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Le « gène de jouvence » pourrait accélérer le processus de guérison

Le Daily Mail (UK) rapporte une découverte effectuée par des chercheurs de la prestigieuse Université Harvard, et qui pourrait s’avérer le premier pas vers une véritable révolution en matière de santé.

Les chercheurs en tête de l’étude, d’ailleurs publiée dans le journal scientifique Cell, annoncent qu’ils sont parvenus à identifier le « gène de jouvence », le Lin28a, qui permet de régénérer les cellules et les tissus plus rapidement, à l’image de certains jeunes animaux.

C’est d’ailleurs en se basant sur les capacités de régénération accrue de certains jeunes mammifères que les chercheurs de Harvard ont cherché à savoir si la propriété génétique en question pouvait être identifiée et reproduite.

Il semble que oui, avec l’annonce de la découverte du gène Lin28a, hautement actif chez les bébés qui ne sont pas encore nés, et qui s’amenuise rapidement avec l’âge.

« Pourquoi certains animaux peuvent régénérer complètement leurs organes alors que d’autres ne peuvent pas est l’un des plus anciens mystères de la biologie. Nos recherches soutiennent l’idée que le système de récupération des tissus chez les mammifères peut être grandement amélioré en réactivant les gènes observables chez les plus jeunes », explique George Daley, impliqué dans ces travaux d’avant-garde.

On croit maintenant être possiblement en mesure de créer un médicament qui permettrait une meilleure capacité de guérison et de réparation des tissus chez l’homme.

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Traitement de l’Alzheimer : une prédiction futuriste étonnante

Le Daily Mail (UK) rapporte une prédiction stupéfiante en matière de traitement éventuel de la maladie d’Alzheimer, une nouvelle qui a de quoi semer l’optimisme chez les spécialistes, les chercheurs, les patients et la population vieillissante, si elle s’avère fondée.

Selon des chercheurs de l’Université Cardiff, Julie Williams en tête, il serait possible dans un avenir rapproché de mettre au point un traitement sous forme de vaporisateur nasal qui échangerait et ajouterait des gènes en santé chez le patient qui l’utilise.

Quels gènes? À commencer par les 11 identifiés dans cette recherche, la même qui mène à cette prédiction quasi historique. Cette dernière se base sur le travail de 180 chercheurs basés dans 15 pays différents, et qui concluent conjointement à l’existence de 11 autres gènes qui augmentent les risques de développement de la maladie d’Alzheimer, portant le total à 21.

Williams, directrice de la recherche, résume : « Ce qui nous a surpris le plus est le schéma très fort qui montre l’implication de plusieurs gènes menant à la démence. Chaque gène individuel apporte un risque faible, mais quand on place toute l’information ensemble, ils (les gènes) nous racontent une intéressante et nouvelle histoire. Ça nous mène dans une nouvelle direction ».

Encore une fois, la réponse semble bel et bien se trouver dans l’analyse génétique, et Julie Williams croit qu’il est raisonnable de croire à un traitement de l’Alzheimer d’ici les dix prochaines années.

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Les troubles comportementaux et les gènes

Alors que nous avons tendance à pointer du doigt les parents pour le caractère de leurs enfants, il semblerait qu’ils soient en effet responsables, mais génétiquement.

Les chercheurs de l’Oregon State University ont conclu, à la suite d’une étude sur les troubles comportementaux, que certains enfants étaient génétiquement prédisposés à avoir plus de problèmes que d’autres, et qu’il faut cesser de présenter uniquement les erreurs parentales.

De plus, la socialisation en centre de la petite enfance n’y serait pour rien, malgré ce que certains parents semblent croire.

Les chercheurs ont recueilli des données à partir de 233 familles et ont constaté que les parents ayant un haut taux d’émotions négatives et une pauvre maîtrise de soi étaient plus susceptibles d’avoir des enfants luttant avec des problèmes de comportement. Le même lien a été fait chez les enfants adoptés et leurs parents biologiques, malgré que ces derniers ne les aient pas élevés.

Selon l’auteure principale de la recherche publiée dans l’International Journal of Behavioral Development, la Dre Shannon Lipscomb, « nous pouvons cesser de nous inquiéter à croire que tous les enfants vont développer des problèmes de comportement dans les établissements préscolaires, parce que c’est en effet un sujet de préoccupation. Certains enfants avec cette prédisposition génétique pourraient cependant être plus en mesure de gérer leur comportement dans un contexte comme le milieu familial ou dans un plus petit groupe ».

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Connaissez-vous le syndrome de Martin et Bell ou de l’X fragile ?

Hier (10 octobre) se tenait la journée européenne de sensibilisation d’un syndrome appelé « X Fragile » ou « syndrome de Martin et Bell », rapporte Top Santé.

Le syndrome, qui toucherait un garçon sur 1000 et une fille sur 9000, est largement méconnu du grand public et mérite qu’on lui accorde de l’attention, croient les experts.

L’une des raisons qui expliquent cette méconnaissance est l’absence ou la subtilité des symptômes liés à la maladie. C’est d’ailleurs pourquoi un grand nombre de parents ne découvrent le problème chez leur enfant qu’à l’âge de l’apprentissage, où certains retards peuvent se manifester.

Le syndrome de Martin et Bell ou de l’X fragile tient son nom de la faiblesse observable au niveau du chromosome X chez le patient qui en souffre, et se caractérise par l’absence d’une protéine qui s’avère nécessaire au fonctionnement « normal » du cerveau humain.

Les spécialistes espèrent que cette journée de sensibilisation permettra à plus de gens de découvrir et de mieux comprendre le syndrome, dépisté par un test génétique.

Un film extrêmement touchant est par ailleurs proposé pour faire la lumière sur ce syndrome, intitulé Mission To Lars. Ce dernier raconte l’histoire de Tom Spicer et de son rêve ultime : rencontrer le batteur de Metallica, Lars Ulrich.

Voyez un extrait de Mission To Lars.

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Des chercheurs découvrent le « gène du couple »

Des chercheurs californiens affirment avoir fait une découverte qui permet d’expliquer pourquoi certaines personnes semblent plus douées pour vivre en couple, mais surtout en harmonie.

Si l’on se fie aux conclusions rapportées par le Daily Mail (UK), il semble que cela ait bien peu à voir avec le compromis ou encore la volonté, mais plutôt avec notre bagage génétique.

En effet, les chercheurs de l’Université de la Californie et de Berkeley, en collaboration avec l’Université Northwestern, tracent un parallèle entre le bonheur en amour et un gène appelé 5-HTTLPR. Ce dernier serait la clé d’un mariage heureux, selon la longueur de ses variantes.

Les chercheurs ont remarqué que les couples qui présentent des variantes plus courtes de ce gène semblent plus malheureux en amour que ceux qui présentent des variantes plus longues, une logique qui semble implacable pour Robert W. Levenson, un psychologue qui dirige l’étude.

« Avec ces nouvelles découvertes génétiques, nous comprenons maintenant beaucoup mieux ce qui détermine à quel point les émotions sont différentes pour chaque personne. Nous pouvons même affirmer que le bonheur conjugal est lié à la génétique. Deux personnes ayant des gènes 5- HTTLPR courts sont plus susceptibles de s’épanouir dans un mariage porté par des relations positives et souffriront dès que les relations se détérioreront. En revanche, les personnes ayant un ou deux gènes longs sont moins sensibles au climat émotionnel et supportent mieux les conflits et les relations négatives », explique Levenson, dans des propos également rapportés par Top Santé.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la plus récente édition du magazine Emotion.

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Le style de vie influence bel et bien notre ADN

Bien que plusieurs études et recherches avaient précédemment indiqué ce fait, une nouvelle publication confirme les impacts de nos choix de vie sur notre bagage génétique, selon Santé Log.

Cette plus récente étude allemande, parue dans le magazine Human Molecular Genetics, associe plusieurs comportements à des maladies découlant justement d’un changement sur le plan moléculaire.

Le tabagisme, le type d’alimentation, l’exercice physique, tous des facteurs connus depuis bien longtemps, qui s’avèrent capables de « modifier » notre ADN et de paver la voie à certaines maladies graves, comme le cancer ou le diabète notamment.

Sans modifier les gènes, l’hygiène et le style de vie provoqueraient certaines altérations qui sont visibles par l’équipe de chercheurs en tête de l’étude, ce qui confirme de façon convaincante les précédentes théories avancées par la communauté scientifique.

En contrepartie, ces découvertes permettent également d’en savoir plus sur de nouvelles possibilités de traitement cellulaire, le revers positif d’une médaille inquiétante.

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L’amour par l’odeur, une nouvelle étude le confirme

L’amour au premier… reniflement? Voilà ce que titre judicieusement le Daily Mail (UK) en rapportant une nouvelle étude qui confirme l’impact de l’odeur sur l’attirance entre hommes et femmes.

Attention, on ne parle pas nécessairement ici d’odeur corporelle ou d’hygiène, bien que plus qu’appréciée, mais plutôt « d’odeur génétique ».

On entend par là, et ceci concerne surtout la femme si l’on se fie aux données rapportées, que les futurs partenaires sont capables de détecter l’odeur subliminale du bagage génétique l’un de l’autre et ainsi de déterminer de façon subconsciente si celui-ci fera un bon géniteur.

C’est ce qu’avance le professeur Daniel Davis dans son plus récent livre, The Compability Gene, qui accorde aux femmes un sixième sens très développé pour ce genre de choses.

Le membre de l’Université de Manchester se base également sur une expérience menée en Suisse, une recherche baptisée « expérience du t-shirt ».

On demandait à des hommes de porter le même t-shirt pendant deux jours, en évitant tout contact avec quoi que ce soit qui pourrait altérer leurs odeurs naturelles. Puis, on plaçait les chandails dans des boîtes et on demandait à un groupe-test composé de femmes de les « renifler » et de choisir un partenaire en se basant sur cette seule facette.

Résultat? Les femmes volontaires ont presque systématiquement choisi les hommes avec lesquels elles pourraient concevoir des enfants possédant un avantage génétique évident!

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Percée majeure dans la compréhension du cancer et de son développement

Plusieurs spécialistes croient qu’il est possible d’améliorer les statistiques de guérison et de rémission de cancer grâce à des méthodes de traitements personnalisées et adaptées à chaque cas.

Une nouvelle recherche, rapportée par Santé Log, dévoile des découvertes fascinantes en matière de fonctionnement et de développement du cancer, lesquelles mènent à des conclusions qui abondent dans le même sens.

L’étude d’envergure mondiale produite par le Wellcome Trust analyse les mutations et les comportements génétiques de plus de 30 cancers dits « communs ». Cela permet de constater que ces mutations sont non seulement complexes, mais qu’elles peuvent aussi s’expliquer par plusieurs facteurs différents.

On comprend maintenant mieux que le cancer est une véritable mutation du bagage génétique, pavant ainsi la voie à de meilleures avenues de traitement.

C’est du moins ce que croient plusieurs experts, qui dévoilent leurs théories et leurs trouvailles dans ce long rapporté publié par le magazine Nature.

On se rend compte, malgré une compréhension bien plus grande du phénomène, que le cancer est un mal énigmatique et qu’il s’explique par plusieurs raisons. La découverte de 21 signatures génétiques, mentionnées dans le rapport permet d’élargir les horizons et de croire en des traitements plus efficaces d’ici peu.

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Une nouvelle recherche, rapportée par Santé Log, dévoile des découvertes fascinantes en matière de fonctionnement et de développement du cancer, lesquelles mènent à des conclusions qui abondent dans le même sens.

L’étude d’envergure mondiale produite par le Wellcome Trust analyse les mutations et les comportements génétiques de plus de 30 cancers dits « communs ». Cela permet de constater que ces mutations sont non seulement complexes, mais qu’elles peuvent aussi s’expliquer par plusieurs facteurs différents.

On comprend maintenant mieux que le cancer est une véritable mutation du bagage génétique, pavant ainsi la voie à de meilleures avenues de traitement.

C’est du moins ce que croient plusieurs experts, qui dévoilent leurs théories et leurs trouvailles dans ce long rapporté publié par le magazine Nature.

On se rend compte, malgré une compréhension bien plus grande du phénomène, que le cancer est un mal énigmatique et qu’il s’explique par plusieurs raisons. La découverte de 21 signatures génétiques, mentionnées dans le rapport permet d’élargir les horizons et de croire en des traitements plus efficaces d’ici peu.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Nouvelle percée pour le diabète de type 2

Parus dans le journal Diabetes, les résultats d’une récente étude, financée en partie par des subventions de recherche de l’Association canadienne du diabète et des Instituts de recherche en santé du Canada, donnent espoir.

Le Dr Alexey Pshezhetsky, du Centre de recherche du CHU Sainte-Justine, a découvert que l’absence d’une certaine protéine, la NEU1, expliquerait notamment la résistance à l’insuline chez les diabétiques de type 2.

Cette percée pourrait contribuer à prévenir cette maladie, alors que le nombre de gens affectés ne cesse de grandir.

« Nous avons découvert que Neu1, une protéine surnommée ainsi d’après son nom “neuraminidase 1”, a pour rôle d’activer ou de désactiver l’absorption du glucose par les cellules du corps, en régulant l’acide sialique qui se forme à la surface des cellules », dit le Dr Pshezhetsky.

« Nous essayons maintenant de trouver un moyen de rétablir les niveaux de Neu1 et sa fonction dans le diabète. Si nous parvenons à éliminer les résidus d’acide sialique de la surface des cellules, les récepteurs de l’insuline seront forcés à absorber le glucose adéquatement. Cela pourrait donner aux médecins la possibilité de réduire le recours au traitement à l’insuline et contribuer à réduire l’épidémie de diabète », explique le Dr Pshezhetsky.

Pour le moment, seuls un régime alimentaire adapté, de l’exercice et l’arrêt du tabagisme font figure de traitement, à part bien sûr les injections d’insuline si le reste ne fonctionne pas.

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L’altruisme serait meilleur pour la santé et les gènes que l’égocentrisme

Voici une recherche plus qu’intéressante proposée par The National Library of Medicine, initialement publiée par un groupe de chercheurs américains.

L’équipe californienne a en effet tenté de déterminer les effets de nos actions sur la santé et la génétique, en analysant les comportements de 80 personnes, divisées en deux groupes.

Le premier groupe comprenait les individus en quête d’une vie remplie de sens, d’altruisme et de générosité. Le deuxième groupe, on le devine, comprenait plutôt des gens plus égocentriques, à la recherche d’un plaisir et d’une gloire bien plus personnelle.

Les résultats, publiés dans la version web du magazine Proceedings of the National Academy of Sciences, sont étonnants.

Les sujets du premier groupe ont démontré une réponse des gènes qui se caractérise par une action des cellules immunitaires! On note moins de gènes « inflammatoires », et une exubérance des gènes antiviraux et protecteurs de l’organisme. Le contraire a aussi été observé chez le deuxième groupe.

« Les deux groupes semblaient profiter des mêmes niveaux d’émotions positives. Par contre, les génomes répondaient de façon très différente, malgré des états émotionnels relativement semblables et positifs. Le génome humain est beaucoup plus sensible aux différentes façons d’atteindre le bonheur que nos esprits conscients », résume Steven Cole, professeur à l’Université de Californie.

Incroyable!