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Affaire Sabourin, Alec et Hilaria Baldwin pourraient témoigner

Le procès de l’actrice québécoise Geneviève Sabourin s’est amorcé hier (6 novembre) à New York. La femme de 40 ans est accusée d’avoir harcelé l’acteur américain Alec Baldwin et sa femme, Hilaria Thomas, à de nombreuses reprises.

Il est plutôt rare que ce genre de cause se retrouve devant les tribunaux. Des ententes à l’amiable surviennent habituellement. Dans ce cas précis, Sabourin a refusé en avril dernier ce type d’entente, préférant avoir à faire face à la justice.

L’actrice canadienne fait face à deux douzaines d’accusations. Elle aurait fait parvenir à Baldwin des messages textes, des courriels et des messages sur Twitter, en plus d’avoir fait irruption à la résidence du couple.

Devant le refus de Sabourin d’en venir à une entente à l’amiable, Alec Baldwin et sa femme devront vraisemblablement venir à la barre des témoins dans les prochaines semaines pour expliquer leur version des faits.

Geneviève Sabourin a rencontré pour la première fois Alec Baldwin sur un plateau de tournage en 2002. La Québécoise serait devenue obsédée par l’acteur lorsque celui-ci s’est marié à Hilaria Thomas. Le couple a eu un bébé, Carmen, le 23 août dernier.

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Alec Baldwin et Geneviève Sabourin se retrouveront en novembre

C’est le 6 novembre prochain, à New York, qu’a été fixé le début du procès dans l’affaire Alec Baldwin contre Geneviève Sabourin.

Depuis 2010, la comédienne québécoise Geneviève Sabourin est soupçonnée de harceler l’acteur américain Alec Baldwin. La femme aurait tenté de le joindre à de nombreuses reprises et se serait même rendue à la demeure de Bladwin de New York, surprenant l’acteur et son épouse, Hilaria Thomas, alors qu’ils profitaient ensemble d’une soirée dans leur cour arrière. 

De son côté, Geneviève Sabourin affirme que toute cette affaire est fausse. Elle a confié à l’AFP : « Ils n’ont pas de dossier », affirmant être la victime d’une « guerre d’épuisement » de la part du procureur pour qu’elle accepte un accord amiable.

Elle a dénoncé des mois de « torture » qui, selon elle, lui ont fait perdre sa maison au Canada et tout espoir de travailler.

Elle a également souligné que si elle acceptait l’offre du procureur, elle ne pourrait plus prétendre à des dommages et intérêts, et risquerait de ne plus pouvoir entrer aux États-Unis.

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La fanatique d’Alec Baldwin insultée

Alec Baldwin n’en a pas fini avec Geneviève Sabourin. Ce lundi (8 avril), la comédienne québécoise a refusé une entente avec la cour qui lui aurait évité la prison et un dossier criminel. Un procès pourrait débuter le 13 mai.

Selon le New York Post, Sabourin a dit : « Je trouve cette offre très insultante. J’ai épuisé toutes mes économies de retraite pour les déplacements et les dépenses légales. Je n’ai plus de maison, je suis maintenant sans-abri. Je veux qu’un jury m’acquitte afin de retrouver ma vie ».

La Québécoise s’est récemment vue obligée d’engager un nouvel avocat parce que le sien a démissionné. Maurice Sercarz aurait révélé que l’actrice lui devait de l’argent et ne suivait aucunement ses conseils professionnels.

Pendant ce temps, la femme de 41 ans continue de jouer la victime dans toute cette histoire et de dire qu’elle est injustement traitée. « J’ai été dépeinte comme une vilaine aux yeux du monde entier. On me traite comme une coupable, ça a gâché ma vie. »

Si Sabourin est encore dans de beaux draps, c’est qu’elle a violé les conditions auxquelles elle faisait face. Cette saga qui dure depuis avril 2012 ne semble pas près de se terminer.

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La fanatique d’Alec Baldwin insultée

Alec Baldwin n’en a pas fini avec Geneviève Sabourin. Ce lundi (8 avril), la comédienne québécoise a refusé une entente avec la cour qui lui aurait évité la prison et un dossier criminel. Un procès pourrait débuter le 13 mai.

Selon le New York Post, Sabourin a dit : « Je trouve cette offre très insultante. J’ai épuisé toutes mes économies de retraite pour les déplacements et les dépenses légales. Je n’ai plus de maison, je suis maintenant sans-abri. Je veux qu’un jury m’acquitte afin de retrouver ma vie ».

La Québécoise s’est récemment vue obligée d’engager un nouvel avocat parce que le sien a démissionné. Maurice Sercarz aurait révélé que l’actrice lui devait de l’argent et ne suivait aucunement ses conseils professionnels.

Pendant ce temps, la femme de 41 ans continue de jouer la victime dans toute cette histoire et de dire qu’elle est injustement traitée. « J’ai été dépeinte comme une vilaine aux yeux du monde entier. On me traite comme une coupable, ça a gâché ma vie. »

Si Sabourin est encore dans de beaux draps, c’est qu’elle a violé les conditions auxquelles elle faisait face. Cette saga qui dure depuis avril 2012 ne semble pas près de se terminer.

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La femme contre qui Alec Baldwin a une ordonnance récidive!

L’admiratrice québécoise quelque peu obsédée par Alec Baldwin a brisé l’ordonnance restrictive dont elle fait l’objet. Une fois de plus, elle a été menottée après sa parution en cour, hier après-midi (27 novembre).

Selon ce que rapporte Starpulse, Geneviève Sabourin a été incapable de s’empêcher de joindre l’acteur et sa femme par le biais de Twitter, enfreignant ainsi les conditions prescrites par la loi.

C’est en 2010 que Sabourin a été arrêtée pour la première fois. D’abord, en avril, elle était soupçonnée de harcèlement et avait été retenue sous caution.

Elle avait par la suite été accusée de harcèlement criminel envers Alec Baldwin. Elle l’avait notamment inondé de courriels et était même apparue à sa demeure de New York, surprenant l’acteur et son épouse, Hilaria Thomas, alors qu’ils profitaient ensemble d’une soirée dans leur cour arrière.

Cette fois-ci, selon le New York Daily, on ne sait pas qui défendra Geneviève Sabourin, puisque son avocat a laissé tomber la cause, sa cliente n’ayant jamais acquitté les frais de sa première parution à la cour.

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Alec Baldwin harcelé par une actrice québécoise

Une actrice québécoise a été arrêtée et accusée d’avoir harcelé l’acteur Alec Baldwin en le bombardant de courriels et de messages textes, et en se présentant même à sa résidence sans y être invitée.

Geneviève Sabourin, âgée de 40 ans, s’est présentée devant la cour de New York, hier (9 avril), pour répondre à des accusations de harcèlement sur l’acteur Alec Baldwin. Toutefois, l’avocat de l’actrice insiste sur le fait que leur relation était mutuelle.

Selon les procureurs, Baldwin a partagé un dîner avec l’accusée en 2010, en tant que « faveur pour un ami », mais il aurait par la suite été forcé de changer de numéro de téléphone parce qu’il était harcelé par l’actrice.

Sabourin, qui avait rencontré Baldwin sur le plateau du film The Adventures of Pluto Nash en 2000, a dû sortir de force du Lincoln Centre for the Performing Arts, le 5 avril dernier, où l’acteur présentait un visionnement de Last Tango In Paris.

Elle se serait également présentée, sans s’annoncer, à la demeure de Baldwin à Long Island, à New York, le 31 mars dernier.

Soulignons que les avocats de l’actrice insistent sur le fait que cette relation était « mutuelle » et qu’il y avait « des appels et des messages textes qui provenaient des deux côtés ».

Rappelons qu’Alec Baldwin s’est récemment fiancé à sa copine de 28 ans, Hilaria Thomas.

Geneviève Sabourin devra se présenter à nouveau devant la cour le 14 mai prochain.