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L’eau du robinet comporte aussi des risques

Le Centre d’information sur l’eau (Cleau), en France, propose quelques informations et recommandations en ce qui concerne l’eau potable offerte par le robinet de nos maisons, rapporte Top Santé.

C’est que ce geste pourtant simple et banal pourrait aussi comporter certains risques pour la santé, selon les spécialistes du Cleau.

Il faut notamment se soucier des règles d’hygiène, par exemple éviter de boire de l’eau qui repose à l’air libre depuis plus de 24 heures, même en ce qui concerne l’eau en bouteille. L’eau chaude, contrairement aux croyances, est propice à la prolifération des germes.

Par ailleurs, un nouveau phénomène observable, à tout le moins en Europe, serait le ramassage de l’eau de pluie pour des fins de lavage (vaisselle, vêtement, etc.). Il s’agit d’une pratique vivement déconseillée par le Cleau, à moins que cette eau soit préalablement traitée. L’eau de pluie n’est pas de l’eau potable, rappelle aussi le Centre. 

Un conseille pour finir l’utilisation d’un filtre, communément retrouvé en magasin, même pour l’eau du robinet, et de s’informer vivement sur les pratiques de votre région en matière d’eau potable.

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Après la C. difficile, la A. baumannii !

Selon le Dr Matthew Falagas, les autorités de la santé devront composer avec une virulente bactérie, la Acinetobacter baumannii (A. baumannii), qui représente un danger pour les personnes en milieu hospitalier.

Cette bactérie, que l’on retrouve naturellement sur la peau, dans le tube digestif ou dans la gorge de certaines personnes, offre un taux de résistance aux antibiotiques de 30 %, selon les chercheurs.

La bactérie A. baumannii cause des infections pulmonaires, sanguines ou urinaires et peut expliquer le décès chez des patients ayant contracté des infections nosocomiales ou des pneumonies.

Ce sont les patients dont le système immunitaire est le plus fragile qui sont le plus à risque d’être touchés par cette bactérie.

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Plus de germes différents chez les femmes que chez les hommes

Une recherche, publiée dans Proceedings of the National Academy of Sciences, démontre que les mains des femmes contiennent beaucoup plus de germes différents que celles des hommes.

Les chercheurs de l’Université du Colorado ont analysé les paumes de main de 51 étudiants, tout juste après qu’ils aient complété un examen.

4 700 différentes espèces de bactéries nichaient sur leurs mains et seulement 5 d’entre elles ont été retrouvées chez tous les participants à l’étude.

Selon les chercheurs, le degré d’acidité de la peau, plus faible chez la femme, serait responsable de la grande variété de germes présents chez les femmes. Cette variante pourrait aussi s’expliquer par les hormones, l’épaisseur de la peau, les savons, les crèmes hydratantes et la quantité de sueur.

Étonnamment, la fréquence des lavages de mains n’améliore pas la situation, puisque la variété de bactéries demeure inchangée.

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Des rideaux remplis de germes

Selon des chercheurs de Cleveland, en Ohio, plusieurs bactéries, comme le Clostridium difficile, le staphylocoque doré résistant à la méthycilline (SDRM) et l’entérocoque résistant à la vancomycine (ERV), foisonnent dans les rideaux de cloisonnement des centres hospitaliers.

Ces bactéries sont reconnues pour résister aux médicaments et se propager facilement entre les mains des personnes qui manipulent les rideaux.

Le journal scientifique Infection Control and Hospital Epidemiology publie tous les résultats de cette étude.

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Les claviers d’ordinateurs ou nids de bactéries

Une étude commandée par le magazine de consommation Which? Computing a de quoi effrayer les personnes qui travaillent beaucoup avec un ordinateur. En effet, on y apprend que les claviers informatiques sont de véritables nids à bactéries, en contenant même davantage que les sièges de toilette.

Pour en arriver à ces conclusions, un biologiste a analysé au microscope 30 claviers. Il a trouvé que certains abritaient des bactéries qui présentaient un risque élevé de maladies pour leur utilisateur.

Suite à ses recherches, le chercheur a même ordonné que quatre claviers soient immédiatement retirés du bureau analysé, parce qu’ils représentaient un risque pour les employés.

« La principale cause de l’infection d’un clavier est le fait de déjeuner à son bureau, puisque les restes alimentaires sont propices au développement de millions de bactéries. Une mauvaise hygiène personnelle, comme de ne pas se laver les mains après être allé aux toilettes, peut aussi être en cause », relève le magazine.

Dans un sondage effectué auprès de 4 000 participants, 1 personne sur 10 confiait ne jamais nettoyer son clavier. 20 % des répondants négligeaient aussi le nettoyage de la souris.