Translational Psychiatry vient de présenter une étude s’interrogeant encore une fois la possibilité d’un gène du bonheur. Il semble qu’un enfant présentant un gène « plus triste » en viendrait quand même à voir les choses du bon côté si son éducation se fait dans l’amour et l’harmonie.
Parmi 1900 enfants présentant une variation génétique qui les prédisposait à avoir de plus faibles taux de sérotonine au cerveau, ceux qui vivaient avec des parents positifs ont eu plus tendance à maintenir des émotions heureuses.
Rappelons-nous qu’un faible taux de sérotonine cérébral peut mener à une humeur plus sombre. Ainsi, ceux qui étaient prédisposés à ce type d’humeur, mais qui n’avaient pas reçu le soutien parental mentionné, avaient démontré moins d’émotions positives que les autres.
On reconnaît donc que le rôle parental est primordial. Si notre enfant a un tempérament plus difficile, l’éducation parentale peut faire toute la différence.