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Les gens les plus gentils sur la planète

Ceux qui montrent le plus d’hospitalité : On parle ici de pays où il est pratiquement impossible de sourire à quelqu’un sans se faire inviter à prendre un verre ou à souper. Le top 3 : les Grecs, les Turcs et les Indiens.

Les plus accueillants : Des gens détendus, aimables et plaisants qui ont vraiment l’air content de vous voir. Est-ce que vivre sur une île serait un critère? Les Australiens, les Néo-Zélandais, les habitants de Tahiti et de Fidji, ainsi que les Terre-Neuviens.

Ceux qui voudront le plus vous aider : Là où les gens n’hésiteront pas à dévier de leur routine pour vous porter assistance ou s’assurer que vous arriverez à bon port, même si vous ne parlez pas la même langue. Les Chinois, les Indonésiens, les Irlandais, les Cambodgiens et les Japonais.

Les plus positifs : Les peuples des Caraïbes, les Thaïlandais, ainsi que les gens qui habitent l’Afrique subsaharienne.

Ceux qui essaieront de vous faire sentir bien : Dans la catégorie de ceux qui s’assureront de vous faire sourire et rire… Les Brésiliens, les Irlandais et les Italiens.

Ceux qui aiment le plus avoir du bon temps : Les Finlandais, les Irlandais et les Écossais, ainsi que les Cubains et les Dominicains.

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La gentillesse rendrait plus heureux

Ah! Le karma. Cette notion qui promet que chaque geste aura sa conséquence, que l’on récolte ce que l’on sème, et que le bien engendre le bien et le mal, le mal.

S’il s’agit d’une philosophie bien reconnue et fort véridique pour bien des gens, n’allez pas compter sur la communauté scientifique pour corroborer ce genre de théorie.

Voilà qu’à la surprise totale, certains chercheurs se sont penchés sur la variation du bonheur en fonction de nos actions, rapporte The National Library of Medicine, plus précisément l’impact de nos bonnes actions sur notre bonheur.

Ainsi, effectuer de beaux petits gestes altruistes permettrait d’être plus heureux, selon Sonja Lyubomirsky, professeure en psychologie à l’Université de Californie, qui étudie le phénomène du bonheur depuis plus de 20 ans maintenant.

Pour elle, il est clair que des actions positives engendrent des émotions tout aussi positives, et ainsi de suite. Elle précise également que le dosage de ces actions et activités est un facteur important, et une variable.

Aussi, répéter la même action finirait par atténuer son effet « bonheur ». Il faudrait donc varier nos gestes de générosité et de gentillesse, et en effectuer le plus souvent possible.

Étrangement, elle note que le meilleur rapport gentillesse/bonheur est observé chez les gens qui font une bonne action de façon hebdomadaire.

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Les enfants gentils sont plus heureux

Le journal PLoS ONE a publié les résultats d’une nouvelle étude s’attardant aux manières d’augmenter le bonheur chez des enfants âgés de 9 à 11 ans.

400 écoliers de Vancouver ont donc participé à un programme où ils devaient mesurer leur niveau de bonheur et noter des personnes de leur classe avec qui ils voudraient travailler.

Les enseignants ont ensuite demandé à la moitié d’entre eux d’accomplir des gestes gentils, par exemple de partager leur goûter ou de donner un câlin à leur mère lorsque celle-ci était stressée. L’autre moitié devait plutôt noter les endroits plaisants qu’ils avaient visités, comme le parc.

Après quatre semaines, les enfants ont évalué à nouveau leur bonheur, et ont une deuxième fois noté les camarades avec qui ils voudraient travailler. Les deux groupes d’enfants ont dit être plus heureux, mais ceux qui avaient fait des gestes gentils ont sélectionné un plus grand nombre de personnes.

L’auteure de l’étude, Kimberly Schonert-Reichl, a indiqué que l’intimidation tendait à s’intensifier à cet âge. « En demandant aux enfants de pointer les autres élèves avec qui ils aimeraient travailler, les enseignants peuvent créer un esprit d’équipe dans la classe et réduire la possibilité qu’il s’y passe de l’intimidation », a-t-elle expliqué, selon Science Daily.