S’adresser à des voyagistes spécialisés
Si le voyageur décide de faire appel à une agence de voyages pour organiser son escapade à l’étranger, il peut opter pour un professionnel spécialisé dans ce type de séjours. L’avantage : être sûr que ce dernier travaille avec des organismes locaux et fera ainsi travailler les populations locales.
Opter pour des hébergements écocertifiés
Lors de la réservation de son hôtel ou de sa résidence de tourisme, le vacancier doit s’assurer que le logement fonctionne en respect de l’environnement. L’habitation peut récupérer les eaux de pluie, utiliser l’énergie solaire, etc.
Compenser ses émissions de CO2
Si d’une manière générale, pour les destinations qui s’y prêtent, il est préférable d’opter pour le train voire le vélo, il est parfois incontournable d’embarquer à bord d’un avion. Dans ces cas, il est possible de compenser les émissions de CO2 émises lors de ce vol. Les voyageurs paient une petite somme d’argent à une association qui se chargera de planter un arbre. Action Carbone notamment, de Yann Arthus-Bertrand, propose un service de ce type.
Préférer les transports en commun
Sur place, plutôt que de louer une voiture, les voyageurs sont invités à préférer le bus, le métro ou encore tous autres types de transports en commun. Cette solution est idéale pour rencontrer la population locale, un comportement qui contribue également à voyager responsable et équitable. Adeo ou encore Vision du Monde fonctionnent ainsi.
Souvenirs : préférer les produits locaux et régionaux et artisanaux
Quitte à ramener dans ses valises un petit souvenir, mieux vaut se tourner vers les objets fabriqués localement par des artisans. De la sorte, le touriste favorisera le commerce du pays et par la même l’économie. Autre petit plus : le produit sera souvent plus joli et original que ceux produits à la chaîne et dans un autre pays.