Vous connaissez le dicton : « Nous sommes ce que nous mangeons » et bien il n’aura jamais eu autant de sens que dans le Livescience. Le site américain rapporte en effet deux études, américaine et hollandaise, sur l’épigénétique (changement de gènes lié à l’environnement0.
On constate que ce que nous mangeons peut modifier notre ADN, y compris celui des futurs petits-enfants.
Par exemple, lors de la Seconde Guerre mondiale, il y a eu une grande famine en Hollande. Les enfants nés par la suite étaient plus intolérants au glucose et plus sujets à développer des maladies cardiovasculaires, et ce, en raison de la sous-alimentation de leur mère.
Nous savions déjà que l’alimentation de la future mère influençait le fœtus. Seulement, les chercheurs ignorent encore comment expliquer le fait que les caractéristiques génétiques résultantes de l’alimentation puissent se transmettre de génération en génération.
Mais ces deux études prouvent par contre que ce que nous mangeons a une influence directe sur notre santé et notre physique, ainsi que sur celle de nos descendants.
Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net