Catégories
Uncategorized

Le saumon génétiquement modifié, bientôt dans une assiette près de chez vous

Radio-Canada rapporte une nouvelle alimentaire qui fera sursauter les puristes et les plus complotistes de ce monde.

On apprend l’apparition d’un saumon génétiquement modifié, en provenance du Panama, qui commence à passer du rêve à l’assiette dans certains endroits, ce qui inquiète plusieurs observateurs.

Mine de rien, il s’agirait du premier animal génétiquement modifié connu à se retrouver véritablement dans notre système alimentaire, un fait qui n’est pas à négliger.

Le poisson modifié peut atteindre sa taille normale deux fois plus vite, mais il vieillit aussi deux fois plus rapidement. Des données qui donnent froid dans le dos pour plusieurs, à commencer par le journaliste Étienne Leblanc.

« Puisque c’est un poisson carnivore et un poisson qui grandit plus vite, il devra aussi être nourri beaucoup plus rapidement, avec davantage d’autres poissons qui auraient pu nourrir des populations », lance Leblanc, qui voit ici la nouvelle dans son ensemble.

Le « projet » attend l’aval des autorités américaines de la santé (FDA), une autorisation qui est bien loin d’être assurée pour le moment.

Catégories
Uncategorized

Les raisins à la défense de votre coeur

Medical News Today rapporte une étude publiée dans le Journal of Nutritional Biochemistry qui vante les bienfaits des raisins sur le cœur.

Les chercheurs américains, basés à l’Université du Michigan, ont identifié un processus remarquable de défense du cœur initié par certains aliments, notamment le raisin.

Ce dernier permet une réponse défensive de l’organisme, dans ce cas-ci le cœur, par la stimulation de gènes responsables de la production d’antioxydants.

Déjà connu pour sa forte teneur en antioxydants et en polyphénols, le raisin favoriserait donc une réponse particulièrement intense de la part du cœur.

L’ajout de raisins à l’alimentation de certaines personnes souffrant de haute pression et de troubles cardiaques permettrait ainsi de mieux prévenir d’éventuels accidents cardiovasculaires.

« Nos études précédentes démontraient les effets protecteurs des raisins sur le cœur, mais nous ne connaissions pas le mécanisme. Grâce à cette étude, qui démontre l’influence génétique des raisins sur l’organisme et sa défense, on prouve que ceux-ci fonctionnent à de multiples niveaux pour produire cet effet bénéfique », résume E. Mitchell Seymour, qui participe à l’étude.

Catégories
Uncategorized

Les migraines chroniques démystifiées grâce à la génétique

Il aura fallu qu’une chercheuse soit elle-même victime de migraines chroniques pour qu’elle se penche sur le dossier de façon sérieuse, et qu’on découvre finalement une explication logique et rationnelle à ce mal qui afflige tant de gens.

Il s’agit d’Emily Bates, explique Top Santé, qui fera certes figure d’héroïne pour toutes les personnes qui subissent de violents maux de tête fréquents.

Basée à l’Université de l’Utah, Bates aurait réussi à cerner le gène fautif et responsable de la migraine, le CKIdelta.

Le CKIdelta joue un rôle primordial pour le cerveau, mais aussi sur le déclenchement des migraines. Bien qu’il ne s’agisse que du début de la solution, la chercheuse américaine a bon espoir de pouvoir aider les gens qui sont dans sa condition dans un avenir rapproché.

« J’ai souffert de cette forme de migraine particulièrement invalidante depuis que je suis petite : des maux de tête qui s’accompagnent de nausées, de troubles de la vision et qui peuvent me laisser sur la touche pendant une journée. La découverte de ce gène pourrait ouvrir la voie à de nouvelles recherches pour trouver des traitements capables de changer le quotidien des personnes qui souffrent de migraine », résume Emily Bates.

Catégories
Uncategorized

Le poisson-zèbre vient en aide aux humains

Top Santé révèle des études qui dévoilent des faits étonnants concernant le poisson-zèbre, qui pourrait bien venir en aide aux humains sans le savoir.

C’est qu’on attribue à ce poisson des caractéristiques qui permettraient de mieux comprendre certains phénomènes et le développement de certaines maladies chez l’humain, notamment grâce à un génome presque identique à celui de l’homme.

En fait, on estime que le génome du poisson-zèbre est à 70 % similaire au nôtre, selon la plus récente recherche publiée dans la revue Nature.

Les conclusions proviennent de chercheurs de l’Université de Cambridge, qui révèlent que plusieurs chercheurs à travers le monde travaillent déjà avec le poisson-zèbre dans leurs travaux.

Le poisson-zèbre, originaire de l’Inde, serait particulièrement efficace dans la compréhension des maladies génétiques.

« L’idée est d’utiliser un organisme modèle comme le poisson-zèbre pour essayer de voir exactement ce que ces gènes font (…), de passer en revue chaque gène du génome et de regarder ce qu’une perte de fonction provoque chez le poisson », résume le chercheur Ross Kettleborough.

Catégories
Uncategorized

La génétique permettrait d’améliorer le traitement contre le neuroblastome chez les enfants

Des chercheurs ont analysé 600 échantillons de cellules de neuroblastome, un cancer pédiatrique du système nerveux très difficile à traiter. Tous ces échantillons contenaient des anomalies génétiques, et les chercheurs souhaitaient découvrir celles qui seraient le plus susceptibles de répondre à un nouveau type de traitement, appelé inhibiteur de bromodomaine BET.

Les cellules qui répondaient le mieux au traitement étaient celles qui avaient une amplification d’un gène appelé MYCN. Cette découverte pourrait mener à des études où les jeunes patients atteints de neuroblastome passeraient des tests génétiques pour détecter s’ils possèdent cette amplification.

« Le neuroblastome est un cancer pédiatrique dévastateur, et seulement une minorité d’enfants qui souffrent de la forme agressive peuvent être traités avec les médicaments habituels. Des recherches précédentes ont déjà prouvé que l’amplification du gène MYCN est commune dans le neuroblastome », a expliqué l’auteure de l’étude, la clinicienne Kimberly Stegmaier, selon Science Daily.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la revue médicale Cancer Discovery.

Catégories
Uncategorized

Les gènes auraient un rôle important à jouer dans l’autisme

Selon une nouvelle étude, une régulation fautive de deux gènes spécifiques, NHE6 et NHE, serait présente chez les enfants avec un trouble dans le spectre de l’autisme (TSA), alors qu’elle est absente des autres.

Les chercheurs ont été surpris de cette découverte, puisqu’au départ, l’étude portait uniquement sur des formes d’autisme très rares et très sévères, mais ils ont réalisé que ce problème de régulation semblait commun à tous les TSA.

« Ces gènes jouent un rôle, pas seulement dans les formes d’autisme rares, mais aussi dans la pathologie générale du trouble. Pour ce qui est du TSA, les gens tendent à se sentir dépassés, parce qu’il y a des centaines de gènes différents qui sont peut-être en cause. Mais l’important reste de trouver des points de convergence, où il existe des points de rencontre entre les différentes formes », a expliqué l’auteur, Dr Eric Morrow, cité par Science Daily.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue Molecular Psychiatry.

Catégories
Uncategorized

La thérapie génétique prometteuse en cardiologie

Une étude préliminaire dresse un portrait optimiste d’une nouvelle thérapie génétique, notamment en ce qui concerne les traitements de cardiologie, rapporte The National Library of Medicine.

Ce qui semblait être de la science-fiction il n’y a pas si longtemps serait sur le point de se concrétiser. En effet, les chercheurs sont persuadés de pouvoir bientôt réparer les muscles et les tissus d’un cœur endommagé, et ainsi préparer le terrain à de nouveaux types de traitements de cardiologie.

On cherche à pousser et encourager les capacités de l’organisme à se régénérer de lui-même, grâce à la thérapie génétique. Cette dernière fonctionne de manière à « attirer » les cellules souches déjà existantes chez l’être humain vers le cœur, plus précisément vers les parties endommagées.

Bien que l’étude ne parle que de résultats préliminaires, les chercheurs croient pouvoir atteindre leur objectif dans un avenir rapproché.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans l’édition du 21 février du journal Circulation Research.

Catégories
Uncategorized

Certaines mutations génétiques sont liées à une récidive de leucémie

Nature Genetics publie les résultats d’une étude indiquant qu’un jour, les médecins seront peut-être en mesure de déjouer la leucémie lymphoblastique, qui constitue 25 % des cancers pédiatriques.

En analysant les gènes des patients, les chercheurs pourraient arriver à identifier l’émergence de la forme de cette leucémie, qui résiste à la chimiothérapie plus rapidement chez les patients, et changer de traitement avant que la maladie revienne en force.

Lorsque la leucémie lymphoblastique survient, la moelle épinière produit trop de globules blancs. Les avancées scientifiques ont énormément amélioré le taux de guérison, qui se situe maintenant autour de 80 %, mais le pronostic est très difficile pour les 20 % des enfants qui sont résistants au traitement.

Les chercheurs ont analysé la séquence génétique de 10 enfants atteints à trois différents moments, c’est-à-dire au diagnostic, durant la rémission et lors de la récidive.

Les résultats ont montré que ces enfants avaient tous acquis de 1 à 6 mutations génétiques durant leur maladie. Un total de 20 mutations spécifiques à la récidive de la leucémie ont été identifiées, et aucune n’avait été associée au cancer auparavant, selon EurekAlert!.

Armés de ces nouvelles connaissances, les médecins croient qu’ils seront plus en mesure d’identifier les patients qui vivront une récidive et d’agir plus promptement.

Catégories
Uncategorized

Gènes reliés à l’Alzheimer et la schizophrénie présents dès la naissance

Pour l’étude menée aux États-Unis, le cerveau de 272 nouveau-nés âgés d’à peine quelques heures a été numérisé en utilisant la résonnance magnétique.

Leur ADN a également été analysé, les chercheurs ciblant particulièrement 10 variations communes dans 7 gènes qui sont liés à la structure cérébrale chez les adultes. Ces gènes sont également associés à l’autisme, la maladie d’Alzheimer, la schizophrénie, le trouble bipolaire, l’anxiété et la dépression.

Certaines variations génétiques, en particulier une qui est directement reliée à l’Alzheimer, étaient très similaires dans le cerveau des nouveau-nés et celui des adultes. Certaines autres variantes différaient chez le nouveau-né et l’adulte, ce qui veut dire qu’elles se développent plus tard dans la vie, par exemple à la puberté.

« Nos résultats suggèrent que le développement prénatal du cerveau pourrait avoir une très grande influence sur le risque de troubles psychiatriques plus tard dans la vie d’une personne », a affirmé l’auteure de l’étude, Rebecca Knickmeyer, citée par ScienceDaily.

Celle-ci a remarqué que tout un nouveau champ d’études pourrait être développé afin d’éventuellement arriver à prévenir le déclenchement de ces conditions par une intervention très tôt dans la vie des enfants à risque.

Catégories
Uncategorized

La douleur chez les enfants serait d’ordre génétique

Les chercheurs ont d’abord analysé les gènes de 168 enfants qui allaient subir une opération lourde, soit abdominale, soit des os et des tendons, ainsi que ceux de leurs parents. L’étude était particulièrement à l’affût de variantes possibles pour six gènes possiblement reliés à la douleur.

La douleur de ces enfants a ensuite été mesurée dans les 24 premières heures suivant la chirurgie. Pendant ce temps, les patients avaient un accès direct à un analgésique puissant, dérivé de la morphine.

Les enfants qui avaient une variante du gène ABCB1, qui transporte le médicament au système nerveux central, étaient 4,5 fois plus susceptibles d’éprouver un niveau de douleur élevé, tandis que ce risque était 3,5 fois plus élevé pour les enfants présentant une variante du gène OPRM.

Toutefois, les chercheurs ont constaté que même si les variantes génétiques affectaient le niveau de douleur, elles ne semblaient pas avoir d’influence sur le dosage total d’analgésique que les enfants avaient reçu. Ce dosage, puisqu’il était contrôlé par les patients eux-mêmes, était un indicateur objectif important de la douleur.

L’auteure de l’étude, la Dre Chantal Mamie, a noté que « les données suggéraient fortement que la réponse à la douleur était d’origine génétique chez les patients pédiatriques », selon Science Daily.