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Croyez-vous à la Fleur de Bach pour gérer les émotions des enfants?

Selon Edward Bach, qui a découvert 38 fleurs pour répondre à autant d’émotions humaines, il est possible de régulariser nos émotions avec leur aide. Les découvertes de cet homéopathe remontent aux années 1930 et sont encore très prisées de nos jours.

L’avantage de ces remèdes, c’est qu’on en dilue quelques gouttes dans un verre d’eau. Ainsi, les enfants n’y verront que du feu. Top Santé rapporte que dès l’âge de 3 ans, les enfants peuvent profiter des bienfaits des Fleurs de Bach.

Tout d’abord, renseignez-vous auprès d’un homéopathe qualifié ou procurez-vous des ouvrages tels que Mieux vivre l’école avec les Fleurs de Bach, de l’auteure Françoise Quencez. Vous pouvez même le commander en ligne pour environ 23 $.

La difficulté réside dans l’émotion exacte à traiter. Plus l’enfant est jeune, plus il sera difficile de transposer ce qu’il ressent en mots. Il faut donc prendre le temps de bien analyser la situation. Est-ce de la peur irrationnelle, de l’impatience, de l’anxiété, de la jalousie, etc.

La Fleur de Bach peut donc être utile pour toutes les émotions négatives vécues par vos enfants et vous-même! Une alternative à considérer sérieusement.

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Gérer la colère des petits n’est pas toujours de tout repos

Les enfants de 2 à 3 ans piquent parfois des colères très intenses. Elles font partie de leur mode d’expression, de leur transition entre les pleurs et la parole pour vous signifier leur mécontentement.

Selon Top Santé, ce comportement peut s’étirer jusqu’à 6 ans. Armez-vous donc de patience!

Quelques trucs :

Les hurlements : Il ne faut pas se laisser aller nous-mêmes à la réaction vive. L’enfant teste les limites, et il faut demeurer ferme. Les cris sont inacceptables et ont une conséquence.

L’intensité de la crise : Il importe d’isoler l’enfant, de le retirer de la situation dès que la crise est trop importante. L’enfant ne doit rien obtenir tant qu’il n’est pas calme.

Le défoulement : Jeter des objets par terre ou frapper ne doit pas non plus être toléré, mais il est nécessaire de rappeler la raison et les règlements. Offrez une alternative, comme un oreiller pour frapper et, par exemple, des poches (jeu de poches) pour qu’il les jette à ses pieds. Il ne brisera rien et ne blessera personne ainsi.

En public : Vous devez conserver la même réaction qu’à la maison. Faites abstraction des regards indiscrets. Retirez l’enfant de la situation (magasin, médecin, épicerie) et expliquez le bon comportement à adopter.

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Comment aider nos enfants à gérer de grosses émotions?

Comme l’indique Christine Carter, sociologue au UC Berkeley’s Greater Good Science Center, on peut aider nos enfants, mais pas à n’importe quel prix.

Sur le site Raising happiness, elle explique que lorsqu’on répond au sentiment de panique de nos enfants en les retirant de la situation ou en les empêchant de vivre leurs propres émotions, on nuit à leur développement. Il faut plutôt les aider à les vivre pleinement, en commençant par dialoguer et les aider à mettre des mots sur leurs sentiments.

Sinon, comme le mentionne Carter, nous transmettons les mauvais messages :

– C’est terrible de ressentir des émotions si négatives – Ce qui est faux, puisque votre enfant DOIT vivre ses propres expériences et émotions et en ressortir grandi.

– Tu es incapable de gérer tes difficultés émotionnelles – Malheureusement, si vous êtes toujours le sauveur, il s’agit d’une affirmation réaliste… dont vous êtes responsable.

– Tu as le droit de vivre une vie sans obstacle ni difficulté – Une idée pernicieuse, bien que souvent inconsciente, que nous véhiculons en « sauvant » nos enfants des « mauvaises expériences ».

Il est donc important de discuter et de faire comprendre aux enfants que nous traversons tous des périodes émotionnelles difficiles, et qu’elles sont nécessaires à notre apprentissage de la vie.

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5 astuces pour aider les enfants à gérer leur colère

Comment faire pour aider les plus jeunes à ressentir, exprimer et faire l’expérience de leurs émotions de manière positive? Quelques trucs tirés de awakeparent.com peuvent vous aider en ce sens.

Aidez l’enfant à identifier sa colère – Il ne sait pas nécessairement ce qu’il ressent. Amorcer l’échange leur donne un coup de main : « On dirait que tu es en colère, est-ce possible? »

Être réellement à l’écoute – Ne suggérez rien d’emblée. Ne posez pas de question et n’essayez pas de parler à sa place. Laissez l’enfant vous raconter, trouver les mots. « Dis-moi ce qui ne va pas ».

Trouvez le besoin sous-jacent – « Est-ce que tu ressens de la frustration parce que… » En trouvant le besoin caché sous la colère, vous pourrez désamorcer les prochaines crises similaires.

Redirigez la colère – Au lieu de frapper une personne ou de lui crier après, offrez une alternative à votre enfant. Dites-lui qu’il peut cogner sur un oreiller ou un coussin, et même mettre son visage dedans pour crier.

Faites le point – Les sentiments qui suivent un éclat de colère peuvent être partagés entre la peur, la honte et la crainte d’avoir mal agi. Expliquez à votre enfant qu’il est normal d’avoir de grosses émotions, et que c’est en communicant qu’on trouve des solutions.

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Comment gérer les cris incessants de votre enfant en public

Comme l’explique Elaine Weitzman, spécialiste du langage, sur Todays Parent : « La crise de larmes ou les cris sont un moyen de communication pour le bébé », surtout lorsqu’il ne connait pas les mots pour s’exprimer.

Les cris de joie

Si ceux-ci dérangent les autres, prenez votre enfant dans vos bras en frottant son dos. Cela le calmera. Ensuite, expliquez à votre enfant qu’à l’intérieur, on doit parler tout bas. Faites-en la démonstration. Au parc, dites : « Ici, tu peux t’exprimer plus fort! » Puis en revenant à la maison, chuchotez : « Ici, on garde le ton plus bas ».

Les cris qui demandent l’attention

Ils sont moins faciles à calmer, mais si vous êtes au téléphone, par exemple, faites un signe de la main, tapotez sa tête ou assoyez-le sur vos genoux, sans lui donner toute votre attention. Il doit comprendre qu’il ne peut pas toujours être le centre d’intérêt.

Les cris de colère

La meilleure façon consiste à attirer son attention sur autre chose pour le sortir de son état. Inutile de crier vous aussi, cela ne fera que changer les cris en larmes ou à envenimer la situation. Par exemple, sortez un jouet, un porte-clés ou un produit emballé de votre panier à l’épicerie.

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Comment gérer l’intolérance au fructose

L’intolérance au fructose est probablement moins connue que celle au lactose, mais elle n’en demeure pas moins bien réelle.

On appelle intolérance au fructose la réaction du corps qui ne tolère pas la présence de fructose, retrouvé notamment dans les fruits, les légumes et le miel.

Il s’agit d’un état très difficile à vivre pour les gens qui en souffrent, vu le nombre de produits qui contiennent du fructose. Selon www.nlm.nih.gov, qui reprend des suggestions de l’American Gastroenterological Association, il est toutefois possible d’éviter le pire.

D’abord, il faut réduire sa consommation de jus de fruits et, malheureusement, de fruits. Les jus sont par ailleurs souvent trop sucrés. Même chose du côté du miel, qui est à proscrire.

Un autre ennemi majeur des intolérants au fructose est certainement les boissons gazeuses, qui contiennent des parts importantes de fructose ajoutées. Voilà probablement une bonne chose que d’éviter ces boissons, de toute façon.

L’alcool est aussi à éviter, ce qui n’est pas une mauvaise chose pour votre santé en général non plus.

On conseille de tenir un journal de vos consommations de sucre et de fructose dans la journée, afin de savoir où vous en êtes et de garder l’absorption du produit dans le corps au minimum.

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Comment gérer le pleurnichage de vos enfants

Pleurnicher n’est pas une stratégie consciente des enfants. Avec le temps, ils remarquent qu’ils ont toute l’attention de leurs parents s’ils se mettent en colère et crient.

Toutefois, afin d’éviter qu’un petit s’emporte lorsque vous ne lui répondez pas tout de suite — lorsque vous êtes au téléphone, par exemple —, faites-lui signe que vous l’avez vu, que vous êtes occupé et que vous serez à lui dans une minute.

Parfois, l’enfant s’impatiente tout de même. Vous devriez donc vous dire qu’il n’essaie pas volontairement de vous irriter, mais qu’il cherche de l’aide.

« Répondez avec des “affirmations au je” et modélisez la façon dont vous voulez que votre enfant vous parle. Dites quelque chose comme “Je n’aime pas ça quand tu pleurniches. Si tu veux un verre de lait, dis-le comme ça”. Ensuite, modélisez les mots et le ton exacts que vous souhaitez que votre enfant emploie », explique l’éducatrice et psychologue du développement, Becky Bailey.

Si l’enfant continue à geindre, essayez d’analyser ce qui peut causer ce comportement et de saisir le message qu’il traduit.

Rappelons que les enfants n’ont pas tendance à sympathiser avec les enfants pleurnicheurs. En fait, dès l’âge de trois ans, les enfants pourraient faire la différence entre ceux qui se plaignent pour rien et ceux qui ont une raison valable de le faire.