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Le poids de la culpabilité n’est pas qu’une métaphore

Ressentir le « poids de la culpabilité » relèverait davantage du littéral que de la métaphore, selon ce que rapporte Top Santé, alors que des chercheurs se sont penchés sur les impacts de l’émotion sur l’organisme.

Ainsi, l’équipe de chercheurs de l’Université de Waterloo, en collaboration avec Princeton, qui propose cette nouvelle étude arrive à la conclusion que la culpabilité entraîne une véritable sensation de lourdeur physique, ce qui rendrait plus difficile le quotidien des personnes rongées par les remords.

« Le souvenir des actes répréhensibles conduit les participants à rapporter un accroissement du poids corporel subjectif contrairement au souvenir des actes moraux. Cette corrélation avec le poids s’est faite uniquement pour le sentiment de culpabilité, et non pour d’autres émotions négatives comme la tristesse et le dégoût », explique Martin Day, de Princeton.

Pour en arriver à cette étonnante mais fascinante conclusion, les chercheurs ont effectué quelques tests sur un groupe de 153 sujets, qui ignoraient au moment de l’essai de quel type de test il s’agissait exactement. Ceux placés dans un contexte qui faisait ressurgir leur culpabilité ont ensuite étrangement éprouvé plus de difficulté à réaliser certaines tâches que les autres, confirmant du même coup l’effet de « poids » supplémentaire à porter.

Encore une fois, cette étude démontre l’impact des émotions et de nos gestes sur notre organisme et sur notre avenir, une conclusion qui pourrait permettre à certaines personnes d’y penser à deux fois avant de commettre des gestes regrettables.

Un des chercheurs impliqués dans l’étude déclare d’ailleurs : « L’anticipation de sentiments de culpabilité dans le futur peut aider des individus à éviter de participer à des actes immoraux qui violent leur morale personnelle ».

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Les gens généreux vivraient plus longtemps

Une nouvelle étude rapportée par Santé Log devrait rendre les plus généreux d’entre vous très heureux, alors que les plus pingres risquent fort d’être déçus.

Pour les chercheurs américains en tête de l’étude, la générosité et l’altruisme permettraient une plus grande durée de vie. Cette longévité serait observable assez facilement chez ce type de personne, notamment parce que les gestes de générosité abaissent le niveau de stress.

Ce fameux stress, outre les maladies graves à proprement parler, s’avère l’ennemi numéro un de la santé depuis plusieurs années.

Les chercheurs de l’Université de Buffalo croient que les actes de générosité sont un puissant contre-stress et permettent d’étirer la durée de vie chez ceux qui en pratiquent souvent.

En pratique, cela signifie que les gens stressés ont plus de risque de décéder avant le temps, mais que ceux qui sont portés vers les autres et aiment aider et faire preuve de générosité « récupèrent » ces années, ou font diminuer les risques créés par le stress.

Ce n’est pas la première étude à tracer un tel lien entre les comportements psychosociaux et la longévité, mais on commence à se rendre compte de plus en plus à quel point nos actions ont une véritable incidence sur l’avenir et notre santé.

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Lindsay Lohan pose enfin un geste intelligent

Lindsay Lohan prend enfin conscience de l’énormité de ses bêtises et utilise les 100 000 $ de Charlie Sheen pour l’une de ses dettes envers la ville.

C’est TMZ qui a réussi à obtenir le document prouvant que son compte de taxes a bel et bien été réglé. Vous pouvez d’ailleurs visualiser la preuve au lien suivant : Remboursement de Lindsay Lohan.

L’énorme compte de taxes impayé s’élevait à 93 701 $ et datait de 2009. Lohan aurait même appliqué le dernier montant restant du 100 000 $, soit 6300 $, à son compte de 2010.

Celui-ci s’élevant à 140 203 $, il ne lui reste plus que 133 000 $ à rembourser… pour l’année 2010. Désormais bien entourée et mieux encadrée, l’actrice recherche activement le moyen le plus rapide de mettre un terme à ces arrérages, puisque ses taxes de 2011 sont elles aussi arrivées à échéance.

Selon ce que TMZ rapporte, Charlie Sheen aurait fait don de 100 000 $ dès que Lohan lui a fait part du gouffre financier dans lequel elle se trouvait.

Avec cette fort généreuse contribution, l’acteur aura ainsi évité une autre dépense inutile pour sa consommation personnelle de drogue et d’escortes de luxe.

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La galanterie a toujours la cote auprès des femmes

La galanterie est devenue une denrée rare chez les hommes de nos jours. Pourtant, les femmes l’apprécient grandement.
 
Un homme attentionné demeure plus séduisant qu’un Apollon qui se préoccupe davantage de sa petite personne, d’après un sondage réalisé en France pour le site de rencontre Amour.com.
 
Selon ce que rapporte La Parisienne, la galanterie est devenue une pratique rare, mais 91 % des répondants affirment pourtant que cela est séduisant.
Ce sont surtout les femmes qui sont conquises par de petits gestes attentionnés. Par exemple, 66 % des femmes aiment qu’un homme leur tienne la porte et 53 % apprécient lorsqu’il paie l’addition après un repas.
 
D’ailleurs, payer l’addition demeure l’essence même de la galanterie pour 47 % des hommes.
 
Par contre, la galanterie ne fait pas l’unanimité, car 8 % des femmes se disent méfiantes devant un homme galant, croyant qu’il s’agit plutôt d’une ruse pour les conquérir plus facilement.
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Préparer les enfants aux situations d’urgences

Le journal spécialisé Scandinavian Journal of Trauma, Resuscitation and Emergency Medecine affirme que les parents devraient enseigner à leurs enfants comment porter secours à une personne en détresse.

Selon la recherche, des enfants de quatre à cinq ans seraient tout à fait en mesure de comprendre et de bien aider.

Pendant deux mois, cinq petites filles et cinq petits garçons ont appris des règles de base à suivre s’ils étaient confrontés à des situations d’urgence, comme regarder, parler à la personne dans le besoin, la toucher et tenter de la réveiller, la rassurer et appeler les secours.

Au total, après avoir été soumis à différents scénarios, 7 des 10 enfants étaient capables de savoir si la personne était seulement endormie ou inconsciente et savaient le numéro d’urgence par cœur. Quatre d’entre eux étaient même capables de donner les bons renseignements au téléphone.

Par contre, pour certains experts, ceci représenterait une trop grande responsabilité à donner aux jeunes enfants, ce qui pourrait également causer un sentiment de culpabilité en cas d’échec.