Les enfants nés après 1991 entrent directement dans l’ère des communications, de la collaboration, de la connexion et de la créativité. Voilà pourquoi on les appelle la génération C.
Donc, dans cette optique, la communication est la voie la plus adéquate pour affirmer son autorité auprès d’eux. Selon plurielles.fr, les mêmes valeurs de base demeurent, soit les interdits, les limites et les règles à respecter. Cependant, la clé de l’autorité, aujourd’hui, se base sur l’explication du refus.
Le piège à éviter, c’est l’extrême. On ne doit pas oppresser l’enfant, mais il ne faut pas jeter l’éponge non plus. Le secret, c’est de commencer alors que l’enfant est jeune, quoiqu’il n’est jamais trop tard pour réajuster le tout.
Les parents, en couple ou séparés, doivent eux aussi communiquer afin d’offrir une constance à l’enfant. Si l’un dit non pour une raison, l’autre doit suivre.
Ensuite, il faut tenir son point de vue. C’est là, bien souvent, que le parent abandonne, plie, se ramollit. Mais il faut éviter à tout prix de céder.
L’importance primordiale, dans le processus d’autorité, c’est de faire comprendre et ressentir à l’enfant qu’on lui fait confiance et qu’il est aimé inconditionnellement. Le reste est une discipline, souvent plus difficile pour le parent que pour l’enfant.