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La génétique permet désormais de créer des bébés presque parfaits

Qu’en serait-il si vous pouviez choisir les traits de votre futur enfant, la couleur de ses cheveux et de ses yeux, ses talents et ses habiletés naturelles? Le feriez-vous, demande Parentsociety.com.

Si cela ressemble à de la science-fiction, ce n’en est pas. La science y est presque. Désormais, il est possible pour les parents de choisir le sexe de l’embryon et de vérifier les défectuosités génétiques. Ainsi, vous pouvez « effacer » les prédispositions au diabète, aux maladies cardiaques ou encore au cancer.

Lors de la formation des embryons in vitro, s’il y a détection de ces précurseurs génétiques, les médecins spécialistes peuvent remplacer l’ADN. On appelle ce procédé la thérapie des cellules germinales.

Ces nouvelles possibilités engendrent de nombreuses questions, notamment quant à l’éthique de la science. Il s’agit ni plus ni moins de manipuler la génétique dans le but de créer des êtres supérieurs, parfaits.

Pour le directeur général du Center for Genetics and Society, Richard Hayes, il n’est pas question d’utiliser ces possibilités dans un but esthétique. Sinon, on se prend « pour Dieu », et leur objectif consiste à permettre des enfants plus en santé.

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Encore une percée vers le traitement de la calvitie

On vous parlait récemment de cette percée en recherche d’un traitement contre la calvitie, alors que des chercheurs étaient parvenus à créer une « racine de cheveu » en laboratoire.

Or, il semble que cette lancée fasse des petits, et que la quête d’un traitement de la calvitie n’ait jamais semblé aussi encourageante. Une nouvelle percée est en effet rapportée par le Daily Mail (UK), notamment, et semble donner de l’espoir aux chercheurs qui travaillent à la résolution de ce problème qui touche tant d’hommes dans le monde.

Ce sont des chercheurs de l’Université de Pennsylvanie, menés par le Dr Xiaowei Xu, qui affirment avoir franchi un pas important dans la restructuration cellulaire des cheveux et qui publient leurs observations dans le magazine Nature Communications.

« C’est la première fois que quiconque parvient à créer un nombre important de cellules souches épithéliales, qui sont capables de générer […] la composante des follicules capillaires », lance le Dr Xu.

Ce dernier et son équipe poursuivront maintenant leurs recherches sur le sujet, et tenteront d’adapter un traitement initial pour entamer des essais sur des sujets humains.

Manifestement, il y a donc plus d’espoir que jamais pour les hommes souffrant de calvitie, un phénomène qui se transmet de génération en génération. 

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Un test génétique pour choisir le bon régime

Il y a tant de régimes miracles sur le marché et tant de témoignages différents pour chacun d’eux qu’il est devenu difficile de savoir à quel saint se vouer et quelle diète sélectionner.

Or, selon MedicalNewsToday, un nouveau test génétique pourrait faire son apparition et permettre aux consommateurs de connaître précisément quel type de régime serait le plus pertinent à leur métabolisme.

Publiant une recherche sur le sujet dans le magazine Cell Metabolism, les chercheurs Sean Curran et Shanshan Pang affirment avoir identifié une série de gènes qui permettent à l’organisme de s’adapter au type d’alimentation proposé.

Ces mêmes gènes indiqueraient par le fait même quel régime alimentaire serait le plus adéquat pour un individu donné, réglant définitivement la guerre des régimes et la confusion qui s’y rattache.

« Ces études ont révélé qu’une seule mutation d’un gène peut altérer la capacité de l’organisme à utiliser une diète spécifique. Chez les humains, de petites différences dans la génétique d’une personne […] peuvent expliquer pourquoi certaines diètes fonctionnent pour certaines personnes et pas pour d’autres », résume Sean Curran.

Une théorie qui abonde dans le même sens que celle proposée par plusieurs observateurs, spécialistes et utilisateurs de régimes, et qui profite d’une logique quasi à toute épreuve : une seule solution ne peut s’appliquer à tous les humains, vu la complexité de l’homme.

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Une autre étape de franchie vers le traitement de la maladie de Parkinson

Il semble qu’un nouveau traitement préliminaire contre la maladie de Parkinson en soit aux dernières étapes de test, et son efficacité démontrée jusqu’ici semble ravir les chercheurs à la tête du projet, selon The National Library of Medicine.

Le traitement, baptisé ProSavin, fonctionnerait par le principe de thérapie génétique. Il reprogrammerait les cellules du cerveau afin de produire davantage de dopamine, un élément essentiel pour le contrôle des mouvements, selon l’équipe de spécialistes d’Oxford BioMedica, qui financent les recherches et la création du nouveau produit.

« Nous avons démontré que nous sommes en mesure d’administrer en toute sécurité des gènes dans le cerveau des patients et de créer de la dopamine, l’agent manquant chez les personnes souffrant de Parkinson », résume le meneur des recherches Kyriacos Mitrophanous.

Tous les patients de l’étude clinique auraient démontré des signes encourageants d’amélioration de leur condition, et ce, malgré le fait que tous les autres traitements offerts ne faisaient plus effet sur eux. Il s’agit donc d’une percée importante dans la quête du traitement ultime de la maladie de Parkinson.

On estime à cinq millions le nombre de personnes touchées par le Parkinson dans le monde en ce moment.

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Des chercheurs découvrent un nouveau code génétique

Des scientifiques et chercheurs ont fait la découverte d’un « nouveau » code génétique de l’ADN humain, une trouvaille incroyable, selon les informations rapportées par The National Library of Medicine.

La découverte de ce deuxième code, ou langage, de l’ADN serait celui qui indique les impacts des changements génétiques sur la santé, explique l’équipe de chercheurs de l’Université de Washington.  

« Depuis quarante ans, nous avons présumé que les changements de l’ADN affectant le code génétique affectaient seulement comment les protéines sont produites. Maintenant, nous savons que cette présomption ratait la moitié du portrait global. Le fait que le code génétique puisse écrire simultanément deux types d’information signifie que les changements qui altèrent les séquences de protéines pourraient causer des maladies en changeant les contrôles génétiques, ou même les deux mécanismes en même temps », tente d’expliquer le Dr John Stamatoyannopoulos, directeur de ces incroyables travaux.

Ces recherches pourraient changer la donne en matière de diagnostic et de traitements de plusieurs maladies, grâce à l’étude et l’analyse de l’ADN d’un sujet donné, et pourraient radicalement changer la compréhension du processus génétique.

Le tout premier code génétique avait été découvert en 1960.

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La réussite scolaire due à la génétique avant tout

L’école, les enseignants et les parents jouent un rôle important dans l’apprentissage de l’enfant, les scientifiques sont d’accord. Mais la recherche du Medical Research Council (MRC), intitulée Twins Early Development Study, ajoute une variable importante.

Ce sont 11 000 jumeaux de 16 ans qui ont participé à la recherche. L’objectif consistait à la comparaison de l’influence environnementale et des intervenants versus la génétique. Les résultats ont démontré que la génétique, dans 58 % des cas, était attribuable à la réussite scolaire, contrairement à 29 % pour l’environnement.

« Notre recherche démontre la différence dans la facilité d’apprentissage d’un élève à un autre », explique Nicholas Shakeshaft, l’un des chercheurs, rapporte Science World Report.

« Cela ne signifie pas que la génétique explique 60 % de la performance d’un individu, mais plutôt que la génétique explique 60 % des différences entre les individus », ajoute Shakeshaft.

Ainsi, l’hérédité et l’environnement sont complémentaires. « Si l’environnement d’apprentissage change, le facteur héréditaire peut également être appelé à changer et modifier la réussite scolaire. »

Les résultats ont été publiés dans la revue PLoS One.

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La thérapie génétique très prometteuse dans la lutte à la leucémie

La thérapie génétique fait les manchettes médicales depuis quelques années, notamment pour ses présumées capacités presque sans fin en matière de traitement du cancer.

Et spécialement en ce qui a trait à la leucémie et aux cancers du sang, croient des chercheurs américains, alors qu’une équipe basée à Seattle publie une étude qui fait foi des avancées spectaculaires dans le domaine de la thérapie génétique.

Cette dernière est définie comme « la capacité à reprogrammer une cellule (cellule T) d’un individu afin qu’elle attaque les cellules cancérigènes », et permettrait de traiter certains types de cancer dans un avenir rapproché, selon ces informations rapportées par The National Library of Medicine.

« C’est très excitant. Vous pouvez prendre une cellule qui appartient à un patient et la manipuler de façon à ce qu’elle devienne une cellule d’attaque », confirme le Dr Janis Abkowitz, de l’Université de Washington à Seattle.

Mais les résultats sont peut-être déjà à nos portes, puisque l’on recense plusieurs centaines de cas de patients qui ont déjà testé la thérapie génétique comme ultime ressource… et dont une grande partie se retrouve maintenant en rémission.

On croit, selon certains spécialistes, que des essais cliniques officiels pourraient s’entamer d’ici 2016, selon les différentes décisions gouvernementales, et ainsi paver la voie à une hausse statistique des cas de rémission. 

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Des chercheurs parviennent à introduire de nouveaux gènes sains chez des souris

Bienvenue à Gattaca aurait aussi bien pu être le titre de cet article, puisque ceux qui se souviennent du film qui mettait en vedette Ethan Hawke il y a plusieurs années risquent de très bien comprendre ce qui suit.

ScienceWorldReport rapporte en effet que des chercheurs seraient parvenus, selon leur propre rapport publié dans le journal FASEB, à modifier le destin génétique de rongeurs en introduisant de nouveaux gènes sains, corrigeant ainsi les défauts présentés par toute une génération et ses suivantes.

En clair, l’équipe de chercheurs, dont fait partie Anil Chandrashekran, aurait réussi à corriger des travers génétiques permettant d’assurer un meilleur avenir aux descendants d’une lignée, pavant ainsi la voie au retrait et au traitement de certaines maladies graves.

« La technologie transgénique est l’un des plus importants outils pour la recherche contre toutes sortes de maladies retrouvées chez les humains et les animaux, et pour mieux comprendre certains problèmes cruciaux en biologie », explique Chandrashekran.

Bien entendu, ce qui s’avère une grande nouvelle pour les uns sera scandaleux pour les autres, et on peut maintenant s’attendre à ce que le débat concernant les manipulations génétiques soit à son plus fort au cours des prochaines années… probablement avec raison.

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L’obésité infantile serait due à 3 principaux facteurs

Le gène de l’obésité est un facteur de plus en plus concluant lorsqu’on parle de surpoids, selon une récente étude. Il serait présent surtout chez les adultes, mais chez les enfants aussi, surtout les fillettes. Il porte les gens à trop manger, parce que cela les fait « se sentir mieux ».

Le coupable est un gène qui agit sur la satisfaction de la récompense. Il peut être relié à 3 facteurs : les prédispositions génétiques, le stress environnemental et le bien-être émotionnel.

Les responsables de la recherche, Dre Patricia Silveira et Dr Robert Levitan, respectivement de l’Université McGill et de l’Universié de Toronto, ont déclaré dans un communiqué : « En d’autres termes, l’obésité est liée à la génétique, au développement précoce et aux circonstances environnantes ».

Les tests effectués ont porté sur 150 enfants de 4 ans. Parmi ceux-ci, certaines mères avaient souffert de dépression ou de pauvreté pendant et/ou après la grossesse. Leurs enfants ont été suivis de la naissance à l’âge de 10 ans.

C’est en soumettant les enfants à divers éléments de récompense alimentaire et en tenant compte des facteurs génétiques, de croissance et d’environnement que les chercheurs en sont venus à cette conclusion.

Vous pouvez lire les détails sur le site de Science World Report.

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La dépression affecterait directement les cellules

Une nouvelle étude hollandaise révèle que les cellules sont directement affectées à la suite d’une dépression nerveuse, rapporte le Daily Mail (UK).

Les chercheurs affectés à cette nouvelle recherche ont observé les transformations observables sur les structures cellulaires appelées télomères, et les impacts subséquents sur la santé et l’organisme des individus découlant de la dépression.

L’équipe hollandaise conclut que la dépression ne fait pas que laisser des traces sur le plan psychologique, mais qu’elle contribue au vieillissement prématuré des cellules, et donc du corps.

L’étude, qui analysait plus de 2400 cas, remarque une accélération du processus de vieillissement des cellules, ce qui pourrait se traduire par une moyenne de quatre à six ans.

Les résultats de cette recherche, par ailleurs publiée dans le magazine Molecular Psychiatry, amènent les spécialistes à s’inquiéter du phénomène, et ils rappellent qu’il est important d’être vigilant afin d’éviter de sombrer dans une dépression.

Une surcharge de travail, une mauvaise alimentation, un manque de luminosité, une épreuve difficile ou des troubles du sommeil, entre autres, sont autant de facteurs qui peuvent mener à la dépression. On suggère d’être à l’écoute de son corps et de ses besoins, et de ne pas hésiter à consulter lors de l’apparition des premiers symptômes d’une dépression ou de troubles de l’humeur.