george mastras

Le chanteur des Rolling Stones Mick Jagger se lance dans la production d’une série télé. Lui et le réalisateur Martin Scorsese se sont associés et livreront Vinyl en 2016.

Au départ, en 2011, le projet devait être un long métrage. Toutefois, à la suite de nombreux reports de production, l’idée a germé dans les têtes de Jagger et Scorsese et c’est finalement une télésérie d’au moins neuf épisodes qui sera livrée à HBO en 2016.

Bobby Cannavale, Olivia Wilde, Ray Romano et Andrew Clay seront de la distribution. Terence Walter (Broadwalk Empire) et George Mastras (Breaking Bad) sont parmi les auteurs.

Cette série racontera l’histoire du rock dans les années 70, à l’époque où plusieurs n’en avaient que pour le disco et autres genres musicaux semblables.

Déjà, de nombreux lieux de tournages ont été aménagés afin de ramener l’esprit des 70’s. Un ancien magasin de musique aujourd’hui disparu (Sam Goody) a notamment été érigé dans le Rough Trade de Brooklyn.

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George Mastras, une des principales plumes de Breaking Bad, adaptera le livre 90 Church, de Dean Unkefer, qui revient sur des années de lutte contre le narcotrafic.

En août 2012, les studios Universal Pictures faisaient l’acquisition des droits du succès de librairie 90 Church. Ce livre de Dean Unkefer, un ancien agent du Federal Bureau of Narcotics (FBN), revient sur une décennie d’enquête au 90 Church Street, à New York, lieu de résidence de ce qui fût l’ancêtre de la DEA (Drug Enforcement Administration).

Rupert Sanders, réalisateur de Snow White and the Huntsman (2012), prendra officiellement les commandes de cette adaptation, après s’être désengagé de nombreux projets, dont Van Helsing et Pirates of the Caribbean 5. Il sera aidé à l’écriture par George Mastras, ancien enquêteur et scénariste des cinq saisons de Breaking Bad. La dernière saison, qui se termine, est diffusée aux États-Unis sur la chaîne AMC.

90 Church explore en détail le travail des enquêteurs du FBN, en conflit hiérarchique dans les années 1960 avec le FBI. La section antidrogue, avec seulement une trentaine d’agents pour la seule ville de New York, devait affronter avec peu de moyens et des techniques parfois très violentes une mafia et des cartels aussi complexes que bien organisés. Les dérives du FBN finiront par alerter les pouvoirs politiques, qui décideront de le dissoudre en 1968.