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Les migraines chroniques démystifiées grâce à la génétique

Il aura fallu qu’une chercheuse soit elle-même victime de migraines chroniques pour qu’elle se penche sur le dossier de façon sérieuse, et qu’on découvre finalement une explication logique et rationnelle à ce mal qui afflige tant de gens.

Il s’agit d’Emily Bates, explique Top Santé, qui fera certes figure d’héroïne pour toutes les personnes qui subissent de violents maux de tête fréquents.

Basée à l’Université de l’Utah, Bates aurait réussi à cerner le gène fautif et responsable de la migraine, le CKIdelta.

Le CKIdelta joue un rôle primordial pour le cerveau, mais aussi sur le déclenchement des migraines. Bien qu’il ne s’agisse que du début de la solution, la chercheuse américaine a bon espoir de pouvoir aider les gens qui sont dans sa condition dans un avenir rapproché.

« J’ai souffert de cette forme de migraine particulièrement invalidante depuis que je suis petite : des maux de tête qui s’accompagnent de nausées, de troubles de la vision et qui peuvent me laisser sur la touche pendant une journée. La découverte de ce gène pourrait ouvrir la voie à de nouvelles recherches pour trouver des traitements capables de changer le quotidien des personnes qui souffrent de migraine », résume Emily Bates.

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Une découverte majeure pourrait mener à un traitement contre l’Alzheimer

The National Library of Medicine rapporte une excellente nouvelle en provenance des États-Unis, plus précisément de New York, concernant la lutte à la maladie d’Alzheimer.

Des chercheurs qui travaillent sans relâche à dénicher de nouvelles pistes pouvant mener à un ou des traitements de l’Alzheimer affirment avoir réussi à cerner un processus génétique qui pourrait bien les mener vers une autre découverte majeure.

En fait, c’est le principe des cellules qui « bloquent » le système défensif du cerveau qui a attiré les chercheurs, qui ont voulu en savoir plus.

Ils savent maintenant quels réseaux de gènes, ou de cellules, sont affectés par la maladie, alors que le cerveau tente de se battre pour sa survie.

« Définir les étapes précises de la réponse inflammatoire cruciale au développement de l’Alzheimer était difficile à accomplir. Nous sommes heureux d’avoir découvert ces nouvelles informations dans le processus », lance avec plaisir l’auteur principal de l’étude, Bin Zhang.

La prochaine étape sera de tester la réponse du cerveau et du processus génétique expliqué plus haut, face à différents types de traitements. Les chercheurs semblent optimistes d’effectuer des percées très intéressantes dans un avenir rapproché.

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Se priver de sommeil pourrait déranger vos gènes

Manquer d’un sommeil adéquat n’aurait pas que pour effet de vous fatiguer, mais pourrait aussi nuire et déranger vos gènes, lance une étude britannique sur le sujet.

Rapportées par The National Library of Medicine, ces conclusions sont pour l’instant primaires et ne répondent pas à toutes les interrogations.

On ne sait par exemple toujours pas comment le fait de manquer de sommeil pourrait jouer sur la génétique de votre organisme, mais les chercheurs de l’Université du Surrey croient néanmoins pouvoir observer le phénomène.

Pour y parvenir, les chercheurs ont recruté 26 volontaires qui ont d’abord passé une semaine en cycle de sommeil « normal », pour ensuite diminuer le nombre d’heures de sommeil alloué.

On a ensuite prélevé des échantillons sanguins sur les sujets, qui ont révélé que plusieurs gènes et éléments du métabolisme s’en trouvaient ralentis.

On aura encore besoin de plus de tests pour mieux comprendre le phénomène et ses impacts concrets sur la santé, mais il s’agit d’un pas.

L’étude a été publiée dans l’édition du 25 février des Proceedings of the National Academy of Sciences.

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Percée majeure dans la lutte à la maladie de Crohn

La maladie de Crohn fait des ravages, notamment parce qu’elle est complexe et difficile à analyser. Les traitements sont donc difficiles pour ce syndrome qui touche, selon les statistiques, 150 personnes sur 100 000.

Voilà qu’une nouvelle découverte permettrait aux chercheurs d’avancer dans la quête de traitement, selon ce que rapporte www.nlm.nih.gov.

En effet, des chercheurs de l’University College London, en Angleterre, ont réussi à identifier plusieurs nouveaux gènes relatifs au développement et à l’hérédité de la maladie. Cette percée porte maintenant le compte des gènes identifiables liés à la maladie de Crohn à 200.

« La découverte de tant de gènes et de leur localisation s’avère une étape importante dans la compréhension de la maladie, qui possède une base génétique très compliquée. Nous souhaitons que la méthode utilisée ici puisse servir à identifier les gènes d’autres maladies aussi complexes, par exemple dans le cas de certains cancers et du diabète », exprime le Dr Nikolas Maniatis, auteur en chef de l’étude.

Il s’agit donc d’une bonne nouvelle, non seulement concernant la lutte à la maladie de Crohn, mais qui s’applique à plusieurs autres maladies et problèmes de santé chroniques.

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La génétique influencerait la réponse des fumeurs aux campagnes anti-tabac

Cesser de fumer est complexe et demande un effort surhumain pour plusieurs personnes. Les campagnes anti-tabac se succèdent pourtant, et les effets néfastes du tabagisme sont bien connus, plus encore, placardés mur à mur à peu près partout.

Malgré tout, les statistiques recensant les fumeurs semblent stagner un peu partout, notamment aux États-Unis. www.nlm.nih.gov explique une partie de ce phénomène en rapportant une étude publiée par l’Université Yale, qui avance que certaines personnes ne seraient pas susceptibles de réagir aux nombreuses campagnes anti-tabac à cause de leur ADN.

Selon les chercheurs de Yale, certaines personnes sont portées vers la dépendance au tabac de par leur bagage génétique, ce qui leur rendrait la vie très difficile lorsqu’elles tentent de cesser.

« Nous avons découvert que pour les personnes qui sont génétiquement prédisposées à fumer, des mesures comme les hausses de taxes ne sont pas suffisantes pour les convaincre d’arrêter », explique Jason Fletcher, professeur associé à Yale et chercheur en chef de l’étude.

On remarque une baisse de 30 %, en moyenne, de la consommation des produits du tabac chez les sujets qui ne possèdent pas cette particularité génétique lorsque le gouvernement augmente les taxes sur les cigarettes.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la plus récente édition de la revue PLoS One.

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Un gène pourrait être lié à la dépendance à l’alcool et au binge drinking

Santelog.com nous apprend que des chercheurs croient pouvoir affirmer qu’ils ont trouvé un gène qui serait à l’origine de certains comportements en lien avec l’alcool, dont le binge drinking.

Le binge drinking est un phénomène récent qui s’avère terriblement dangereux. Il se décrit comme le comportement d’une personne qui boit énormément d’alcool par séquences, s’arrête, puis recommence.

Le concept avait été mis à l’avant-plan de l’actualité à la suite de la mort de la chanteuse Amy Winehouse, qui était familière avec ce comportement.

Des chercheurs du King’s College de Londres ont publié une étude dans les Actes de l’Académie américaine des Sciences (PNAS) pour signifier l’importance du gène RASGRF2 dans la susceptibilité d’une personne de développer un problème d’alcool grave.

Toutefois, on rappelle que même si une personne est génétiquement plus sujette à ce type de dépendance, le gène n’explique et n’excuse pas tout le processus qui mène au passage à cet acte d’autodestruction.

On confirme simplement que le binge drinking peut avoir un effet plus intense chez certaines personnes que d’autres, en vertu de leurs gènes. Cela place certains individus devant une prédisposition à l’alcoolisme plus importante que chez les autres.

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Des différences dans les gènes de non-fumeuses atteintes du cancer

www.nlm.nih.gov rapporte que des chercheurs ont fait des percées importantes en matière de génétique et de cancer, alors que ceux-ci auraient trouvé des variantes dans les gènes de patientes atteintes du cancer du poumon.

Plus précisément, ces récentes découvertes ont été remarquées chez des patientes non-fumeuses atteintes de ce type de cancer.

On parle donc de différences génétiques observées dans trois régions, spécialement chez les femmes asiatiques, qui s’appliqueraient dans plusieurs cas de cancers du côté des non-fumeurs.

Ainsi, les chercheurs sont en train de confirmer la « provenance » du cancer du poumon chez ces femmes, un mystère pour celles qui n’ont jamais touché une cigarette de leur vie.

Après avoir compilé les données de 14 études sur le sujet, incluant les dossiers de pas moins de 14 000 patientes asiatiques (6600 atteintes du cancer du poumon, et 7500 en santé), l’équipe de chercheurs a constaté les variations dont il est question dans l’étude au niveau des chromosomes 6 et 10.

Bien entendu, les auteurs de la super-étude rappellent l’importance d’éviter la fumée secondaire dans votre environnement immédiat, ce qui pourrait accélérer le processus du cancer du poumon chez les non-fumeurs aux prises avec ce type de variation génétique.

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Un gène lié au tabagisme et au déficit d’attention

Les fumeurs et les gens aux prises avec des problèmes de déficit d’attention (TDAH) pourraient bien avoir un gène qui les prédisposait à cette condition, rapporte www.nlm.nih.gov.

C’est qu’une étude tente de démontrer l’existence d’un tel gène, qui augmenterait le facteur de risques pour ces personnes de développer la manie de fumer ou le TDAH.

De plus, des statistiques percutantes affirment que les gens souffrant de déficit d’attention ont d’ailleurs plus de chances de commencer à fumer tôt et de fumer deux fois plus.

Pour cette plus récente étude, les chercheurs ont analysé les tests sanguins de plus de 450 enfants de 6 à 12 ans aux prises avec le TDAH, ainsi que ceux de leurs parents et familles. Les échantillons ont été testés pour vérifier cinq variations génétiques possibles associées avec différents comportements reliés au tabagisme.

Le nombre de cigarettes consommées par jour et le fait de cesser et de recommencer à fumer sont des variables observées.

De l’avis de tous les spécialistes, ces conclusions sont intrigantes et prometteuses, mais doivent être testées davantage avant de pouvoir parler de cause à effet, ou encore de traitement.

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200 millions offerts à Gene Simmons pour reformer Led Zeppelin

C’est une nouvelle étonnante que nous apprennent plusieurs sources, dont digitalspy.ca, disant que Gene Simmons se serait vu offrir 200 millions afin de réussir à réunir Led Zeppelin.

La star de KISS confirme ce fait, affirmant qu’un promoteur lui a déjà tendu 200 millions de dollars pour qu’il l’aide à convaincre les membres de Led Zeppelin de se réunir pour de bon.

Les sources affirment que plusieurs promoteurs et membres de l’industrie étaient obsédés à l’idée de reformer le légendaire groupe, à la suite de leur seul et unique concert en 2007, au stade O2 de Londres.

Se confiant au Sun, Simmons affirme qu’un producteur de concerts bien connu de l’industrie lui a fait un virement initial de 100 millions de dollars, dans le but de le convaincre de contacter Jimmy Page et Robert Plant.

« Bien sûr, ça n’a pas marché. Robert ne veut rien savoir », ajoute le coloré Gene Simmons, qui a lui-même rejoint ses collègues de KISS pour un retour sur disque et sur scène.

Le groupe a lancé Monster, le 20e album du mythique groupe, dont Simmons se dit très fier.

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Un phénomène rare lié à l’obésité, la dépression et les troubles d’attention

Des chercheurs ont découvert une mutation génétique qui serait liée à plusieurs problèmes de santé et maladies mentales modernes, comme l’obésité et la dépression, selon www.nlm.nih.gov.

De fait, il semble que certaines personnes procèdent, sans le vouloir, à un « effacement » de ce qu’on appelle le facteur neurotrophique du cerveau, ou BDNF en anglais.

Ce comportement est une mutation et pourrait entraîner certains dérèglements biologiques liés aux problèmes d’obésité, de dépression, d’anxiété et de trouble de l’attention.

Le facteur neurotrophique du cerveau joue un rôle important dans le développement du cerveau et de ses capacités.

Ces résultats sont le fruit d’une étude qui ciblait 65 000 personnes à travers le Canada, les États-Unis et l’Europe. Les patients visés montraient des problèmes de poids, d’humeur, de retard intellectuel ou de trouble de l’attention.

Du lot, les chercheurs de l’Université McGill ont réussi à trouver cinq cas d’effacement du facteur neurotrophique du cerveau, ce qui vient confirmer leur théorie.

Bien entendu, vu le nombre de cas limités, on comprend qu’il s’agit d’un phénomène rare.