé.

La vedette de 37 ans, compagne de l’acteur Brad Pitt, écrit, dans une tribune intitulée My Medical Choice dans le New York Times, qu’elle a subi cette opération parce qu’il existait un risque de 87 % qu’elle développe un cancer du sein, et de 50 % un cancer de l’ovaire, en raison de la présence de ce gène appelé BRCA1.

La mère d’Angelina Jolie est morte d’un cancer en 2007, à l’âge de 56 ans.

« Je voulais écrire pour dire aux autres femmes que de prendre la décision d’avoir une mastectomie n’a pas été facile, mais je suis très heureuse de ce que j’ai fait. Mes chances de développer un cancer du sein ont chuté de 87 % à moins de 5 %. Je peux dire à mes enfants qu’ils n’ont pas à avoir peur, ils ne me perdront pas des suites d’un cancer du sein », écrit l’actrice.

Angelina Jolie décrit un processus chirurgical en deux étapes, dont la première est une opération qui peut prendre jusqu’à huit heures pour enlever le tissu mammaire et le remplacer par des implants temporaires.

Angelina Jolie insiste aussi sur le fait que Brad Pitt a été d’un grand soutien : « J’ai la chance d’avoir un partenaire si amoureux et encourageant. Donc, à celui qui a une femme ou une petite amie qui passe par là, sachez que vous êtes une partie très importante de la transition. Moi et Brad avons réussi à trouver des moments pour rire ensemble ».

« L’intervention n’a laissé que de petites cicatrices qui ne seront pas choquantes à voir pour mes enfants. Personnellement, je ne me sens pas moins femme. Je me sens plus forte d’avoir fait un choix important qui ne diminue en rien ma féminité. »

Les procédures ont été difficiles et éprouvantes au cours des derniers mois, mais l’actrice n’a rien laissé paraître lorsqu’elle devait se présenter en public.

Angelina Jolie, l’une des artistes les mieux payées au monde, regrette que le test de dépistage du gène BRCA1 et d’un autre, appelé BRCA2, coûte plus de 3000 dollars aux États-Unis.

À Hollywood, Jolie a reçu de nombreux témoignages soulignant son courage, notamment de la part de l’actrice Kristen Bell.